je suis baisé au sahara

Babes

je suis baisé au saharaQuand j’arrivai au Sahara, au sud du Maroc, ce n’était pas pour faire du tourisme mais pour trouver des mecs.J’étais devenu une véritable folle de la bite, mais plutôt de la grosse, de l’énorme zob.Les marocains pourtant bien montés ne me suffisaient plus, il me fallait plus gros et c’est pourquoi j’étais venu au Sahara car j’avais lu que c’est dans cette région où les mecs sont le mieux montés au monde.J’avais un peu d’argent de côté ce qui me permettrait de tenir au moins deux semaines, donc deux semaines de baise effrénée avant de rentrer à Rabat.Après avoir dégotté un petit hôtel je me rendis à la plage de Laayoune. A peine arrivé, je vis un beau black se baignant nu.Il avait une superbe queue comme je n’en avais jamais vu, longue et grosse.Je m’approchai de lui et lui dis: ‘Ta queue est magnifique et excitante’.- Je ne suis pas homo, ma queue est réservée aux femmes.- Laisse-moi te sucer, il n’y a personne dans ce coin, ça ne t’engage à rien, personne ne le saura.En lui parlant, je vis que sa queue gonflait, elle devenait monstrueuse, vraiment mes informations étaient vraies.Je baissai mon maillot et tortillai du cul devant lui tout en lui disant ‘Tu sais je la veux vraiment dans ma bouche et dans mon cul- Dans ton cul, tu n’arriveras même pas à faire entrer le début de la tête.- Laisse-moi faire, on verra bien.- Fais comme tu veux mais je te préviens c’est tant pis pour toi, si tu m’excites trop il faudra que tu la prennes dans ton cul blanc, sinon je vais te l’enfoncer de force.- D’accord.- Méfie-toi, je ne bande pas encore complètement, quand ma queue est dressée elle fait 28 centimètres de long et 7 centimètres de diamètre.- Tant que ça !- Eh oui Pédé, ça c’est le zob de Lamine, tu rigoles moins maintenant.- C’est vrai mais je veux quand même essayer.- D’accord mais je t’ai prévenu.- Oui.- Alors vas-y pédé, commence à sucer’.Je commençai à caresser le gigantesque zob noir qui se mit à grossir et à grandir encore pour atteindre ses dimensions surréalistes.La bite était 2 fois plus large et 3 fois plus longue qu’une bite de bonne taille, je pense qu’elle faisait plus de 28 centimètres de long mais ce n’est pas ça qui m’effrayait quand même, c’est la grosseur.A ce moment je me demandai s’il ne valait pas mieux tout arrêter car je n’étais vraiment pas sur de pouvoir m’empaler sur un tel morceau.En même temps j’avais tellement envie de me faire défoncer par un tel engin que je me dis que je devais tenter le tout pour le tout quitte à me faire déchirer le trou.J’att**** la queue de Lamine et enfournai son gland dans ma bouche.Le bout durci était gros comme un champignon, je passai ma langue autour.Cet attouchement eut pour effet de faire encore gonfler la pine qui était dans ma main, c’était tellement énorme que je n’en faisais pas le tour.La bite de mon amant avait un bon goût salé, j’aimais ce gland rose et cette peau noire que je faisais passer dessus dessous.Ce n’était pas la première fois que je suçai des grosses hampes et je m’étais fait une spécialité de pipes profondes.J’enfonçai progressivement ce fantastique membre dans ma gorge bien au fond tout en ouvrant grand ma bouche pour aller chercher le plus loin possible.La monstrueuse tête buta contre mes amygdales, j’eus un haut le coeur et ne fus pas loin de vomir.Je sortis le sexe d’entre mes lèvres et le lubrifiai de salive puis j’avalai à nouveau le phallus raide.Mon homme était vraiment excité par ce que je lui faisais, il me dit ‘Jamais une femme ne m’a fait ça, tu suces divinement bien’.Je me mis à lui lécher les couilles tout en le branlant, se cambrant pour s’offrir encore plus à ma douce caresse mon mec murmura ‘Hummm c’est bon continue salope’.Je caressai ses couilles bien mouillées de salive et le suçai encore à fond. Chaque fois que sa bite rentrait à fond, il me disait ‘C’est trop bon, tu vas me faire jouir je vais pas tenir longtemps comme ça’.N’écoutant pas ce que Lamine me disait je continuais ma lente fellation, pompant le gland de mes lèvres crispées.Au bout de quelques instants je sentis l’immense pénis tressauter sur ma langue, j’enfonçai la verge tuméfiée au plus profond de ma bouche et dans un râle langoureux mon amant éjacula.Je reçus un flot de sperme crémeux au fond de la gorge que j’avalai avec délice puis je sortis le monumental zob de ma bouche tout en cajolant le gland qui continue à se vider en moi par saccades.Quand je libérai enfin mon homme, celui-ci me dit ‘Tu es vraiment une salope, tu suces comme une pute.- je suis content que ça t’ait plu.- Oui ça m’a plu mais maintenant ce que je veux voir c’est si ton trou du cul est aussi bon que ta bouche.- Tu vas voir il est encore meilleur, tous ceux qui m’ont déjà baisé disent que je baise mieux que la meilleure des putes.- C’est ce que nous allons voir.- Bien sur mais étant donné ton calibre, la seule chose que je te demande c’est de me laisser faire.- Pas de problème du moment qu’à la fin tu sois bien enculé.- c’est aussi ce que je veux, j’ai envie de jouir par ta bite.- Alors vas-y, prépare ton petit cul blanc à recevoir ma grosse bite noire’.Je fis mettre mon mec à plat ventre, je me mis à cheval sur sa queue et frottai mon cul à sa bite.Aussitôt je sentis sa bite bander sous mes fesses et devenir raide.Je me mis à faire des ondulations et le monstrueux phallus retrouva ses phénoménales dimensions.Lamine, profitant du fait que je me sois levé, m’enfonça deux de ses doigts dans le trou du cul.Cette soudaine intromission me fit pousser un petit cri de douleur qui fit rigoler mon amant.J’avais compris qu’avec mon homme ce ne se ferait pas dans la douceur, et pour lui la seule chose qui comptait c’était de m’enfoncer sa bite dans l’anus et de tirer son coup.Lamine m’enfonça un troisième doigt et fis tourner sa main pour m’élargir la pastille.Je commençai à être en feu et je ne pus m’empêcher de pousser un lourd soupir de bien-être.Mon amant jugeant que le prémisses avaient assez duré m’écarta les fesses, il positionna son gland turgescent à l’entré de ma grotte et me dit ‘Allez salope empale-toi sur mon gros boudin’.Lentement je commençai à peser sur le puissant bout durci, je sentis ma fente s’ouvrir.Quand la colossale tête de son sexe écarta mes chairs et commença à me pénétrer, j’eus l’impression qu’on m’ouvrait le cul en deux et je poussai un hurlement de douleur et me redressai pour soulager le mal qui se propageait dans tout mon corps.Mon homme me dit ‘Alors sale pute, tu vas te l’enfoncer dans ton joli cul blanc ou il faut que je le fasse’.Je redescendis et petit à petit, en serrant les dents pour ne pas crier je sentis cet énorme gland rentrer dans mon cul.Quand enfin l’imposant bout durci fut en moi, j’avais l’impression qu’un fer porté au rouge était planté au fond de mes entrailles et je pleurais à chaudes larmes.Mon mec jugeant que ce n’était pas suffisant commença à s’activer faisant entrer sa queue de plus en plus dans mon trou.J’ai le cul complètement défoncé, mais mettant illegal bahis mes mains en dessous je me rendis compte que sa queue n’était pas rentrée à fond.Lamine poussa encore et je me retrouvai assis sur ses couilles.Jamais de ma vie je ne m’étais senti aussi rempli, je sentais au fond de moi cette virilité considérable palpiter.La souffrance qui me tenaillait était telle que je ne pouvais m’arrêter de pleurer, mon amant en riant me dit ‘C’est bien petite pédale, tu as réussi à prendre toute ma bite dans ton joli petit trou du cul, tu as mal mais c’est normal, tu vas voir quand je vais bien t’enculer, après ton joli petit trou de salope blanche va s’ouvrir et tu vas bien aimer la grosse bite de Lamine.- Je le sais mais putain tu me fais mal, tu me déchires- T’inquiète pas, ton trou va s’ouvrir, je vais le casser’.Nous restâmes un moment immobile, je sentais mon anneau céder peu à peu, et la douleur commença à laisser place au plaisir.Mon homme me dit ‘Il me semble putain que ma queue est un peu moins serrée, ta rondelle commence un peu à s’ouvrir, vas-y décontracte-toi et laisse-toi faire, je vais bien te baiser comme tu le mérites petite pute’.Tout en gardant sa queue dans mon cul, mon mec me retourna.Il me mit les jambes en l’air et commença à me baiser en de longs mouvements de va et vient m’arrachant à chaque passage des couinements de douleur.Au bout de quelques instants de ce traitement mon anus céda complètement et la gigantesque pine put coulisser en moi sans gène aucune.Je sentis le désir m’envahir et dis à Lamine ‘Défonce-moi, elle est bonne ta grosse queue, mets-moi ta queue, je veux ta queue’.Mon amant se mit à me baiser superbement bien, c’était trop bon de sentir ce superbe phallus me ramoner, m’ouvrant un peu plus le cul chaque fois qu’il plongeait jusqu’à la gardeLe plaisir que je sentais monter était si fort que j’avais l’impression de jouir du cul.En réalité vu les dimensions de ce qui me forait les reins, sa pénétration était tellement profonde que mes pertes anales lubrifiaient mon cul et souillaient sa bite.Jamais je n’avais joui du cul comme cette fois-ci.Mon homme sortait et entrait sa hampe ce qui me laissait entrevoir mon anus ouvert.Je savais que mon anus était un véritable trou béant, un vrai cul avaleur de bites de toutes sortes mais une grosse noire comme celle-là, c’était la première fois.Sous les assauts répétés de mon mec, le désir ne fut pas long à prendre possession de mon être, le pénis coulissait maintenant sans aucune gène dans mon étroit tunnel et chaque poussée me faisait gémir, je me cambrais pour offrir encore plus mon cul à cette merveilleuse verge qui me ramonait, le plaisir montait en moi par vagues successives, j’avais rejeté la tête en arrière, les yeux clos je ronronnais de bonheur chaque fois que le membre turgescent se plantait au plus profond de moi, mon amant me tringlait de toute la longueur de son sexe le faisant sortir presque entièrement de mon trou pour replonger jusqu’à la garde la seconde suivante, je commençais à rouler des hanches en cadence.Je ne savais plus depuis combien de temps il me besognait mais le bonheur qu’il me donnait était tel que je voulais qu’il me bourre indéfiniment, j’avais perdu le sens des réalités, seul comptait pour moi ce magnifique zob qui me forait les reins, j’avais les fesses en fusion et l’anus complètement dilaté et je me mis à râler sous ses puissants coups de bite qui m’ouvraient chaque fois plus le fondement suppliant celui qui me fessait de me défoncer encore plus, mais sourd à mes râles il continuait à me limer avec une régularité de métronome.Soudain une boule de chaleur se forma au creux de mon estomac et remonta vers ma figure, le plaisir m’envahissait totalement je me mis à hurler toutes les phases de la jouissance par lesquelles je passais.Un spasme foudroyant me balaya, je me cambrais au maximum pour m’offrir totalement à mon amant, un hurlement de jouissance pulsa de ma gorge ‘Ahhhhhhhhh’ et je perdis connaissance.Quand je revins à moi, Lamine était toujours en train de me sodomiser en de lents va et vient, son ventre musclé claquant contre mon fessier en feu, tout mon être brûlait littéralement.Mon amant ressortit sa grosse pine merdeuse de mon fion explosé, je lui dis: ‘Donne-moi ta queue, je veux te la sucer’.Il me fourra son pieu dans la bouche, sa bite avait le goût de mon cul, elle était souillée de mon ramonage anal mais contrairement à d’habitude je n’éprouvai aucun dégoût à sucer un sexe sale.Je nettoyai l’énorme zob avec ma langue et mes lèvres puis progressivement je l’enfonçai dans ma gorge et l’avalai du plus profond que je pouvais.Je me mis à tailler une pipe à mon homme avec passion et amour.Je suis littéralement folle de cette bite et je dis à mon mec ‘Je veux que tu deviennes mon homme, Lamine, je t’appartiens pour toujours, je suis à toi.- Mais non salope tu n’es pas à moi, tu es une véritable chienne qui ne veut que de la bite, le jour où tu vas trouver une autre bite noire aussi grosse que la mienne, tu m’oublieras.- Tu as raison.- Allez donne-moi encore ton joli petit trou du cul’.Nous nous sommes mis en 69, il me mit un doigt dans le cul pendant que je le suçai vigoureusement.J’avais la bouche grande ouverte ne pouvant que garder son gland tout en passant ma langue sur son frein puis je pris cette partie sensible du gland entre mes lèvres. En le pompant par à-coups, je lui dis ‘ Je t’en prie, viens dans ma bouche, décharge, vide tes couilles.- Non petite pute, c’est dans ton trou du cul explosé que je veux vider mes couilles.- Oh oui je suis en feu, baise-moi encore fort- Oui salope je vais te baiser très fort’ Lamine me mit sur le dos, il prit mes jambes et les replia vers ma tête de sorte à ce que mon oeillet ressorte, puis d’un violent coup de reins il s’enfonça entièrement en moi me faisant gémir et prenant appui sur mes mollets il se mit à me pilonner l’arrière-train avec des ‘HAN’ de bûcheron.Je voyais entre mes cuisses son phallus entrer et sortir de moi à toute vitesse, ses vigoureux coups de boutoir me faisaient avancer sur la couche chaque fois que son pénis érigé se fichait au plus profond de mon cul, je me tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait, j’avais l’anus complètement éclaté et le plaisir se remit à s’insinuer en moi sourdement, ma tête ballottait de droite à gauche sous les virils assauts que mon amant m’assenait, je ne vivais plus que pour et par le sexe raide qui me forait les reins, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler tant le traitement que je subissais était bon, me cambrant le plus possible, j’avais relevé mon fessier venant à la rencontre de la magnifique bite qui m’arrangeait le trou, de ma bouche ne sortait plus qu’un ‘Ahhhhhhhhhh’ continu.Je ne savais plus depuis combien de temps mon homme me bourrait mais je voulais qu’il continue, jamais au cours d’une enculade je n’avais joui autant, mon corps était parcouru de soubresauts sous les va et vient effrénés, des gouttes de illegal bahis siteleri sueur marbraient le front de mon mec et les grimaces qu’il faisait chaque fois qu’il m’enfessait montraient le pied qu’il prenait, sa respiration devenait saccadée et ses mouvements plus désordonnés, j’avais atteint le paroxysme de la jouissance.S’enfonçant au plus profond de mon rectum, Lamine explosa en feulant, son foutre crémeux m’inondant le fondement m’électrisa, un orgasme dévastateur déferla en moi, mon corps s’arqua sous mon amant, je tendis ma croupe vers la source qui continuait de couler entre mes fesses, mes jambes battirent l’air et un strident hurlement de bonheur jaillit de ma gorge puis je retombai lourdement sur le sol yeux clos, cuisses écartées, flottant dans l’univers cotonneux de la jouissance, Lamine se retira de moi.Quand après plusieurs minutes, je refis surface, je trouvai mon homme étendu à mes côtés, il me sourit et me dit ‘Tu es vraiment la reine des putes.- Merci, c’est vrai ce fut super bon, j’ai pris un pied du tonnerre.- je l’ai vu et entendu, ça n’avait pas l’air de te déplaire.- Bien au contraire, c’est plutôt que j’en redemanderai.- Mais tu vas en avoir encore.- J’y compte bien car j’ai très envie.- T’inquiète pas, je vais t’en donner de la bite noire mais dis-moi qui es-tu ?- Je ne comprends pas.- Je n’ai jamais vu un pédé comme toi, quand on te baise on croit baiser une pute.- Quand je me fais baiser je suis comme une pute, j’adore la bite.- Ca je le sais- C’est pour ça que je suis venu ici car ce que je veux c’est des grosses bites et il est dit que c’est vous quiavez les plus grosses bites du monde.- C’est ce qu’on dit.- Voilà je suis folle de la bite, donc je suis venu ici en vacances pour me faire baiser jusqu’à ce que j’ai le culcomplètement éclaté.- Pour ça tu peux être tranquille, ton trou du cul est déjà complètement éclaté.- je le sais mais je veux que ce soit comme ça tous les jours pendant lesquels je vais rester ici.- Et tu comptes rester combien de temps ?- deux semaines.- Ouah !!- Et oui.- Et des partouzes ça te branche ?- Bien sur surtout si les autres sont aussi bien montés que toi.- Il y en a qui sont encore mieux montés que moi- Super.- On se fait une autre petit baise et après si tu veux on ira passer la nuit chez des copains.- D’accord, j’ai encore très envie de sentir ta superbe bite me ramoner le cul et d’accord aussi pour ce soir- OK je vais me baigner et je reviens.- Je vais en faire autant’.Quand nous revîmes, Lamine était à genoux à côté de moi sa verge à demi flaccide, je pris le sexe dans mes mains et le décalottant je me mis à le branler lentement, l’effet ne fut pas long à se produire, le pénis s’érigea en de lentes saccades et finit par pointer fièrement vers le plafond, je forçai mon homme à se coucher et me mettant sur le ventre en travers de son corps, j’entrepris de lécher le phallus qui avait retrouvé ses fabuleuses dimensions.Ma langue courrait le long de la tige turgescente, descendant parfois vers les bourses gonflées de sève pour les gober, les poils follets de ses testicules étaient humide du bain que Lamine venait de prendre, mes attouchements buccaux avait fait grossir la hampe, une goutte de sperme translucide perlait au bout de son méat, dans le creux de mes reins commençait à s’insinuer un désir langoureux, j’abandonnai un instant l’objet de ma dévotion, le priape était luisant de salive, mon mec posa sa main sur ma nuque et appuyant légèrement dessus me montra ce qu’il voulait, j’ouvris tout grand la bouche et entamai une lente fellation.Au bout de quelques instants de ce traitement, mon amant commença à donner quelques coups de reins chaque fois que ma tête remontait le long de sa pine dressée, je continuai à la titiller tout en enroulant ma langue autour de sa colonne de chair et en la mordillant.Soudain, Lamine stoppa ma pipe et se leva, il prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il écarta mes fesses brûlantes et guida sa bite entre elles contre mon antre béante, quand je sentis son gland contre mon sphincter affamé, je lui dis ‘Vas y défonce moi’.Il pesa sur ma corolle toujours ouverte par notre étreinte précédente et entra en moi comme dans du beurre me faisant gémir, puis prenant appui sur ses avant-bras, il commença à me marteler en de lents va et vient qui ne tardèrent pas à me faire perdre pied.Je fermai les yeux et me laissai sombrer dans le désir sous les assauts répétés de mon homme, le sexe coulissait en moi sans aucune gène, chaque poussée m’ouvrait un peu plus le cul, j’avais du mal à respirer tant le plaisir qui affluait en moi était grand, j’avais rejeté la tête en arrière et tendais ma croupe vers ce fabuleux pénis qui me cassait la pastille chaque fois qu’il plongeait en moi jusqu’à la garde.Mes gémissements s’étaient depuis longtemps mués en profonds râles de bonheur, mon fessier se soulevait au rythme des coups de boutoirs que mon mec m’assenait, le cul complètement éclaté je remuais la tête de gauche à droite et griffai la serviette de plage, chaque fois que la pine roide se fichait au tréfonds de mon fondement je poussais de petits cris de plaisir, je voulais que mon homme entre chaque fois plus profondément en moi, repliant encore plus mes jambes de telle sorte que mes genoux touchent presque ma tête, faisant ressortir plus mon anneau et accentuant l’angle de pénétration, Lamine se coucha sur moi et se mit à me posséder de toute la longueur de son impressionnant pénis, sous ses coups de bite, je ne tardais plus à atteindre le point de non-retour, hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.Un spasme foudroyant traversa mon être, je me cambrais sous mon amant et un hurlement de jouissance pulsa de mes lèvres, puis je retombai lourdement sur le sol perdant connaissance.Quand je repris conscience, Lamine était toujours en train de me besogner avec une régularité de métronome, voyant que j’étais revenu à moi, il se retira de mon cul et me fit mettre à quatre pattes puis me pénétra d’un violent coup de reins et me prenant aux hanches, se remit à me sodomiser me faisant aller et venir sur toute la longueur de son phallus.Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon corps enfiévré, mon mec toujours d’un calme olympien m’éclatait de plus en plus la pastille, j’avais l’impression qu’il était en moi depuis une éternité, j’étais secoué de frissons de désir, j’avais l’impression que de la lave en fusion coulait de mon tunnel enflammé, lâchant mes hanches Lamine me prit par les épaules et se mit à me pilonner l’arrière-train à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes miches en feu à me faire mal, la bouche grande ouverte je hurlais sans discontinuer sous les puissantes poussées de mon amant, tout mon corps tremblait tant j’étais excité chaque fois que mon homme m’enfilait jusqu’à la garde, j’étais obligé de me cramponner pour ne pas tomber sous les violents assauts que mon doux tourmenteur me faisait subir, canlı bahis siteleri je n’étais plus que jouissance, chaque fois que la monstrueuse pine plongeait au tréfonds de mes entrailles, je me sentais partir un peu plus, je suppliais Lamine de décharger car seule sa semence pouvait éteindre l’incendie qui couvait en moi, mais lui sourd à mes cris continuait à me défoncer la raie avec une régularité de métronome, le traitement que mon mec m’affligeait me faisait monter au septième ciel, je tendais ma croupe vers ce pénis qui me cassait si bien le cul pour accentuer la pénétration, des vagues de plaisir prenaient naissance dans mon bas ventre et remontaient vers mon visage pour éclater en mille étoiles, jamais je n’avais autant joui au cours d’une enculade, je voulais qu’il me démolisse complètement le fion, qu’il me déchire pour qu’il puisse entrer entier en moi, sous les virils coups de queue je tombai en avant de telle sorte que je reposai sur les avant-bras le cul en l’air entièrement écartelé, Lamine m’ayant agrippé aux cuisses me ramonait avec des ‘HANS’ de bûcheron, j’avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.Un orgasme fulgurant me transperça, la tête rejetée en arrière je hurlai mon bonheur tout en tendant mon derrière vers la merveilleuse verge plantée au plus profond de mon cul, mes cuisses se dérobèrent sous moi et je m’affalai à plat ventre sur le sol, flottant dans l’univers cotonneux du plaisir physique, je sentis l’immense verge sortir de mon canal et mon amant s’allongeant à mes côtés se mit à me caresser, quand je rouvris les yeux mon anus palpitait toujours, la première chose que je vis fut le sexe toujours dressé de mon homme, ça là que je m’aperçus qu’il n’avait pas encore joui, s’étendant sur le dos Lamine me dit ‘vienst’asseoir sur moi en me présentant ton dos’.Je m’exécutai, il guida son membre en moi et me prenant sous les cuisses me fit monter et descendre sur sa pine érigée.Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon être, j’étais comme un fétu de paille entre les bras de mon homme, ma tête ballottait de droite à gauche au rythme de l’enculade que je subissais et je me remis à râler tout en enserrant la taille de mon mec de mes pieds, je posais mes mains sur ses jambes pour imprimer une cadence plus soutenue, le membre coulissait en moi merveilleusement, en dehors de mes râles entrecoupés de petits cris on entendait les bruits de succion que faisaient mon cul chaque fois que la verge turgescente s’enfonçait jusqu’à la garde.Soudain Lamine me prit par la taille et m’immobilisa contre son pubis, puis il se mit à donner de violents coups de reins qui malgré qu’il me tienne me faisaient sauter chaque fois qu’il m’enfessait totalement, tel un pantin désarticulé, mon corps ballottait sous les furieux assauts que m’affligeait mon amant survolté, mes râles s’étaient mués en cris de jouissance, j’avais le cul en feu, tout mon être ravagé réclamait sa pitance, je voulais son sperme, tout en ondulant des hanches je le suppliais de m’inonder de sa crémeuse liqueur, mais lui sourd à mes cris continuait à me piner de toute la longueur de sa formidable bite, je planais littéralement le plaisir que je recevais était fabuleux, j’avais atteint la plénitude rectale, seule pour moi comptait l’extraordinaire phallus qui me forait les reins, j’avais rejeté la tête en arrière et je hurlai sans discontinuer, je sentais monter en moi les prémices d’un orgasme dévastateur, tout en moi appelait le mâle, je vivais plus que pour et par le zob qui me défonçait un peu plus à chaque fois qu’il m’enfilait.Je bramais des obscénités pour exciter encore plus celui qui me prenait tant ce que je ressentais était grand, perdant toute notion des réalités je me mis à délirer.Soudain une vague déferlante me balaya, je battis l’air de mes bras et jambes ouvrant tout grand la bouche pour chercher l’air qui me manquait, la jouissance explosa dans tout mon corps torturé, un strident hurlement pulsa de ma gorge, mon corps se tendis comme un arc et je tombai à terre sombrant dans l’inconscience.Quand je recouvrais mes esprits, Lamine assis à côté de moi me regardait en fumant, son sexe était toujours en érection, il n’avait toujours pas éjaculé, il me sourit et me dit ‘Alors c’est bon ?- Oh oui, je ai pris un pied géant mais toi mon pauvre quand vas-tu jouir ?- Tout à l’heure, j’ai encore envie de te voir jouir, tu es magnifique quand on voit le plaisir sur ta gueule de salope.- Oui mais moi je voudrais que tu éjacules dans mon cul.- Je vais t’inonder le cul cette fois-ci, ma pute, allez mets-toi le cul en l’air, fais reposer ta figure sur la serviette, lesjambes bien écartées et ton cul bien tendu’.J’obéis, Lamine se positionna derrière moi en m’encula lentement me faisant gémir, puis posant ses mains sur mes hanches il commença de lents va et viens qui ne tardèrent pas à me faire remonter au septième ciel.Sous les longs coups de boutoirs de mon homme je me sentis partir encore fois dans la jouissance, le ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, je devais me cramponner pour ne pas tomber tant ses assauts étaient violents, je tendais mon cul au maximum vers le membre qui me ramonait le prose pour accentuer la pénétration.Depuis longtemps ne sortait plus de ma gorge que des hurlements tant ses viriles poussées me faisait du bien, je ne savais plus depuis combien de temps ce magnifique phallus me bourrait l’arrière-train, mais je voulais qu’il continue indéfiniment, les coups de reins de Lamine étaient si violents qu’à chaque fois qu’il se fichait au creux de mes reins, j’avançai sur la serviette, s’il continuait comme ça il allait me déchirer mais c’était si bon que je voulais qu’il continue, j’étais dans un brouillard où seul comptait ce formidable pénis qui me pilonnait le postérieur, perdant complètement pied je me mis à hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.Soudain se plaquant contre mon fessier Lamine éjacula en râlant, ses épais jets de semence crémeuse m’inondèrent le fondement me déclenchant un spasme foudroyant, un orgasme d’une puissance incroyable pris possession de mon corps enfiévré, je tendis mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon tunnel surchauffé, les yeux clos je hurlais de plaisir, puis mes jambes cédèrent et je m’écroulais à plat ventre essayant de retrouver ma respiration.Quand je rouvris les yeux, Lamine me regardait en souriant assis sur l’autre serviette, son sexe, souillé de notre étreinte, reposait enfin apaisé et gluant sur sa cuisse droite, levant la tête vers mon homme je lui dis ‘Qu’est ce que tu m’as mis, jamais je n’ai ressenti un tel plaisir, j’ai cru devenir fou.- J’en suis heureux, car si on ne ressent pas de plaisir en faisant l’amour autant regarder la télé.- Tu as raison mais là c’était divin, tu m’as déjà fait bien jouir mais ça n’avait rien à voir avec tout à l’heure.- Je te l’avais promis.- On peut dire que tu as été au-delà de toutes mes espérances.- Tu sais, quand on a un joli petit cul blanc comme le tien entre les mains, on fait tout pour bien l’enculer.- Crois-moi, tu as réussi, tu es vraiment un baiseur fantastique.- Merci ma salope.