Argent et famille (13)

Babes

Argent et famille (13)Je fis venir plusieurs fois Marion à la maison. Elle mangea même quelques soirs avec nous. Ce vendredi, je savais que c’était la dernière fois que j’allais la voir, et qu’elle allait rentrer pour reprendre son travail.On s’était commandé des burgers que l’on mangeait dans ma chambre, à l’étage. Ca changeait évidemment du luxe de notre première sortie, mais elle appréciait aussi cette simplicité. Et moi j’aimais bien les burgers. Marion était pleine de qualité. Elle était à l’écoute, était patiente, compréhensive, elle avait de l’esprit, et ne manquait pas d’un humour assez rafiné. Sans parler de son corps qui était absolument divin.- Je ne te remercirai jamais assez pour tout ce que tu as fait pour m’aider à retrouver ma mère.- Je suis content de l’avoir fait. Ca a permis que nous nous rencontrions.Elle me fit un sourire. Ces trois derniers soirs, on avait fait l’amour comme jamais. – Tu envisages que l’on se revoit ? me demanda t-elle.J’hesitais. Avec mon argent, je pouvais avoir toutes les filles que je souhaitais. D’ailleurs, si elle était tombé dans mon lit, c’est parce que je lui en avais mis plein les yeux, et j’avais su comment m’y prendre avec elle. Elle ressentit cette hésitation et leva la main.- Pas la peine de me répondre. C’est normal. Je comprends. En tout cas j’ai une dette envers toi, et tu peux me demander ce que tu veux.- Ce que je veux ?Elle hocha la tête et comprit que j’avais une idée en tête. Elle attendit un instant.- Non, mauvaise idée, laisse tomber.- Bah si dis. On n’a plus trop de secret l’un pour l’autre je crois.Je faillis m’étouffer interieurement en l’entendant dire ça. Elle ne se doutait pas que la journée, je montrais les vidéos où je lui défonce la chatte et le cul à sa mère. D’ailleurs j’ai sodomisé Sandrine cet après-midi, sur le même lit où je me tiens actuellement, et je n’ai pas pris de douche ensuite. – Tu ne veux pas me dire ?- Ca dépend. C’est un fantasme. Tu me promets de ne pas poser de question ?- Tu me fais peur…- Non, c’est con. Mais j’aimerai juste que tu ne me poses pas de question.- Je t’ai dit, tu peux me demander n’importe quoi. Je retirais le chandail de Marion, et lui enlevais sa robe. Elle me laissa faire, güvenilir bahis se trouvant à présent simplement vétue d’une culotte, d’un soutien gorge noir, et de collants de la même couleur. Je me levais, ouvrit un tiroir de mon bureau, fouilla parmis les feuilles, et sortit une photo de Sandrine. Je revins vers le lit, et posa la photo devant Marion.- Pourquoi tu me montres une photo de ma mère ?- J’aimerai que tu te masturbes en la regardant.- Ah…Je vis immédaitement que Marion était déçue. Elle se sentait un peu idiote, en lingerie, face à cette photo. Elle passa sa main dans ses cheveux et toussa.- Ok, murmura t-elle.Elle retira sa culotte, mit la photo bien face à elle entre ses jambes qu’elle avait écartées, passa sa main sur sa chatte, et commença à se carresser au niveau du clitoris. Elle fixait du regard la photo de sa mère. Elle ne trichait pas. Elle changea un peu de position, se lova un peu plus en arrière, et continua de faire glisser ses doigts sur sa fente, faisant s’écarter et se refermer les grandes lèvres de sa chatte. Elle plongea un doigt dans sa fente qu’elle fit aller et venir, accompagné d’un petit bruit mouillé. D’ailleurs de la mouille commença à perler de sa chatte.Je m’assis à coté d’elle. Je fis comme si je me livrais à elle.- Je n’ai jamais parlé de ça à personne. J’aime les choses interdites. Je trouve que ça fait jouir tellement plus fort. La première fois que je me suis masturbé, je l’ai fait en regardant une photo de ma mère. J’avais tellement l’impression de faire quelque chose de mal, j’en ai joui extremement fort. Et du coup, j’ai recommencé. Et à chaque fois, c’est une jouissance bien plus forte. – C’est tellement tabou, me répondit Marion. Elle haleta un peu, carressant sa chatte de gauche à droite, marqua une courte pause, et continua de se masturber. “J’ai failli jouir…” murmura t-elle en me jetant un regard, avant de retourner voir la photo de sa mère.- tu sens que c’est fort, pour toi aussi ?- je sais que ce n’est pas bien. Après, dans l’absolu, je ne lui fais pas de mal. C’est juste une experience… que tu m’imposes. C’est quelque chose auquel je n’ai jamais pensé. Et quelque chose de mal. D’interdit moralement. Ca me fait monter türkçe bahis la tension, et l’excitation.Elle me regarda, se cambra un peu, et se mit à se carresser intensément. – Oh là je jouis… murmura t-elle.Elle fixa la photo de sa mère, et se laissa aller, faisant exploser sa chatte dans un orgasme qu’elle avait rarement atteint. Elle se recroquevilla, souffla un peu, les cheveux un peu éparpillés sur le visage. Elle se passa une main dedans pour les envoyer en arrière, et me jeta un coup d’oeil amusé.- bon sang, toi alors… – Tu as aimé ?- Je ne sais pas. Mais j’ai joui… très fort. J’ai l’impression que je suis encore en train de jouir…- Moi j’aimerai bien jouir.Je retirai mon pantalon, puis mon caleçon, restant simplement en T-shirt.- Un instant, fit Marion. Je récupère un peu…Ma queue était déjà gonflée à l’extrême. Je m’assis à coté de Marion, lui prit la main pour la poser sur ma queue, et posa la photo de sa mère face à moi.- Tu veux bien ?Sans dire un mot, Marion commença à me masturber, et je regardais la photo de Sandrine. On ne dit pas un mot. Ca dura une dizaine de minutes. Puis, sentant que j’allais jouir, Marion me murmura :- elle te plait ma mère ? tu vas jouir pour elle ?- oh oui…- tu as envi de sa chatte…- oui, la chatte de ta mère….- vas y jouis…J’éjaculais, tandis que Marion me masturbait fort, aspergeant la photo de Sandrine et mon couvre lit. Ivres de jouissances, on récupera un peu, chacun de notre coté.- J’espère ne pas t’avoir trop choqué avec tout ça…Marion poussa un petit rire. – Oh si, c’était choquant. Mais excitant en même temps. On a fait de mal à personne. C’est resté cérébral, du fantasme. D’ailleurs, tu m’as confié t’être masturbé pour ta mère. Je vais te confier que je l’ai fait en pensant à mon père.- Ah oui ?- et je l’ai refait il n’y a pas si longtemps que ça. Mais tu vois, ce n’est le genre de chose dont on ne parle jamais.- et ca te fait jouir fort ?- si ce n’était pas le cas, je ne le referai pas.Elle se leva, et alla dans la salle de bain, pour se doucher. Je m’allongeais dans le lit, fatigué, mais satisfait de la tournure que reprenaient les choses. Elle revint dans la chambre, dix minutes plus tard, avec une petite güvenilir bahis siteleri montre en or à la main.- Je cherchais un peigne, et j’ai trouvé ça dans un tiroir. C’est la montre de ma mère. Tu peux m’expliquer ?- Elle doit y ressembler, c’est surement à ma soeur ou à ma mère…Elle retourna la montre, sur laquelle était gravé “je t’aime maman. Marion”- C’est moi qui lui avait offerte.- Elle a du la laisser ici. Tu sais que l’on s’est vu, avant qu’elle ne parte. Que je lui avais donné de l’argent.- Elle s’est douchée ici ? Dans ta chambre ?Je ne savais pas trop quoi répondre, et je voyais que Marion avait déjà des suppositions en tête.- Tu lui as donné de l’argent… Tu l’as baisé en échange ?- Marion…- Est-ce que oui ou non, tu as baisé ma mère ??- …- Ton silence en dit long, et vu comme je commence à te connaitre, tu ne lui as pas donné autant d’argent contre rien. Tu es content, tu as baisé la mère et la fille comme ça… Elle commença à s’habiller rapidement.- Tu l’as sodomisée le premier soir aussi je suppose ?Le ton de Marion était sec à présent, mais je ne voulais pas lui laisser le dessus.- Oui.Elle ne s’attendait pas à cette réponse qui la désarma.- Au final, tu as beaucoup de secrets. Je te connais bien mal. Mais il y a quelque chose de sombre en toi. Et je n’ai pas envi d’aller voir plus loin. Ne cherche pas à me recontacter.- Ce n’était pas mon intention.Marion fut blessée par cette dernière phrase. Elle devait repenser à notre première soirée sur le yacht. Je l’avais traitée comme une princesse, comme une personne précieuse, que je voulais gater, soulager, aimer. Et je l’abandonne comme une pute.- Ca m’a plu que tu te masturbes pour ta mère.Marion prit son sac, passa devant moi, et se dirigea vers la porte.- refais le à l’occasion, ça la fera peut etre revenir plus vite.Elle se tourna vers moi, le regard noir.- Quel connard.Ca ne me fit ni chaud ni froid. Tandis qu’elle quittait la maison, je savais que j’avais de belles images à montrer à sa mère demain. Sa mère qui devenait de plus en plus docile. J’étais curieux de savoir comment elle réagirait en voyant sa fille jouir devant une photo d’elle. Et au final pourquoi attendre. Le lit était encore chaud. Je me dirigeais vers le bureau pour ouvrir à Sandrine.A suivre(on arrive vers la fin de cette histoire, merci d’envoyer un maximum de pouces vers le haut pour connaitre cette fin)(merci également de me laisser un max de réactions en commentaire)