Avec ma mère, ma sœur et mon p&egrave

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Avec ma mère, ma sœur et mon p&egrave1Mes parents, ma sœur et moi vivions dans une immense maison de la banlieue bordelaise, avec une piscine impressionnante et ses installations super modernes. Je m’appelle Armand et ma sœur, Adeline qui a mon âge, 25 ans, car nous sommes jumeaux. Nous avions une vie de famille sans histoire. Mon père était très souvent absent, car étant ingénieur en hydraulique, il allait souvent dans les pays du Maghreb pour superviser les travaux touchant à sa spécialité.Ma mère était une magnifique femme de 43 ans, très brune, les yeux étirés comme ceux d’une asiatique, lui donnaient un charme époustouflant. Quand nous profitions de la piscine, je pouvais admirer sa svelte silhouette, et sa poitrine, arrogante, attirait les regards (surtout le mien!) Elle portait toujours des maillots deux pièces, à la limite de la décence. Sa peau était halée naturellement. En résumé c’était une très belle femme, que beaucoup d’hommes auraient souhaité avoir dans leur lit!! Quant à ma sœur, c’était le contraire, très blonde, comme mon père, les cheveux longs, une silhouette élancée, de très longues jambes. Sa minceur contrastait avec la taille de ses nichons, qui étaient plantureux et elle aussi arborait des tenues que je qualifierais d’indécentes, car elle avait souvent les seins à l’air.Mes parents avaient un couple d’amis qui nous rendaient souvent visite. Jacques, le copain de mon père, venait souvent à la maison, sans sa femme. Je le soupçonnais de faire du gringue à ma mère. Pour un homme normal, je le comprenais fort bien, elle était si jolie!!Un après-midi où j’avais pu me libérer de mes obligations, je rentrais à la maison à l’improviste. Là, Oh! Surprise, je vis la voiture de Jacques, rangée devant le perron. Je descendis de la mienne sans claquer la porte et sur la pointe des pieds, je pénétrais dans la maison. Silence au rez-de-chaussée, car vide. Avec précaution, je montais l’escalier et arrivé en haut, j’entendis des gémissements, des paroles hachées et des soupirs. Je passais discrètement la tête dans l’espace de la porte entrebaillée. Que vis-je? Ma mère à quatre pattes sur le tapis, entièrement nue, prenant appui sur ses bras, la croupe en l’air, la tête baissée, ses longs cheveux lui cachant le visage et l’ami Jacques entrain de la posséder en levrette à grands coups de reins. La foudre tomba à mes pieds, voyant ma mère se faire baiser de cette manière. Je savais Jacques vicieux, mais pas étonné qu’il soit arrivé à ses fins!! Je regardais avidement cette scène et je me mis à bander comme un cheval. Il l’avait saisie par les hanches, les doigts crispés et il lui donnait avec force ce que cette belle femme attendait de lui. Je commençais à me masturber sans retenue. Sentant que le plaisir allait venir, je cessais mon action, pour ne pas éjaculer sur la porte. Je n’avais pas dû être très discret car Jacques tourna la tête vers moi et me vit. A mon grand étonnement, il me sourit, me fit un clin d’œil et donnant un ultime coup de reins, je devinais qu’il se vidait dans le ventre de ma mère, les yeux fermés. Un moment d’immobilité, puis il se pencha vers la tête de ma mère et j’entendis qu’il lui disait: Ne bouge pas, reste comme ça, je reviens de suite pour remettre le couvert!!Cette dernière remua un peu et j’entendis un:Oui, fais vite.Jacques se retira et se tournant vers moi, la bite au vent, deux doigts dans le vagin de ma mère, me fit signe d’approcher, en mettant son index devant ses lèvres pour me recommander d’être discret. Je m’approchais à pas de loup, les yeux fixés sur cette splendide croupe qui frémissait sous la pénétration des doigts de Jacques… J’avais aussi la bite dehors, tendue à l’extrême et prête à faire toutes les folies du monde. Jacques se poussa de côté et me fit comprendre qu’il voulait que je prenne sa place. Je flottais sur un nuage. Il me tira par le bras et me fit mettre dans l’axe du postérieur de ma mère et me poussa les fesses. Je posais mes deux mains sur les hanches de ma mère, la bite en l’air, pointée sur ce vagin que je voyais pour la première fois. N’y tenant plus je plongeais!!! J’étais complètement enfoncé et me mis à la pistonner avec brutalité. Elle releva la tête en poussant un doux feulement et lâchant – comme tu es fort, comme tu es beau!! Elle fit aller et venir sa croupe fortement, à ma rencontre pour que je la pénètre encore plus. Puis l’inéluctable arriva: bloqué contre ses fesses, je lâchais tout mon sperme en elle. Elle se mit à gémir Tu es brûlant!! Je continuais à limer un peu et me retirais lentement. Quand elle se sentit libérée elle se releva, le dos toujours vers nous.Elle se retourna lentement en disant:Qu’est ce que tu m’as mis!!!!Elle se figea en me voyant à côté de Jacques, la bite toujours dehors, mais pendante. Elle ne put dire que Oh! Mon Dieu!!Jacques se mit à rire et la prenant dans ses bras, l’embrassa sur les lèvres en lui caressant doucement les seins, puis la poussa violemment vers moi. Elle trébucha et je n’eus qu’à tendre les bras pour la recevoir contre ma poitrine.Je la serrais très fort et lui disant:Je t’aime, MamanEt je lui déposais un baiser sur les lèvres. Sans pitié, Jacques se mit à ricaner en disant:Alors, ma chérie, on baise avec son fils, maintenant? Je souhaite fort que l’on recommence d’autres fois, encoreMa mère blottie contre moi, pleurait doucement, de honte certainement… Comme elle était toujours nue, j’enlevais ma chemise et la lui posais sur les épaules. Je cachais ainsi ses beaux seins mais elle avait toujours les fesses à l’air.D’un coup elle cria à l’adresse de Jacques:Espèce de salaud, fous moi le camp, je ne veux plus te revoir ici!!!Elle se réfugia de nouveau contre ma poitrine pendant qu’il se rhabillait pour partir.Au bout d’un moment, elle me dit:Il faut que j’aille me laver, je suis pleine de sperme.Je viens avec toi, ma chérie Dans la salle de bains, on passa sous la douche tous les deux ensemble. Je lui frottais amoureusement le dos et les fesses, pendant qu’elle se lavait le vagin en faisant sortir le sperme de Jacques et moi. Sous les jets d’eau, je la pris contre moi, la serrant très fort, je pris ses lèvres en un baiser brûlant, qu’elle me rendit avec fougue.Tu sais, mon Armand chéri, il y a longtemps que j’avais envie de faire l’amour avec toi, mais pas comme c’est arrivé aujourd’hui! Je pensais à quelque chose de plus romantique!!Ma chérie, tu aimerais que l’on recommence? Maintenant que le pas est franchi, je ne vois pas la raison de s’arrêter, non? Je t’aime tellement, tu sais. Le seul problème qu’il y aura: c’est ta sœur, il ne faut pas qu’elle s’aperçoive de quoi que ce soit et puis, entre nous, je ne veux plus que tu m’appelles Maman, mais par mon prénom Yvette, hors de la présence des autres.Si ma chère Maman avait deviné combien j’aurais voulu baiser ma sœur, elle en aurait frémi d’indignation!! Mais ceci est autre chose…2Ce soir, seul dans mon lit, je me remémorais la journée qui venait de s’écouler et la façon dont j’avais fait l’amour à ma mère. Après cet événement chacun avait repris ses occupations, ma sœur étant présente dans la maison. Ma sœur!! Ce joli corps de sportive, sans un gramme de graisse, qui attirait les regards. Un port de reine!! Elle était magnifique et j’aurais bien aimé la prendre dans mes bras et lui dire des mots d’amour.Nous faisions comme si rien ne s’était passé, entre ma mère et moi, mais en notre for intérieur nous savions l’un et l’autre que nous ne pensions qu’à ça Je me rappelais aussi que lorsque ma chère maman, dans la cuisine, préparait le repas du soir, pour nous trois, j’étais allé la rejoindre en douce, hors de la vue de ma sœur. Je ne puis m’empêcher de la prendre contre moi et de lui donner un baiser magistral, comme au cinéma!! Elle me le rendit en enfonçant sa langue dans ma bouche, le plus loin possible. Je lui fis une petite caresse sur les seins et passant une main sous sa jupe, je lui caressais le pubis, puis je m’éclipsais à temps car Adeline se pointait. Le lendemain, il faisait une chaleur écrasante. J’étais torse nu dans la cuisine à prendre mon petit déjeuner, seul, quand ma mère arriva toute guillerette portant un léger corsage sous lequel je devinais ses seins nus, car ils ballottaient un peu, suivant ses mouvements. Sa jupe, légère aussi laissait apercevoir son slip rouge. Mon cœur se mit à battre follement. Ma sœur nous rejoignit et s’exclama, sans aucune retenue:Dis donc Maman, tu es drôlement fringuée ce matin, tu serais à poil qu’on en verrait pas plus!!Yvette rougit et répliqua: Il fait si chaud et j’ai pensé que la piscine nous ferait du bien…Plein d’arrogance, je m’adressais à Adeline: Toi qui as toujours les nichons à l’air, cela te va bien de dire cela!Notre café avalé en quatrième vitesse nous sortîmes pour aller vers la piscine. Là, séance de déshabillage. Les deux femmes restèrent la poitrine nue. Ma sœur avait un mini-bikini et je pouvais voir des poils blonds en sortir. Quant à ma mère, le slip rouge qu’elle portait quand je l’ai vue ce matin était en réalité son slip de bain. Quant à moi j’étais en boxer mais en voyant ces nichons et ces fesses se balader sous mon nez, je ne puis m’empêcher de commencer à triquer. Bien embarrassé, je me précipitais à l’eau dans une gerbe d’éclaboussures. Adeline me rejoignit immédiatement et m’agrippant aux épaules elle essaya de me faire couler. Je fis semblant de me débattre et en profitais pour lui passer une main entre les cuisses, sois disant pour la soulever. Elle s’arrêta net de bouger et me regarda dans les yeux. J’avais ma main, en coquille, plaquée dans son entrejambes, plus exactement sur son vagin. Je sentis alors combien c’était chaud, cet endroit. On resta là, un moment sans bouger, puis elle se dégagea lentement, toujours en me regardant dans les yeux et me tournant le dos, elle plongea pour s’éloigner de moi. Je bandais maintenant comme un malotru!! Je fis quelques brasses pour débander. Quand le résultat fut atteint, je sortis et rejoignis ma mère, étendue sur le ventre et bronzant. A mon approche, elle releva la tête et me dit:J’ai vu votre manège, à ta sœur et toi, j’ai deviné où tu avais mis ta main, et elle n’a rien dit du tout. Tu veux la baiser aussi? Gros cochon chéri?Je lui frottais doucement le dos, entre les omoplates, puis descendis sur un côté, ce qui me permit de lui caresser le bord d’un nichon. Elle poussa un soupir. Je fis descendre ma main le long de sa colonne vertébrale, jusqu’à la ceinture du slip. Sans vergogne, j’insinuais ma main et lui caressais les fesses. Elle entrouvrit légèrement les jambes et je puis atteindre son sexe que je trouvais bien humide d’un coup!! Tout en surveillant ma sœur qui s’ébattait dans l’eau, j’introduisis doucement mon majeur et me mis à la masturber très lentement, puis de plus en plus vite. Cela ne dura pas, elle poussa un énorme soupir. Je la sentis frémir de tout son corps, elle resserra les jambes: elle venait de jouir, discrètement certes, mais elle venait de jouir. Je sortis ma main à temps car ma sœur sortait de l’eau, son magnifique güvenilir canlı bahis siteleri corps ondulant vers nous. J’étais à genoux et ne pouvais me lever, because ma queue était en pleine gloire!! Adeline me dit Mais qu’est ce que tu fous à genoux?Ne sachant quoi répondre, je me relevais et là, alors: catastrophe. Elle vit ma bite, comme un mât de bateau, qui déformait mon boxer. Elle resta figée comme une statue puis s’approchant de moi et à l’oreille, pour ne pas que notre mère l’entende, me dit: Dis-moi, pourquoi bandes-tu ainsi?Ce disant, elle m’attrapa la pine à pleine main en une sublime caresse tout en me disant: C’est moi qui te fais cet effet ou bien c’est Maman?Je ne répondis pas, mais allais me jeter à l’eau.Après le déjeuner de midi, Adeline nous dit qu’elle sortait en ville et ne rentrerait que vers dix sept heures. Ma mère et moi nous nous sommes regardés, un petit sourire au coin des lèvres, sachant pertinemment ce que nous allions faire pendant tout ce temps de libre. A peine ma sœur partie, j’enlevais mon sweater et le balançais derrière moi. Ma mère, Yvette, défaisait son chemisier à toute vitesse et se jeta dans mes bras, écrasant ses seins sur ma poitrine nue. Notre baiser fut torride et de mes mains je lui caressais le dos et les fesses. Elle devait sentir ma bite tendue contre son ventre. Elle se jeta à mes genoux, tira sur l’élastique de mon boxer le faisant descendre rapidement sur mes chevilles. Ma pine lui sauta au visage, énorme et gonflée. Elle l’attrapa à deux mains et ouvrant la bouche elle se mit à la sucer. Il faut dire qu’étant d’une taille respectable elle ne pouvait en absorber qu’une partie. Elle s’activa comme une furie et je sentis que j’allais jouir. Je lui pris la tête à deux mains et l’obligeant à se relever, je la fis s’asseoir sur la table de la cuisine. Je lui relevais les jambes que je fis passer sur mes épaules, j’écartais son slip, dégageant l’entrée convoitée où je m’engouffrais à petits coups. Le plaisir arriva trop rapidement et me sentant me déverser en elle, elle poussa un petit cri de jouissance en agitant son bassin comme une forcenée: Elle jouissait aussi. On se sépara et elle se releva très essoufflée, comme si elle avait couru un cent mètres. Elle m’entoura le cou de ses bras et me donnant de petits baisers sur les lèvres Mon chéri, tu me rends heureuse, tu sais, mais je n’ai pas encore l’habitude de la taille de ton membre, il faudra que je m’y fasse, mais c’est divinement bon quand je te sens m’ouvrir autant.On partit prendre une douche, chacun de son côté et une demi-heure plus tard on se retrouva au salon devant un verre de rafraîchissement. Nous en avions bien besoin. On bavarda un moment et on se mit d’accord sur les mots que nous pourrions employer, lors de nos ébats, sans se formaliser. Et tout en discutant, je me rendis compte qu’elle était encore plus triviale que moi, que je n’avais rien à craindre pour ses chastes oreilles. Elle m’avoua, que quand papa lui faisait l’amour il la traitait de salope, de chienne en chaleur, de pute et j’en passe!!Je ne puis m’empêcher de lui demander Yvette, tu aimes que je te baise fort ou lentement?J’aime quand tu me baises, c’est tout! Fort ou doucement, pour moi c’est pareil, tu me fais tellement jouir!! Je n’ai connu qu’un seul homme, avant Jacques et c’est ton père. Il est loin d’être aussi bien membré que toi, mais il me donne du plaisir. Je ne pus m’empêcher de lui parler de ce Jacques, justement:Qu’est ce que tu as pu lui trouver?Il m’a fait découvrir certaines choses, dont je te parlerai plus tard, mon chéri, mais il était trop rapide, il ne pensait qu’à lui! Le salaud!! Quand on a un cul comme le tien, on le chérit, on le cajole, on lui fait plaisir!! On parlait de cul et inévitablement je me remis à bander. Elle s’en aperçut et sa main vint me saisir la bite et elle la caressa avec tendresse à travers le boxer. Puis se penchant, elle la sortit, la prit dans sa bouche et se mit à la sucer avec ardeur, tout en la branlant. J’avais peur d’éjaculer trop rapidement. Je la relevais, l’amenais à se lever et me mis à la déshabiller complètement. Une fois nue, je ne savais plus où poser mes lèvres, tellement elle me rendait fou!! Je pelotais ses beaux seins, ses belles fesses, lui enfonçais mes doigts dans le vagin. Je lui fis faire le tour du canapé, et la faisait se coucher sur le dossier. Elle était presque en position de levrette, les bras étendus le long du dossier. Je lui écartais les jambes et doucement la pénétrais, sans à-coup, mais longuement, en douceur. Ce fut elle qui donna un coup de reins pour venir au devant de ce membre volumineux qui l’envahissait. Ce fut un feu d’artifice. Je la tenais par les hanches et la pénétrais de plus en plus fort. Elle ne cessait de gémir, de haleter tout en disant des choses que je n’arrivais pas à comprendre.D’un coup, grosse stupeur!!! Ma sœur Adeline, sur le pas de la porte, nous regardait faire. Un tonnerre explosa dans ma tête. Elle était rentrée plus tôt que prévu!! Ma mère ne s’était rendue compte de rien, du moins pas encore. Adeline avait la jupe relevée, qu’elle tenait d’une main et l’autre main dans son slip et je devinais qu’elle se masturbait. Je la regardais fixement et ne pus m’empêcher de lui dédier un sourire crispé et un gros clin d’œil. Elle s’approcha de nous. Ma mère en qui j’étais toujours planté, ne voyait rien, tournant le dos. Elle posa sa main sur le dos de notre mère qui ne réagit pas, croyant que c’était moi. Lui caressa les flans, arriva jusqu’aux fesses, descendit sa main jusqu’à mon bas ventre, m’obligea à sortir ma bite de l’endroit merveilleux où elle se trouvait. Elle la saisit à pleine main, elle se mit à la caresser avec douceur, les yeux fixés dessus. D’un coup, elle se jeta à genoux et la prit dans sa bouche en me suçant avec avidité. J’allais exploser!! Je la fis se relever, se mettre à côté d’Yvette, penchée sur le dossier, je lui écartais les fesses et m’engouffrais dans cette vulve noyée du nectar du bonheur. Elle poussa un cri de douleur. Je m’activais comme un dingue et me répandis en elle. Je n’en finissais pas d’éjaculer. Notre mère s’était relevée et complètement abasourdie nous regardait faire l’amour. Je ne débandais pas et continuais à limer de toutes mes forces et Adeline ne cessait de crier son bonheur et sa jouissance. J’éjaculais une deuxième fois, mais peu, étant vidé!! Quand le calme fut revenu et que ces dames furent complètement redressées, je m’effondrais dans le canapé, complètement fourbu. Ma mère, nue vint se mettre près de moi et ma sœur, se déshabillant entièrement, se jeta, nue, aussi près de moi, en soufflant. J’entourais leurs épaules de mes deux bras, et les embrassant l’une après l’autre, sur les lèvres, je dis:Maintenant, j’ai deux petites femmes, et il va falloir se partager!!3Maintenant que j’avais baisé ma mère, grâce à son ex-petit ami Jacques, je me sentais le plus heureux des mecs. Cet après-midi là, nous étions tous deux, seuls à la maison. Elle était partie faire une petite sieste, pendant que moi, dans le bureau de mon père, je traficotais sur l’ordinateur, à la recherche d’histoires de cul! J’étais tellement absorbé par mes lectures et surtout par les photos, que je ne l’entendis pas arriver et elle me surprit en pleine contemplation d’un couple entrain de baiser…Mais c’est beau tout ça, me dit-elle à l’oreille!!Je sursautais et fermais rapidement l’écran. Elle se mit à rire et sortit du bureau. Je la regardais s’éloigner en balançant ses fesses exagérément, pas de doute!! Je me précipitais à sa suite et lui touchant une épaule: Yvette, je veux te baiser. Viens vite, je bande fort!!C’est sûr ça?Et se faisant elle me saisit la bite à pleine main, par-dessus mon boxer. Mais c’est vrai, tu bandes!!Je l’entraînais dans le salon, la fit se mettre sur le canapé, assise. Je pris un pouf et m’installais devant elle, à ses pieds. Je t’aime, Yvette, je t’aime très fort!!Moi aussi mon chéri, je ferai tout ce que tu voudras pour que tu sois heureux!! Ce n’est tombé dans l’oreille d’un sourd ce qu’elle venait de me dire, aussi je lui dis sèchement:Bon, d’accord, alors enlève ta culotte, met-toi nue que je vois tes nichonsElle s’exécuta immédiatement et se rassitÉcarte les cuisses que je vois ta chatteElle le fit et plus largement encore que je ne le souhaitais. Je bandais tellement fort que je sentais du sperme couler… Maintenant qu’elle était largement ouverte devant moi, je pouvais admirer tous ces attributs dont se pare une femme. Sur ma demande, de ses deux mains elle écarta les lèvres de son vagin, très largement et je pus voir son trou!! Je lui demandais de se caresser. Ce qu’elle fit de bon cœur. Elle accéléra la cadence d’elle-même et je le senti prête à jouir, sous mon regard. Je lui ordonnais de cesser un moment, puis d’enfoncer ses doigts dans son vagin et de se masturber. Elle le fit avec deux doigts seulement, je trouvais cela insuffisant et lui dis de mettre les autres aussi. Elle m’obéit sans rien dire. Elle se masturba avec frénésie. Je lui saisis le poignet pour l’arrêter, je ne voulais pas qu’elle jouisse encore. Elle se plaignit, car elle voulait se finir. Lui reprenant la main, je la guidais dans sa grotte et lui demandais de l’enfoncer dedans entièrement. Elle protesta un peu, me disant qu’elle était trop étroite pour faire cela. J’insistais fermement, si bien qu’elle essaya de nouveau. Tous ses doigts étaient entrés, mais il y eut difficulté avec la paume de la main. Je me levais et vins l’aider. Je saisis son poignet et poussais très fort. Elle lâcha un petit cri mais j’eus la satisfaction de voir que sa main était entièrement rentrée. Je poussais encore et une partie du poignet suivit. Elle se faisait un fist de première. A ma demande elle se masturba doucement. Elle s’était tellement ouverte, qu’elle put ressortir sa main et la remettre plusieurs fois. Elle se mit à haleter en se branlant de plus en plus vite jusqu’à pousser un cri de jouissance et à retomber inerte, la main toujours dans son vagin. Je me sentais dominateur, à ce moment là!! Je l’embrassais sur la bouche en lui disant que je l’aimais et que j’étais fou d’elle. Quand elle eut repris ses esprits je lui demandais de venir me sucer! Elle se leva, s’agenouilla à mes pieds, prit ma bite à deux mains et l’avala à moitié. Je ne pus me retenir et j’éjaculais dans sa gorge à gros flots. C’était si violent que du sperme ressortait de ses lèvres. On se releva tous les deux en même temps et la prenant dans mes bras je lui donnais un baiser d’amoureux.Je lui demandais ce qu’elle avait ressenti avec sa main en elle?Elle m’avoua qu’au début elle avait eu très mal mais qu’après cela avait très agréable puisqu’elle avait joui.Lui prenant la figure entre mes deux mains et après lui avoir donné un petit baiser sur ses lèvres pulpeuses, je lui dis: La prochaine fois, ma petite Yvette chérie, je te prendrais par derrière. Je te défoncerai ton joli petit cul et je le ferai tellement souvent que tu vas aimer et que tu ne pourras plus t’en güvenilir illegal bahis siteleri passer!!Elle me regarda dans les yeux, me rendit mon baiser et me dit:Autrement dit, tu veux faire de moi, une véritable enculée, n’est ce pas?Oui, ma chérie, je veux que tu arrives à aimer te faire enculer et même que cela soit toi qui me le demande!!Mon Armand chéri, ce con de Jacques m’a déjà enculée plusieurs fois. D’ailleurs il me prenait plus par le cul que par le con.Tu as aimé?J’avais commencé à apprécier cet acte, mais il jouissait trop vite et je n’arrivais jamais à prendre mon plaisir convenablement. Sa queue était assez petite, pas comme la tienne qui est énorme!! Comme tu l’as dit:Tu vas me défoncer le trou du cul!! J’espère que cela se passera bien!!4Cet après-midi là nous étions seules ma mère et moi, mon frère étant allé retrouver des copains à lui. Toutes les deux, sur des transats, au bord de la piscine, nous lisions des revues de mode. Soudain ma mère me dit, en me tendant une revue: Tu crois que ton frère aimerait cette tenue?Je pris la revue et pu admirer un mannequin avec des dessous affriolants: culotte blanche très échancrée, soutien gorge balcon, assorti. Tout cela était si petit qu’on aurait dit le mannequin nu.Tu sais, je pense que cela risque de lui plaire, mais rappelle-toi que dans la maison il ne veut pas que l’on porte de culotte, qu’on doit laisser nos fesses entièrement nues, comme nous les avons en ce momentOui je sais, il veut que l’on soit toujours disponible! Au fait, combien as-tu connu d’hommes avant lui? Je lui répondis que je n’en n’avais jamais connu, que Armand était le premier. Toute surprise elle m’a demandé si j’étais vierge quand il m’a possédée. Je dus lui avouer que je n’étais plus vierge et je lui ai alors raconté mes aventures avec Lélo et ses godemichés. Je lui ai dit combien je prenais plaisir à utiliser ces choses-là. J’en avais un dans mes affaires, mais il était tout petit et tout à fait classique. Elle s’exclama qu’elle avait connaissance de ces trucs-là, mais qu’elle n’en n’avait jamais vu et donc encore bien moins essayé. Je sautais sur l’occasion pour lui demander si elle serait intéressée par la chose, auquel cas je pourrais lui montrer le mien, et pourquoi pas l’essayer….Elle hésita un moment, puis du bout des lèvres elle laissa fuserBen… Pourquoi pas? Mais j’ai peur que ton père ne le découvre un jour… Tu sais il est souvent parti, et il me manquait un homme pour me tenir compagnieElle finit par m’avouer qu’elle avait eu un amant, qui s’appelait Jacques, et me raconta son histoire et comment, par la ruse de ce Jacques, son fils chéri l’avait possédée pour la première fois. Je lui pris la main, l’obligeant à se lever du transat et pour la première fois je lui déposais un baiser sur les lèvres. Elle eut un sursaut, me regarda dans les yeux, me sourit et me prenant par le cou me donna un baiser brûlant. Sa langue fouillait ma bouche et je ne voyais plus que la Femme, en elle. Je ne pus m’empêcher de lui caresser les seins, à travers son chemisier. Sa langue me fouillait toujours et elle plaqua son ventre contre le mien. Tout naturellement ma main descendit vers son entrejambes et d’un doigt explorateur je la pénétrais doucement. Elle était dans un état de réception extraordinaire, toute trempée… Je n’en revenais pas!! Elle écarta bien les jambes et je me mis à la masturber avec force, avec trois doigts ce coup-là!! Elle rejeta la tête en arrière, agrippée à mes épaules et elle se mit à jouir comme une furie. Le calme revenu, je lui fis lécher mes doigts et puis l’embrassais amoureusement.La tenant par la main, nous rentrâmes à la maison jusqu’à ma chambre. Je la fis asseoir sur mon lit et lui demandais d’enlever sa blouse, tandis que j’allais à mon armoire pour prendre mon godemiché. Je revins vers elle en le lui tendant. Elle le prit d’une main hésitante, le contempla et ne sut que direPourquoi cette couleur rouge?Je me mis à rire en lui disant que l’on n’avait guère de choix au niveau des couleurs. Je le lui repris et le promenais sur sa poitrine, agaçant la pointe de ses nichons, puis descendis vers son ventre en le frottant avec douceur. Elle écarta légèrement les cuisses et je passais mon gode sur l’intérieur de ses jambes, là où la peau est très sensible. Je vis sa poitrine se soulever plus rapidement et les yeux fermés elle respirait plus rapidement. Je cessais mes caresses et la repoussant légèrement d’une main, je la fis se coucher sur le dos. Je lui écartais largement les cuisses, lui fis relever les genoux et me jetais goulûment sur son vagin dans lequel j’enfonçais ma langue. Je la léchais comme une dingue et je sentais sa jouissance me dégouliner sur le menton. En même temps que ma langue s’activait frénétiquement je fis pénétrer mon petit godemiché. Elle poussa un feulement et leva d’avantage ses genoux vers sa poitrine. Ainsi ouverte, j’étais à mon aise pour lui masturber le clitoris avec mon gode. Elle jouissait sans arrêt, secouant la tête de droite à gauche en poussant des petits cris de plaisir. N’y tenant plus je poussais loin mon petit engin et il disparut entièrement en elle. Je me remis à la lécher et m’appuyant sur la tête de ses deux mains, elle m’enfonça d’avantage contre elle et poussa un véritable hurlement de jouissance. Elle laissa retomber ses jambes et resta inerte et respirant fort. Son vagin était refermé et je ne voyais toujours pas mon gode. Je me penchais sur elle et la couvris de baisers. On se leva enfin et une fois debout elle fléchit un peu sur ses jambes pour se retirer le godemiché. Je l’en empêchais en lui demandant de le garder encore un peu en elle. Je la fis marcher, ce qu’elle fit à petits pas. Elle s’exclama Je le sens bouger quand je marche!!Je la fis aller et venir dans la pièce et d’un coup elle s’arrêta net, les yeux grands ouverts, comme sa bouche d’ailleurs et elle cria Mon Dieu, je jouis encore!!! Son corps tremblait d’excitation et elle se jeta contre moi pour m’embrasser.5Je rentrais à la maison plus tôt que prévu, et qu’elle ne fut pas ma surprise en surprenant ma mère et ma sœur dans les bras l’une de l’autre et entrain de s’embrasser!!Eh bien les filles, on prend du bon temps à ce que je vois!!!Inutile de dire que je me mis à bander d’un coup, d’autant plus, qu’ayant bu un peu trop avec les copains, je me sentais tout guilleret et en pleine forme…Adeline chérie, viens vite mon amour, ma poulette adorée, j’ai envie de toi!!Tout en disant cela, je sortis ma bite du pantalon et la pointais vers elles.Adeline se précipita, se courba et la mit en bouche pour une succion divine. Puis se relevant, elle s’accouda sur une chaise, les fesses tournées vers moi. Elle passa une main entre ses jambes et de ses doigts elle ouvrit sa chatte en me disant:Je t’attends!Je vins me placer derrière elle, pine au vent. Dès qu’elle sentit mon gland contre elle, elle le saisit du bout des doigts et le guida pour le faire entrer. Je la pénétrais en force et brutalement. Elle poussa un petit cri de protestation mais me laissa faire. Je la pilonnais de toutes mes forces. Ma mère s’approcha de nous, se mit à genoux et embrassa ma sœur dans le cou, se mit à lui pétrir les nichons. Cette dernière gémissait de plaisir. Je me retirais de cette grotte chaude dans laquelle je m’épanouissais et la tendis à ma mère qui s’empressa de la mettre dans sa bouche, pleine du liquide de ma sœur et qui la suça avec avidité. Je demandai, alors, à Adeline de se mettre à quatre pattes sur le tapis, les fesses en l’air. Je demandais la même chose à ma mère, ce qu’elles firent rapidement avec un ensemble touchant, leur cul levé vers moi. Je saisis ma sœur par les hanches et plongeais de nouveau en elle, par petits coups, puis me retirais pour faire la même chose à Yvette. En la pénétrant, je sentis quelque chose de dur et ne pus aller plus loin. Tout surpris, je me redressais et demandais ce qu’il se passait!! Adeline, en gloussant, vint se mettre à genoux derrière notre mère, enfonça ses doigts dans cette chatte toute mouillée de plaisir, et à ma grande surprise je la vis retirer lentement un truc tout rouge que je reconnus comme être un godemiché. Elle se releva en souriant et me disant: Vas-y maintenant, la place est libre!!Ben merde alors, je vois que vous vous êtes bien amusées pendant que j’étais absent!!Je m’engouffrais de nouveau dans cet antre adorable, au plus profond possible, puis changeant, je revins vers ma sœur et ainsi de suite, je passais de l’une à l’autre et fus pleinement heureux de les entendre gémir de plaisir. Ma mère jouit la première, puis sentant que j’allais éjaculer j’en avertis ma sœur qui se releva prestement, me prit juste à temps dans sa bouche où je me déversais sans retenue…..Plus tard, tous trois assis dans les fauteuils du salon, je leur demandais de me raconter cette histoire du godemiché, ce qu’elles firent sans aucune gêne. Au fur et à mesure que mes deux femmes racontaient leurs exploits, une idée me vint et d’un coup me fit de nouveau bander. Je me dépêchais d’ôter mes fringues pour me retrouver la pine à l’air. Leurs regards étaient fixés dessus. Je leur dis, en toute innocence, que je n’avais jamais vu deux femmes faire l’amour entre elles et que j’aimerais bien les voir faire et cela de suite.Elles ne se firent pas prier une seconde et ce fut ma sœur qui entama les hostilités. Elle prit sa mère et commença par l’embrasser à pleine bouche tout en lui caressant les seins. Ses mains virevoltaient sur tout ce corps merveilleux que j’avais eu tant de plaisir à posséder. Tout en se tenant enlacées, elles se laissèrent choir sur le tapis, se mirent en position du 69 et les léchouilles ne cessaient d’être de plus en plus fortes et profondes. Les gémissements et les soupirs étaient de plus en plus rapprochés et de plus en plus forts. Un cri, un raidissement de tout son corps: ma sœur venait de jouir. Yvette la suivit de peu, mais elle, elle poussa un grand cri en se raidissant aussi. Ma sœur lui planta alors ses doigts dans la vulve et la masturba violemment. Les cris redoublèrent pour finir en un long gémissement. Je me penchais vers ma sœur, lui saisis le poignet et la forçais à entrer sa main plus profondément. Comme elle avait de petites mains et des petits poignets, cela se fit sans trop de difficulté. Ma mère se retrouva avec la main et la moitié de l’avant-bras de ma sœur dans le vagin. Adeline le fit aller et venir lentement et chose extraordinaire elle se mit à jouir rien qu’en faisant cela. Ma mère quant à elle ne cessait de geindre de bonheur et se mit à crier Je deviens folle!!!!Je me masturbais comme un fou, moi aussi. Le calme revint, chacun reprit ses esprits et je pus contempler tout mon sperme étalé sur les fesses de ma mère et en partie dans les cheveux d’Adeline.Tout le monde était épuisé et nous avons remis notre conversation à plus tard, pendant le dîner, peut être….. 6Nous étions, ce matin là, à vaquer à nos occupations habituelles quand le téléphone sonna. On se précipita tous et ce fut ma mère qui décrocha güvenilir bahis şirketleri la première. Elle poussa une exclamation: C’est toi, mon chéri!! Comme je suis heureuse de t’entendre!!Elle parla un long moment et après avoir raccroché, les yeux brillants, elle nous dit: Papa arrive ce soir par avion, il faut que l’on aille le chercher à 21 heures à l’aéroport.Armand ne put s’empêcher de lancer une vanne à l’adresse de maman:Il va falloir que tu prépares ton joli petit cul, car cette nuit il va t’en mettre plein la culotte!!Gros cochon… Tu n’as pas honte de parler ainsi à ta mère?Tout en souriant, elle tendit la main vers son entrejambes et lui massa l’endroit où se trouvait son sexe:Mais avant, je veux en profiter un peu avec toi…Elle le lui sortit, tout mou, et de sa bouche elle essaya de lui donner un peu de vigueur, mais pas suffisamment pour pouvoir en profiter pleinement. Déçue, elle se releva, et lança:Toi, tu t’es trop dépensé cette nuit et je parie que ta sœur en a profité! … Il va falloir que très prochainement nous te donnions des fortifiants spéciaux, pour ne pas nous faire défaut! ….Effectivement, nous avions bien profité de cette nuit et ce fut même la première fois qu’il me sodomisa. Mon petit trou était vierge du sexe d’un homme, n’ayant connu qu’un godemiché à sa taille, avec Lélo, mon amie. Les débuts furent difficiles, étant donné les mensurations de son membre, mais quand il eut réussi à m’investir entièrement, je découvris alors un autre genre de jouissance. Ce fut réellement une folle nuit et je n’eus plus aucune difficulté à le recevoir dans mon petit cul. Comme c’était bon!!!J’allais enfin retrouver mon cher Papa et un tas de pensées se bousculaient dans ma tête. Je ferai tout ce qui est possible de faire pour qu’il s’aperçoive enfin que je n’étais pas seulement sa fille, mais aussi une femme qui aimerait se faire posséder par lui.La journée fut longue pour moi et quand, enfin arriva le soir, j’étais prête la première. Maman avait préparé un bon repas, avec notre aide bien sûr. Quand je le vis avancer dans le hall de l’aéroport, je ne tins plus en place et quand je pus le faire, je me précipitais dans ses bras. Il me serra longuement contre lui et me donna un baiser sur le front. Instantanément je sentis mon entrejambes s’humidifier. Il embrassa mon frère et baisa la bouche de Maman.De retour à la maison, il nous annonça:J’ai maintenant le droit de prendre des congés et je resterai près de vous pendant une bonne quinzaine avant de retourner sur mes chantiers.Après cette annonce et vu le temps qu’il reste, j’eus alors la certitude d’arriver à mes fins avant son départ.La journée s’acheva dans l’euphorie et tout le monde partit au lit. Quand on se dit bonsoir, mon frère eut l’occasion de poser sa main sur le ventre de ma mère et lui dit quelque chose à l’oreille.Le lendemain matin, mon frère et moi nous dévisageâmes notre mère et nous nous rendîmes compte qu’elle n’était pas très fraîche… Nonchalante et avec des cernes sous les yeux!Mon père nous annonça qu’il devait passer à son bureau, y déposer ses papiers, et serait rentré pour midi, et il partit. Immédiatement on se précipita vers Yvette, ma mère: Alors… Raconte!!A peine étions nous couchés qu’il m’a sauté dessus!! Je l’ai enfin retrouvé!!C’est tout?Non!! Pour la première fois, alors que je le lui avais toujours refusé, il m’a sodomisée… Et ce, plusieurs fois. Il a passé la nuit à m’enculer!!Cela t’a plu, non?Oui, bien sûr, il a même été surpris de pouvoir entrer aussi facilement, et ceci, grâce à toi, mon Armand chéri qui m’a si bien ouverte de là…On en resta là, pour les confidences.Dans l’après-midi, au bord de la piscine, je ne portais que mon slip de bain. Je savais qu’il m’observait depuis le salon: j’avais vu un mouvement derrière la porte-fenêtre. Couchée sur le dos, je remontais mes genoux et ouvrais les cuisses, comme pour m’en faire bronzer l’intérieur. Je pris un tas de poses, plus indécentes les unes que les autres. Les jours suivants je refis les mêmes gestes et pris les mêmes postures. Me retrouvant sous la douche, j’entendis la porte s’ouvrir doucement. Mine de rien, je fis comme si je n’avais rien entendu. Au moment où j’étais tournée vers le mur, la tête relevée pour faire couler l’eau le long de ma poitrine, deux bras m’enserrèrent le torse et m’immobilisèrent. Je sentis un corps se coller contre moi et quelque chose de dur et chaud dans ma raie fessière. Une voix me dit à l’oreille:Petite cochonne, tu crois que je n’ai pas vu ton manège à la piscine, depuis plusieurs jours?Je sentis pleins de petits baisers dans mon cou. Je n’essayais pas de me défendre, bien au contraire je me laissais aller en arrière, toute molle en poussant mon fessier en arrière. Sa main descendit et se plaqua sur mon mont de Vénus. Son étreinte s’étant relâchée, je pus me retourner et me coller contre lui. Tout naturellement ma main attrapa sa queue que je me mis à caresser, tandis qu’il collait ses lèvres aux miennes. Il se jeta à mes genoux et commença à m’embrasser le ventre. Il descendit plus bas et j’écartais mes cuisses, ce qui lui permit d’atteindre ma vulve qu’il commença à lécher et enfin sa langue me pénétra. J’avais les mains crispées sur sa tête et je gémissais de plaisir. Il se releva, me fit retourner, pencher en avant. Je m’agrippais aux robinets tout en faisant ressortir mes fesses et je sentis, enfin sa bite me pénétrer. Il me posséda avec fureur et je me mis à jouir comme une dingue. Son ventre claquait contre mes fesses. Après de puissants coups de reins, il arrêta son mouvement et je le senti se déverser en moi à grands jets, avec un grand soupir, pendant que je criais mon bonheur. Il resta encore un moment en moi et je sentais son membre pulser. Enfin, il se retira et me jetant à genoux, à ses pieds, je le pris dans ma bouche pour la lécher. Il était redevenu flasque mais cela ne m’empêcha pas de le prendre entre mes lèvres et de lui donner plein de baisers.On se sécha rapidement. Il me frotta le dos, s’attarda longuement sur mes fesses, me sécha aussi le vagin et en profita pour y glisser un doigt à l’intérieur. Je lui dis, enfin, qu’il y avait longtemps que j’attendais ce moment et qu’il m’avait fait trop languir. Il me prit dans ses bras, et me caressant les seins, il m’avoua que lui aussi avait envie de moi depuis très longtemps.Mon petit papa, maintenant que tu m’as baisée, que tu m’as remplie de ton sperme, il ne faudra pas cesser de me faire l’amour, n’est ce pas?Non, bien sûr… Je te baiserai à chaque fois que l’occasion se présentera!!Et maman?… On va lui dire?Tu es folle!! Il ne faut pas qu’elle sache!!Dis-moi… Et si tu apprenais que… Armand la baise, maman, que ferais-tu?D’abord il serait étonnant qu’il y arrive, ta mère est du genre prude, et puis avec son fils?… Tu n’y penses pas quand même!!Oui j’y pense. Et si cela arrivait… Tu m’as bien baisée, moi et pourtant je suis ta fille!!Et bien si cela arrivait, je ne pourrais rien dire, on ferait ça en famille!!Tu serais d’accord, alors? Tu ne serais pas jaloux?Oui, je serais d’accord, et je ne pourrais être jaloux de mon fils, et à condition qu’elle le veuille, bien sûr, ce qui me surprendrait fort.Écoute, je vais en parler à Armand et voir ce qu’il en pense.Si tu lui en parles, tu vas être obligée de lui donner des explications et cela risque d’être gênant pour moi. N’aie crainte pour ça, je vais très bien arranger la chose. Je lui dirai que tu m’as baisée, que de ce fait, tu souhaiterais qu’il en fasse autant à maman.Toute la famille, quoi? Les uns baisent les autres et la vie est belle!!!Et si lui aussi me baisait, qu’en dirais-tu? Un frère, une sœur, c’est déjà plus courant, mais un père avec sa fille et une mère avec son fils c’est déjà plus rare, bien que cela se produise assez souvent. Mais toi avec ton frère, pourquoi pas, cela apporterait du piquant dans notre vie familiale…S’il avait su, mon pauvre papa, qu’il y avait longtemps que cela était arrivé!! J’ai rejoint mon frère dans sa chambre, il était devant son ordinateur. Je lui ai raconté mon histoire et lui ai dit comment papa m’avait baisée, sous la douche. Il n’en crut pas ses oreilles, mais je lui ai donné plein de détails et il dût se rendre à l’évidence.Et bien, petite sœur, je vais faire un effort. Le jour où je ferai l’amour à maman, il faudra qu’il nous surprenne en pleine action. Arrange-toi pour que cela se fasse rapidement, j’ai tellement envie de la baiser et de te voir baiser avec papa!…Prétextant des courses à faire, je demandais à papa s’il voulait bien m’accompagner. En faisant un clin d’œil à mon frère, je dis haut et fort:On en a pour une heure environ!Maman nous recommanda de prendre notre temps, devinant qu’elle et mon frère…..On partit en voiture, mais un peu plus loin, dans l’allée, mon père s’arrêta, m’a pris dans ses bras et m’embrassa fougueusement tout en passant sa main dans ma culotte et me caressa la chatte d’un doigt investigateur. Il s’écria;Mais, tu es toute mouillée!!Les courses furent vite terminées et nous rentrâmes rapidement. Il me tardait de voir où en était – l’opération. Ce fut mieux que ce que je m’attendais à voir. Après avoir posé les paniers dans la cuisine, avec papa, lui mettant un doigt sur les lèvres, après l’avoir embrassé, je lui recommandais de ne pas faire de bruit, la maison étant silencieuse. A pas de loup, nous nous dirigeâmes vers le salon et là, le spectacle dans toute sa beauté: ma mère à quatre pattes sur le tapis, la robe troussée sur les reins et mon frère entrain de la posséder avec vigueur. Elle avait la tête baissée, ses longs cheveux faisant comme un paravent, elle ne pouvait nous voir. La tête entre ses bras allongés devant elle, les fesses bien en l’air, elle poussait de petits gémissements très discrets. Mon frangin s’en donnait à queue-joie!! Il s’enfonçait en elle à grands coups de bassin.Papa voulut entrer dans la pièce, mais je le retins juste à temps en lui soufflant:Laisse les finir quand même!!Il se tint tranquille et à mon grand bonheur je m’aperçus qu’il bandait. Cela promettait pour l’avenir sexuel de la famille!! Je lui fis une petite caresse sur le sexe en souriant et lui fis un clin d’œil en lui tirant la langue.Un grand gémissement de jouissance et mon frère qui murmura:Prends mon jus, maman, prends tout ça en toi!!La tête en arrière, on devina qu’il se répandait en elle. On attendit qu’il se retire. Nous entrâmes sans faire de bruit et ma mère toujours à quatre pattes, les fesses bien relevées, ne nous entendit pas approcher. Une chose incroyable se passa alors: mon père sortit son sexe, bandé à l’extrême, vint derrière elle et plongea dans cet antre que venait de libérer son fils. Il n’y resta pas longtemps et après quelques allers-retours, éjacula de suite. Ma mère s’effondra en avant, sans s’être rendu compte que c’était son mari qui venait de la prendre après mon frère.Le calme revenu, elle se releva, un peu groggy et nous apercevant, entrain de la regarder, elle se cacha la figure dans ses mains en disant plusieurs fois:J’ai honte!!Papa alla la prendre dans ses bras, lui embrassa les lèvres tendrement:Ma chérie, notre fils t’a baisée, et alors? Moi j’ai bien baisé notre fille!!Elle releva la tête en le regardant:C’est vrai? Tu as baisé Adeline? Gros cochon chéri!!On partit tous dans un grand éclat de rire … La vie est belle n’est ce pas? …