Histoire de partouzes

Ariana Marie

Histoire de partouzesHélène et moi, nous partouzions depuis exactement une année, jour pour jour. Pour fêter ça, on s’est offert un couple d’étudiants, Anna et Pierre, qui étaient nouveaux sur le site de rencontres où nous étions inscrits. Hélène et moi, nous étions ensemble depuis quatre ans. A force de fantasmer à voix haute en baisant, de s’inventer des histoires où nous nous mettions en scène, de s’envoyer en l’air devant des vidéos pornos sur Internet, nous avions décidé de franchir le cap. Nous avions confiance l’un en l’autre. Nous souhaitions partouzer, mais uniquement pour le sexe. Nous étions clairs sur ce point. Notre couple était soudé, mais on aimait le cul.Nous nous sommes décidés un soir du mois de juin. Sur la fiche qu’il nous fallut créer sur le site, il fut précisé que nous recherchions des couples âgés de 20 à 50 ans, pour soirées sensuelles dans le respect. Et puisqu’il était fortement recommandé de faire figurer des photos sur cette fiche, nous en avons réalisées dans la foulée. J’y étais torse nu, en caleçon, le visage floué. De même, on ne reconnaissait pas Hélène qui exhibait ses seins et portait une fine culotte transparente qui laissait transparaître sa chatte lisse.Le soir-même, nous avions reçu 14 messages.Trois jours plus tard, nous faisions notre première partouze. Elle eut lieu chez nous et fut assortie de kirs à la framboise et à la pêche, de petits fours, de musique plutôt rock et de lumière tamisée. Le couple était un peu plus âgé que nous. Karine avait 38 ans et Christophe 41. Ce n’était pas la première fois qu’ils partouzaient, loin de là. Nous avons longuement parlé et bu avant de passer à l’acte. Et c’est Karine qui ouvrit le bal, je me souviens, en écartant ses cuisses dans le canapé, en face de moi. Elle ne portait rien sous sa robe. Je me souviens aussi du final, lorsque j’ai déchargé sur son anus, après l’avoir prise en levrette, tandis qu’elle léchait la chatte d’Hélène qui suçait la bite de Christophe. Quelques secondes plus tard, il a joui sur ses seins. De longues giclées très liquides.Il était appréciable de ne pas parler que de sexe avec les couples que nous rencontrions. Nous aimions la littérature, le cinéma, la musique, mais aussi les randonnées en pleine nature. Il nous est d’ailleurs arrivé une bonne dizaine de fois de partouzer en extérieur. Nous nous sommes fait surprendre, un jour, par un vieux monsieur qui se promenait dans la forêt. Nous l’avions autorisé à s’approcher et à regarder, et il avait fini par sortir sa queue pour se branler, puis éjaculer en matant les deux femmes à poil qui se faisaient pénétrer sous ses yeux.Il est aussi arrivé que la marge d’âges précisée sur notre fiche s’étire un peu. Nous avons partouzé avec une fille de 18 ans et un garçon de 19. De même, la femme la plus âgée à qui j’ai léché le cul avait 53 ans. Hélène ne détestait pas du tout les hommes mûrs, je le savais. Maintes fois par le passé, au fil de nos fantasmes, elle m’avait confié son envie de baiser avec des hommes qui pouvaient avoir l’âge de son père. Elle ne s’en est pas privée. Je me souviens l’avoir observée du coin de l’œil, un soir, en compagnie d’un homme qui approchait de la soixantaine, tandis que son épouse me suçait. Ils s’embrassaient avec la langue, ce qui était très rare, pendant que l’homme tirait lentement sur l’élastique de sa culotte pour la faire glisser le long de ses cuisses. Hélène malaxait délicatement ses couilles.J’aimais la voir se déshabiller devant des hommes. J’aimais qu’elle dégrafe son soutien-gorge, quand elle en portait un, et que d’autres que moi voient ses nichons. J’aimais la voir baisser sa culotte, quand elle en mettait une, de préférence en me tournant le dos. J’adorais voir son cul apparaître de cette façon, en sachant qu’elle allait se le faire bouffer sous mes yeux dans les minutes qui suivaient. J’aimais la voir enrouler sa langue autour d’un gland gonflé qui illegal bahis n’était pas le mien, et des queues s’enfouir tout entières dans sa bouche. J’avais aussi pris goût à voir des coulées de sperme déborder de sa bouche, et croiser son regard au cours de ces instants.Un soir où nous étions seuls, elle m’a dit :« J’adore voir ta queue pénétrer des chattes. »Je lui ai répondu :« J’adore voir ta chatte accueillir des queues. »Nous étions complices et nous ne cessions pas de baiser tous les deux, ni de fantasmer, ni de mater des vidéos sur Internet. Nous dialoguions tous les soirs avec des couples qui nous avaient contactés, et nous parcourions de même le site à la recherche de nouveaux partenaires. Nous habitions dans une grande ville et nous avions l’embarras du choix. Des centaines de couples souhaitaient partouzer autour de nous et, quotidiennement, des nouveaux s’inscrivaient. S’ils nous convenaient, nous leur sautions dessus, quand ce n’était pas eux qui le faisaient.Notre record était de cinq partouzes en une semaine, dont un samedi où nous en avons fait deux. Une en journée et une le soir, avec deux couples différents. En me couchant cette nuit-là, ma queue était toute engourdie, je me souviens. J’avais éjaculé trois fois en tout, dont une sur le ventre d’Hélène. Car nous baisions naturellement ensemble au cours de nos rencontres. J’aimais en particulier la pénétrer juste après qu’un autre l’ait fait, ou pendant qu’elle suçait une bite sous mes yeux. J’aimais aussi la prendre tandis qu’une femme se tenait à califourchon sur sa bouche. Hélène aimait les chattes, elle ne me l’avait jamais caché. Au moment de notre rencontre, elle avait déjà une bonne dizaine de filles à son palmarès. Des amies de lycée ou de fac, des voisines de quartier ou des copines d’un été. En revanche, je n’avais jamais sucé de bites dans ma jeunesse. Les mecs n’étaient pas mon truc, mais j’avoue m’être laissé tenter à plusieurs reprises au cours d’une partouze. Sous l’effet de l’alcool, sans doute, mais aussi parce qu’une complicité s’était établie, je me souviens avoir laissé un homme plus jeune que moi toucher ma queue pendant que je léchais la chatte de sa compagne. En sentant ses doigts et en le voyant faire, je me suis surpris à bander encore plus. Et tandis que je bouffais cette chatte, il s’est mis à me branler doucement, sans me regarder. Hélène se tenait près de là, au bout du canapé. Elle nous regardait en se masturbant. Elle souriait. Ma queue était dure comme un bâton quand il s’est mis à la sucer. Je l’ai laissé faire, pendant plusieurs minutes, puis j’ai pénétré sa compagne.Plus tard, c’est moi qui ai sucé une queue. Celle d’un homme plus âgé que moi. Il venait de la retirer de la chatte d’Hélène. En revanche, j’ai tardé à éjaculer dans la bouche d’un homme. De même, j’ai longtemps refusé de me prendre des giclées de sperme dans la bouche. Mais j’y suis venu, peu à peu. A force de confiance et d’excitations croisées. Après avoir admis l’existence d’une partie de moi, inconsciente ou refoulée, qui ne reculait pas devant les bites. Hélène raffolait bien des chattes.Nous nous sommes fait surprendre une autre fois, avec un couple plus âgé que nous, au bord d’un petit étang. Nous n’avions pas entendu l’homme approcher, et quand il fut à quelques mètres de nous, on a tous sursauté. Il avait la cinquantaine et il souriait. Les mains dans les poches de son pantalon de pêcheur, il nous a dit comme ça :« Eh bien, on ne s’embête pas ! »On s’est détendu. Il ne nous voulait pas de mal. Il a ajouté :« Vous êtes chez moi, vous savez. Ce n’est pas bien d’entrer dans des propriétés privées sans demander l’autorisation. J’en connais quelques-uns qui vous poseraient des problèmes, mais rassurez-vous, je ne vous en poserai pas. C’est un trop joli spectacle que vous offrez là. »Nos quatre regards se sont croisés, je me souviens. On était là, à poil devant cet homme illegal bahis siteleri plutôt aimable. Il avait vu deux bites se retirer de deux chattes à son arrivée, et à présent il se régalait de mater les deux paires de nichons de nos partenaires. Nos regards restèrent muets pendant quelques instants, et ce fut l’homme de l’autre couple qui se tourna vers le propriétaire des lieux pour lui dire :« Puisque l’endroit vous appartient, faites comme chez vous. »L’homme s’est mêlé à nous sans se faire prier, mais dans le plus grand respect. Il s’est déshabillé et s’est approché d’Hélène pour lui tripoter les seins. Je me suis branlé en les regardant. De leur côté, nos partenaires se sont remis à baiser. C’était la première fois, Hélène et moi, qu’on le faisait à cinq. Par la suite, il nous est arrivé de le faire à six, à huit…Le deuxième chiffre impair a tardé.C’était un trois.C’était un homme. Il avait 57 ans et s’appelait Maxime. Il vivait tout près de chez nous. Inscrit depuis deux ans sur le site de rencontres, il était également à la recherche de couples, sauf qu’il était seul. Il nous avait envoyé plusieurs messages, auxquels nous avions répondu par la négative, mais il continuait d’insister malgré tout, sans pour autant être lourd. Une fois sur trois, nous lui rappelions que nous ne cherchions que des couples, et alors il se calmait pendant quelques jours, puis revenait à la charge, mais toujours de façon courtoise. Cela nous amusait, Hélène et moi, à tel point que Maxime était parvenu à s’immiscer dans nos conversations. Nous parlions de lui sans l’avoir rencontré, à la façon d’une entité, d’un camarade virtuel improbable. Nous riions de lui, mais gentiment. Nous le savions seul chez lui, devant son écran, à la recherche obstinée d’un couple qui voudrait bien l’accueillir. Nous l’aimions bien, au fond. C’était de l’ordre de l’intuition. Nous étions persuadés que Maxime était un homme correct, vicieux probablement, mais empli de bonnes manières. En tout cas j’en étais convaincu, et je gardais aussi en tête le fait que Maxime avait le même âge que le père d’Hélène. Pour autant, elle n’avait pas relevé ce détail. En tout cas, pas ouvertement. Par la suite, elle m’avouerait qu’elle n’avait pas cessé d’y penser, sans oser me le dire, de peur que je le prenne mal et à cause du fait que nous avions convenu dès le départ de ne rencontrer que des couples, pas des hommes seuls.Alors j’ai attendu l’approche de l’anniversaire d’Hélène pour écrire à Maxime en cachette. Elle allait avoir 32 ans.Hélène n’en était pas revenue. Nous en étions à notre deuxième verre de kir ce soir-là, quand on avait sonné à l’interphone.Je m’étais aussitôt levé en disant :« Oh, je crois que c’est ton cadeau d’anniversaire qui arrive. »Quand Maxime est entré dans le salon, elle est montée rouge. Elle a balbutié un « bonsoir » et ils se sont fait la bise. C’était très amusant à voir, d’autant que Maxime était parfaitement au courant du complot. Il s’est assis près d’Hélène, dans le canapé, et je lui ai servi un verre. J’ai rempli celui d’Hélène, puis le mien, et nous avons trinqué. Maxime était tel qu’on l’avait imaginé : aimable, poli, attachant. Un chic type. Nous avons longtemps parlé tous les trois, ce soir-là, je me souviens. Parlé, ri et bu. Une personne extérieure aurait pu jurer que nous étions des amis de longue date, tellement les paroles et les gestes semblèrent aller de soi. Un vieux copain, un collègue, un ami de la famille…Puis, assez tard dans la soirée, je dirais au septième ou huitième kir, entre deux sujets de conversation, j’ai dit à Maxime :« Hélène te plait ? »Surpris, il s’est tourné vers elle, comme pour être bien certain que la jeune femme assise à ses côtés était l’objet de la question, puis il est revenu à moi pour répondre :« Elle est mignonne comme tout. »J’ai ajouté :« Tu aimerais voir ses seins ? »Il s’est de nouveau tourné vers Hélène, canlı bahis siteleri dont les yeux brillaient. Elle portait une élégante robe blanche, ce soir-là. Elle n’avait pas de soutien-gorge, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure. A plusieurs reprises, quand elle s’était penchée pour prendre son verre et le reposer, j’avais aperçu un téton qui dépassait. Maxime a répondu :« Je ne voudrais pas qu’il y ait de problème entre vous. »« Il n’y en aura aucun, je lui ai dit. Tu peux glisser ta main dans son décolleté. Tu as l’âge de son père. Vas-y, touche ses seins. »Hélène le fixait. Son regard était implorant. Mais Maxime tarda à oser faire un geste. Il attendit pour cela qu’Hélène dégrafe un bouton de sa robe, afin de faire déborder son téton gauche, en le regardant dans les yeux. Alors il l’a touchée.Et je me suis levé de mon fauteuil en disant :« Je vais aller marcher dans la ville pendant que vous faites l’amour. Ici ou dans notre lit. Joyeux anniversaire, ma chérie. »J’ai terminé mon verre et je suis sorti.Mais revenons au début de cette histoire, si vous le voulez bien.Hélène et moi fêtions un autre anniversaire : celui de notre première partouze à quatre. Comme je vous l’ai dit, c’était un couple d’étudiants. Anna et Pierre n’étaient ensemble que depuis quelques mois lorsqu’ils avaient décidé de s’inscrire sur le site de rencontres. Il avait 21 ans, elle en avait 20. Avant Hélène et moi, ils n’avaient partouzé qu’une seule fois grâce au site de rencontres, mais en revanche une dizaine d’autres avec des étudiants de la fac de Droit où ils étaient. Seulement, tous deux aspiraient à coucher avec des partenaires plus âgés. Ils avaient sans doute leurs raisons à cela, et nous les nôtres d’aimer baiser avec des plus jeunes que nous, ou des plus vieux. C’était ainsi. Chacun a ses raisons d’avoir envie de changer de partenaire, de temps en temps. Chaque homme a ses motifs profonds, connus ou pas, d’apprécier de sucer une bite à l’occasion. Beaucoup de femmes ignorent pour quelle raison elles aiment coucher avec d’autres femmes, plus ou moins jeunes qu’elles. D’autres le savent, et ça ne change pas grand-chose. Au fond, nous sommes tous un peu tordus, ou abîmés par l’existence ; plus ou moins blessés par des épreuves rencontrées sur notre parcours. Blessés ou stimulés, au choix. Car les blessures ont ce pouvoir qui consiste à ouvrir les corps, mais aussi les esprits. Avec des plaies d’où coule du sang, ou bien des maux qui suintent nos vécus respectifs.Qui peut donc dire que c’est bien ou mal ?Du moment qu’on ne fait de mal à personne.Ce soir-là, Anna et Pierre nous expliquèrent qu’ils préféraient le faire dans deux pièces séparées. Nous n’y vîmes pas d’inconvénient. Hélène et lui restèrent dans le salon, tandis que j’allai dans la chambre avec Anna. Elle était mince et brune, les cheveux très longs. De tout petits seins, un tout petit cul. Elle s’est foutue à poil aussitôt après être entrée dans la pièce. Et tandis que nous baisions, quand je lui ai demandé pourquoi ce choix de le faire dans des pièces différentes, elle m’a chuchoté à l’oreille :« Ça me permet de le tromper, mais sans le tromper. Pendant que lui est en train de me tromper dans la pièce à côté. »Par la suite, j’ai revu Anna toute seule. On a baisé dans ma voiture, sur des parkings ou dans des chemins de campagne, mais aussi chez nous. Hélène était au courant, contrairement à Pierre.De la même façon, Hélène et Maxime se sont revus souvent, chez lui ou chez nous. Elle ne me l’a jamais caché. Certains jours de la semaine, à telle heure, tandis que j’étais au boulot, je savais qu’Hélène était à poil dans notre lit avec un homme qui l’appelait « ma petite chérie » en enfonçant sa queue dans sa chatte.Nous n’avons pas pour autant cessé de partouzer avec des couples, Hélène et moi, ni de baiser tous les deux. Ni d’accueillir chez nous d’autres hommes seuls, ou bien des filles très jeunes, seules ou en couple.Nous avons tout essayé. A trois, à quatre, à huit, et même à quinze, un jour, avec des vieux et des jeunes. Nous nous sommes tout permis.Nous ne possédons qu’un seul sexe, mais notre cerveau nous propose mille options.