Irène

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IrèneIrène, publié par Gus Solo le 22 janvier 2020 sur XhamsterJe n’ai pas toujours vécu honnêtement. Je veux dire qu’à certains moments je n’ai survécu que par des moyens que ni la loi ni la morale n’auraient approuvé. Rien de bien grave non plus, je n’ai volé personne et encore moins tué, blessé ou même heurté qui que ce soit, j’ai juste dealé de l’herbe pendant quelques années.C’était à la fin de mes études, mes parents considéraient que leur rôle était terminé et refusaient de payer ma chambre d’étudiant plus longtemps, je pouvais soit rentrer à la maison, soit me débrouiller pour payer mes factures tout seul… et je n’avais pas du tout envie de rentrer chez mes vieux.Je fumais très occasionnellement avec un voisin qui produisait sa propre beuh dans sa serre, l’année avait été très productive et il avait beaucoup trop d’herbe pour sa seule consommation personnelle, il m’a donc proposé d’écouler son excédent et de partager les bénéfices… j’ai hésité, mesuré les risque et puis nécessité faisant loi, j’ai fini par accepterJ’avais fait le tour de mes anciens camarades de classe et de bouches-à-oreilles, je me suis vite retrouvé avec une petite clientèle suffisante pour commencer à vivoter, je payais mon loyer et je mangeais tous les jours, même si c’était souvent des pâtes aux pâtes.J’habitais l’étage d’une maison dont le rez-de-chaussée était occupé par une fille pleine de charme mais qui ne m’intéressait pas beaucoup. Je la trouvais sympathique mais sans plus et je pensais que c’était réciproque. Nous avions partagé quelques soirées en tout bien tout honneur et on s’était épaulé pendant nos examens, mais rien de plus intime à part qu’elle était devenue une de mes clientes régulières. Une cliente idéale d’ailleurs, à la fois discrète et sachant exactement à qui refiler mon contact. Avec le recul je lui trouvais tellement de qualité que je me demande pourquoi nous n’avions pas poussé la relation plus loin , peut être justement parce que nous vivions ensemble dans la même maison.Un soir, elle me dit qu’elle attendait une copine qui m’aurait bien acheté un peu de matos, mais elle hésitait à lui en parler parce que la fille était un peu « spéciale ». Quand j’ai essayé d’en savoir plus elle a juste dit qu’elle n’était ni conne ni méchante, mais qu’elle était juste très particulière… j’en conclus qu’au pire je risquais juste d’être étonné et je lui dis de m’envoyer sa copine…Une heure plus tard, Irène était à ma porte et effectivement j’ai été très étonné de la découvrir. Étonné mais pas déçu, je n’avais jamais vu une fille aussi sexy dans le civil. Et je ne parle pas de ses yeux brillants et ses larges lèvres charnues, je parle de sa tenue : Mini-jupe, cuissardes et veste bouffante ouverte sur un décolleté vertigineux. J’ai dégluti et quelque chose au milieu de mes neurones à dit « aïe ! ».À ce moment-là, j’étais célibataire depuis six mois et tellement en manque de cul que je risquais franchement la tendinite du bras droit. Alors quand j’ai vu cette créature j’ai eu peur de perdre pied et je me suis mis en mode « frigo », c’était mon seul réflexe de survie efficace en cas de trop jolie fille. Je savais très bien qu’elle n’était pas pour moi et je m’efforçais de rester calme… Bref, je l’ai regardé le moins possible, je l’ai fait entrer et je lui ai froidement demandé ce qu’elle voulait…– Je tombe mal ? Je peux repasser si tu veux…– non, tout va bien…– ah bon ? j’ai eu l’impression que je te dérangeais– non, je viens de manger et je m’apprêtais à regarder la téloche, tu tombes au bon moment, qu’est-ce que tu veux ?– elle est bonne, ta beuh ?– moi, je la trouve bonne– je peux goûter ?– y’en a sur la table, vas-y roule…Elle a retiré sa veste, s’est assise et j’ai eu d’un coup très mal au pantalon. J’avais évidement repéré le grand décolleté dans l’ouverture de sa veste, mais je ne savais pas qu’il existait des décolletés avec rien autour… c’était juste une petite pièce de tissus rouge attaché au cou et à la taille par de longues lanières, le tout suivait paresseusement la généreuse poitrine de la demoiselle en baillant aussi largement que possible. Le dos et les flancs de son buste étaient complètement découverts et comme elle était penchée sur son ouvrage, debout en face d’elle je pouvais lui voir jusqu’au nombril. Elle a évidement compris que mon regard la déshabillait, mais ses yeux ne semblaient pas me le reprocher et j’avais fort envie de prendre son grand sourire pour un encouragement. Sauf que je ne voulais pas oublier que je n’étais pas le genre de ce genre de fille et que je ne pouvais que me faire mal, je cherchai donc vite un comportement de substitution…– Tu ne le fumes pas avec moi ?– Heu… si, bien sûr…– Viens t’asseoir alors…J’avais dit oui trop vite, c’était la première bouffée de la journée, celle qui me faisait automatiquement bander… même pas besoin de vraie fille ou de porno pour ça, la beuh me faisait tout simplement cet effet-là, ça déclenchait toujours une cascade de pulsions plus érotiques les une que les autres. C’est pour ça qu’en général je ne illegal bahis fume que cul nu… là j’avais juste une raideur inconfortable dans mon jeans trop serré et je devais remettre le soulagement à plus tard. Putain ! Elle avait bien chargé le boulon, en plus…– Je voulais juste prendre une petite tête ce soir, tu accepterais de me faire une petite quantité pour cette fois ci ? Si je l’aime bien je reviendrais t’en prendre plus… ok ?– Juste cette fois ça alors, je veux bien rendre service, mais je ne suis pas fan des comptes d’apothicaire…– Si tu veux, je m’occupe de la bosse de ton pantalon, comme ça il n’y aura pas de compte du tout… hihi– … – Ben quoi ? je te branle et on est quitte, c’est tout…Ce qui m’a frappé c’est l’innocence avec laquelle elle me proposait son « service ». Dans les pornos, les actrices qui m’excitent le plus sont celles qui n’ont strictement aucune inhibition dans le regard, celles qui ne pensent même pas à mal et qui sucent baisent et jouissent avec un grand sourire innocent. La fille qui était devant moi avait cet exact même sourire et j’étais très troublé…– Je t’aurai bien sucé mais comme tu ne sors pas de ta douche je préfère pas…– Euh…Mon cerveau s’est retrouvé aux abonnés absents pendant une bonne dizaine de grosses secondes… et si vous comptez lentement dans votre tête vous vous rendrez compte que dix secondes, c’est long… bref, j’ai encore trop pensé.– Écoute, je suis désolé, mais j’ai des factures à payer et pour le moment je suis raide, alors une poignée de biftons, c’est déjà ça de pris, tu comprends ?– Pas de soucis, je te trouvais juste mignon, mais tant pis pour toi… hi hiElle s’est levée, s’est rhabillée, m’a glissé dans la main les billets convenus, m’a fait un bisou tout doux au coin de la bouche et puis a tourné les talons en riant gentiment… quand la porte s’est refermée je me suis senti comme le dernier des cons…Elle a habité mon imagination pendant toute la semaine qui a suivi, j’y pensais matin, midi, soir et chaque fois que j’avais une érection à faire passer. À l’époque, internet n’était qu’une idée de geek et on osait pas encore rêver du porno à toute heure. Ceux qui avaient de la chance avaient une télé (cathodique), un magnétoscope et/ou une chaîne cryptée bien connue. Pour les autres, dont moi, il ne restait que les magazines et l’imagination. Je connaissais mes magazines par cœur et mon imagination couvait déjà quelques scenarii bien rodés. Irène personnalisait parfaitement les petites héroïnes de mes fantasmes et très vite elle m’a obsédé…Au point qu’a son passage suivant, une semaine plus tard, j’étais comme paniqué, j’appréhendais le moment ou elle allait me proposer son petit arrangement que je devrais encore refuser. Mais cette fois-là, elle ne m’a rien proposé du tout, elle portait une simple robe qui soulignait ses formes mais rien de plus provoquant. Elle m’a fait des grands sourires, on a partagé quelques taffes et on s’est quitté sans accident notable. Paradoxalement ça n’a fait qu’exacerber ma frustration, j’avais acquis la certitude d’avoir raté la porte du paradis pour toujours et il ne me restait que la maigre satisfaction d’avoir une très bonne cliente dont la commande me permettait d’envisager les jours suivant avec une certaine sérénité alimentaire.Les jours suivants c’était comme si j’avais un ballon d’enfant attaché à ma tête. Un phylactère en forme de bimbo qui m’aurait suivi partout. Ça commençait même à contaminer tout mon environnement. Par exemple, je trouvais ma voisine d’en bas beaucoup plus sexy. L’été facilitait les choses, bien sûr, mais il me semblait qu’elle portait des jupes plus souvent et je ne me rappelais pas l’avoir déjà vue en décolleté. Un soir où l’on entrait au même moment dans la maison, elle a retiré son imper dans l’entré pendant nos salamalecs et il m’a semblé qu’elle poussait ostensiblement son décolleté sous mon nez. Pour détourner la conversation je l’ai félicité pour ses talons et elle sauté sur l’occasion pour souligner l’influence que sa copine avait sur son image, la haute estime ou elle tenait ma cliente et l’air de rien, me signaler que celle-ci me trouvait super sympa. J’ai bafouillé une excuse quelconque et j’ai couru me masturber comme un malade, je commençais déjà à avoir les couilles bleues.Un soir que je sortais de ma douche, on frappe à ma porte. Et comme je n’avais pas entendu la sonnette j’ai ouvert en peignoir en pensant que c’était ma voisine. Seulement ce n’était pas la voisine, c’était ma bombe sexuelle de cliente en toute légère robe d’été, trop courte, trop échancrée et trop transparente… cette fille n’avait aucune pudeur, elle ne portait que quelques grammes de tissu, une paire de très hauts talons et son sourire aguicheur. J’ai senti ma bite réagir en un quart de seconde. Elle s’est assise dans le divan et a tapoté de la main sur la place à côté d’elle.– Viens t’asseoir, j’ai un plan à te proposer…– J’arrive, je vais passer un froc…– Pas besoin, t’es déjà plus habillé que moi… hihiCon vaincu (oui, en deux mots) je me suis assis mi-penaud mi-agacé… illegal bahis siteleri j’ai essayé de ranger ma queue le plus discrètement possible en gardant ma main dessus pour la cacher, mais vu d’en face, je devais juste avoir l’air d’un gros pervers.Elle s’est rapprochée, a glissé un pied sous ses fesses et s’est tournée vers moi toute poitrine à l’abordage. Je me suis demandé comment elle allait me manger, mais en fait sa proposition était des plus innocentes. Elle comptait m’en prendre quatre fois plus que d’habitude parce que ça intéressait certaines de ses connaissances et pour ne pas distribuer mon numéro de téléphone à la volée elle se proposait de faire l’intermédiaire gratuitement. Un rapide calcul plus tard, j’étais ravi, ça m’assurait le loyer et les pâtes pendant un certain temps et comme elle n’était pas ma seule cliente j’allais même pouvoir envisager sérieusement d’acheter toute une place de cinéma avec mes économies du mois. Je lui ai serré la main pour conclure le marché et à défaut de champagne je lui ai proposé de partager ma dernière cannette de bière pour fêter ça. J’ai fouillé le fond du frigo et je suis revenu avec deux verres et la canette survivante. En retournant à ma place je n’ai pas pu rater qu’entre ses cuisses légèrement ouvertes elle ne portait rien, même pas quelques poils. J’ai dégluti et ma bite a recommencé à faire des siennes, mais je me suis assis et j’ai rempli les deux verres comme si de rien n’était en essayant de me persuader qu’elle n’avait pas capté mon regard.On a parlé un peu de tout et on en vint à parler de ma voisine d’en bas qu’elle connaissait depuis très peu de temps mais avec laquelle le courant passait super bien. Elle m’a demandé ce que je pensais de sa nouvelle copine et restait étonnée que je ne lui aie pas trouvé plus de charme que ça. Elle a avancé l’idée que les filles ne m’intéresseraient pas, mais je lui ai assuré que j’étais bien hétérosexuel pratiquant. Alors elle m’a vanté la délicatesse du charme qui habitait au rez-de-chaussée. J’ai eu un peu l’impression de sentir une vague petite odeur de piège, d’autant plus que ma voisine ne m’avait jamais laissé entendre qu’elle pouvait me trouver attirant. J’ai habilement digressé et on a parlé d’autre chose mais toujours plus ou moins de cul. Elle s’est encore rapprochée, a balancé ses jolies courbes sous mon nez et tout en posant doucement les doigts sur ma bite. Elle m’a murmuré à l’oreille :– Si cette grosse fleur là est pour moi, je veux bien la cueillir…– Euh…– Ah ça va hein, cette fois ci c’est une belle somme, tu ne me ferais pas un petit dix pourcents ? Attends, je te donne un petit échantillon…Avant que j’aie rien pu dire elle avait défait ma ceinture et écarté les pans de mon peignoir. Plus rien ne pouvait cacher ma faiblesse. Je bandais déjà plus qu’à moitié et l’effet de ses doigts à complètement engourdi mes neurones comptables. Elle a entamé quelques doux et fermes branles, m’a fait un sourire encore plus large que d’habitude, m’a lancé un regard humide par en dessous et a englouti ma bite sans autre forme de procès. En deux secondes j’étais en orbite, en apesanteur, quelque part dans l’univers mais plus sur la terre…J’étais encore fort jeune et je n’avais connu que peu de bouches. Mes petites amies s’étaient bien parfois fendues d’une petite gâterie à l’occasion d’une quelconque saint-Valentin ou pour un anniversaire ou parfois complètement bourrées, mais jamais je n’avais connu autant de bienveillance qu’entre les lèvres d’Irène. Le mot «sucer» ne pouvait en aucun cas décrire ce que me faisait cette fille, « sucer » c’est ce que me faisaient mes petites amies coincées tandis que ce que je vivais là, c’était carrément le nirvana, c’était comme de se retrouver dans un restaurant trois étoiles sans rien avoir connu d’autre que la pizzeria de son quartier. Particularité rare, elle salivait beaucoup et j’étais déjà trempé jusqu’aux couilles quand elle a interrompu sa caresse pour demander :– Alors ? Ça ne vaut pas une petite ristourne ?Je n’étais plus en état de répondre, mes pauvres petites dendrites étaient toutes paralysées, engluées et concentrées en un faisceau bien droit, discipliné et uni dans le seul but de glisser entre ses lèvres et son agile petite langue. Ses mouvements étaient doux, langoureux, souples tout en restant fermes. On était à des années lumières des pipes de course que j’avais connu jusque-là. On sentait qu’elle aimait vraiment ça et la regarder faire valait tous les plus jolis ballets du monde. Elle me pompait et puis me sortait de sa bouche pour me branler sur ses joues et la surface de ses lèvres avant de m’engloutir aussi profondément que possible. Ça a duré une éternité de bonheur. Mes cuisses ouvertes balançaient dans tous les sens et mes mains ont fini dans ses cheveux, elle semblait n’attendre que ça pour m’achever et a accéléré le mouvement. J’ai voulu la repousser un peu quand j’ai senti que j’allais exploser, mais elle a refusé de me lâcher la bite et très vite une première salve de sperme a giclé canlı bahis siteleri dans la bouche. Elle a accueilli les autres sur tout son visage exalté avant de recueillir les dernières gouttes sur sa langue… je me suis écroulé vaincu (en un seul mot, cette fois ci).Quelques instants plus tard, je ressuscitai de ma petite mort et mes yeux s’ouvrirent sur un spectacle que je ne pensais jamais voir dans la réalité. Elle était enfoncée dans l’autre coin du divan, les cuisses grandes ouvertes, une main se baladant entre l’entrée de sa chatte et son petit bouton affamé pendant que l’autre titillait ses tétons ou récoltait le sperme sur ses joues pour l’apporter à sa bouche. Les yeux grands fermés elle était parcourue de spasmes et je restais scié qu’une fille puisse tellement s’exciter en suçant une queue.Après quelques minutes de ce spectacle, je me suis agenouillé devant elle pour offrir plein de bisous à l’intérieur de ses cuisses ou à sa zone la plus sensible.– Mmmm… monsieur est gentleman… c’est gentil ça… j’aime beaucoup… oui, encore… là, Hahh encore, encore…J’avais déjà léché des foufounes, mais jamais je n’en avais trouvé une d’aussi offerte. Elle s’ouvrait sans retenue en tirant mes cheveux pour que j’enfonce ma langue au plus profond… en deux ou trois minutes elle fut prise de spasmes et je reçu une belle giclée d’un liquide inconnu qui m’étonnai beaucoup.On était dans les années nonante et comme je le disais plus haut, internet n’avait pas encore démontré la réalité de l’éjaculation féminine. Les gynécologues, urologues, sexologues et autres spécialiste des boyaux du cul, pour la plupart masculins, refusaient d’admettre qu’une femme puisse éjaculer. Pire, ils laissaient croire aux filles qui jouissaient comme ça que c’était de l’ordre de la perte de contrôle des sphincters, laissant supposer aux dames qu’elles pissaient dans leur plaisir. Ce qui évidement n’arrangeait rien à la culpabilité liée au plaisir féminin. Heureusement, ma bienheureuse avait une gynécologue très féministe et elle savait exactement ce qui lui arrivait. Elle m’a expliqué qu’elle était « fontaine » et que ce n’était pas de l’urine. J’ai été très heureux d’apprendre quelque chose.Pendant quelques minutes nous nous sommes regardé en souriant bêtement mais sans rien dire. Je détaillais ses courbes, je la trouvais belle à mourir et je n’en revenais pas du plaisir qu’elle venait de m’offrir. Degré par degré, ma queue recommençait à faire la maline et je revis son si particulier regard.– C’était très bon, merci…– C’est moi qui te remercie, j’ai vraiment adoré ta bouche, dommage que toutes les filles ne fassent pas ça comme toi…– Elles aimeraient bien, je t’assure, mais elles n’osent pas, elles ont peur de passer pour des salopes…– Si elles savaient à quel point on aime les salopes…– Toi, peut être, mais ça fait peur à la plupart des mecs… une vraie salope ça a des désirs, et pas toujours pour le même mec… – C’est vrai… mais moi, je m’en fous, je ne suis ni jaloux ni possessif. Au grand regret de mes ex d’ailleurs… C’est bizarre mais quand on est pas possessif, les filles pensent qu’on ne les aime pas…– Je savais bien que tu avais quelque chose de spécial…– Ah bon ? Tu trouves ?– Oui, et je ne suis pas la seule… hi hi hi…– Ah bon ? Qui ça ?– Oublie… mais à propos, tu m’as rendu ma petite ristourne, ça ne va pas du tout ça…En disant ça elle s’est replacée à genoux devant ma bite redevenue dure pour recommencer à la lécher. Elle parcourrait tout ma longueur de sa langue humide et j’ai fermé les yeux… A un moment j’ai senti quelque chose de différent parcourir ma bite du gland aux couilles, elle venait de me glisser une capote et, posant un genou de chaque côté de mon bassin, elle s’est placée juste au-dessus de ma tête chercheuse avant de m’engloutir dans son ventre. En m’écrasant le visage sur ses seins elle dit :– Ça, à mon avis, ça vaut bien vingt pour-cents, mais j’en avais très envie et puis comme ça tu m’auras eu presque toute pour le même prix… Hhh aahh et en plus t’as une bonne queue… j’ai envie d’en profiter… Hhh HhhHeureusement qu’elle m’avait désamorcé quelques minutes avant. J’ai pu profiter de sa danse pendant de longues minutes, elle se balançait sans aucun complexes, prenait ses seins pour les porter à ma bouche et puis enfonçait un de mes doigts dans son petit trou avant de s’accroupir pour donner beaucoup plus d’ampleur à ses va-et-vient. Je n’ai pas pu me retenir beaucoup plus longtemps et nous fûmes vite parcourus de spasmes synchrones… décidément c’était la journée des découvertes…On est resté immobiles pendant deux ou trois minutes, puis on s’est souri, embrassés à toute langue et finalement elle m’a libéré au moment où je recommençais à durcir…– Désolé cher dealer mais même si c’est très bon, je vais devoir te laisser pour aujourd’hui… Tu me feras encore des ristournes ?– Oh oui, avec grand plaisir… Au sens propre ha ha… Enfin, quand je dis « propre »…– Hihi… Dites donc jeune homme, je suis une fille très propre et je ne vous permets pas d’en douter, compris ?Je l’ai regardé se rhabiller et je regrettais déjà son joli corps mais quand elle est sortie de mon appart et de mon champ de vision c’est surtout la liberté de son esprit qui m’a manqué.Irène, publié par Gus Solo le 22 janvier 2020 sur Xhamster