LA PROF. BOURGEOISE MÛRE ET LES OUVRIERS

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LA PROF. BOURGEOISE MÛRE ET LES OUVRIERSLU SUR LE NETJe m’appelle Bénédicte et j’ai la quarantaine bien passée. Il y a un an, je vous ai relaté une découverte qui a bouleversé ma vie sexuelle. Enseignante, plutôt coincée, mariée depuis peut-être trop longtemps.Comme tout bon enseignant, je suis en vacances depuis fin juin, mais mon mari travaillant au mois d’août, je suis donc restée à la maison et ai profité de cette période pour faire faire quelques menus travaux de ravalement de notre façade. Après avoir fait établir quelques devis, mon mari a donc choisi une entreprise de maçonnerie qui est donc venue refaire notre crépi. Ils sont arrivés le lundi matin, avec leur matériel : ils avaient une journée complète pour installer leur échafaudage. Ils n’avaient pas besoin de moi et je suis donc parti faire du shopping toute la journée. A mon retour ils avaient terminé et étaient partis. J’étais tout de même un peu contrariée d’avoir des étrangers chez moi alors que j’étais en vacances mais il valait mieux tout de même être présent. Aussi je décidai dès le soir que je resterai à la maison jusqu’à la fin des travaux. Ca ne devait de toute façon durer que 5 jours, alors …Le lendemain matin, mon mari étant parti de bonne heure, je décidai de traîner un peu et ne prenais mon petit déjeuner que vers 9h. Je n’avais pas entendu les ouvriers. Je me disais en moi-même qu’ils commençaient mal leur chantier et me demandais comment ils comptaient faire pour le terminer en 5 jours. Convaincue de leur absence, je descendais donc en nuisette à la cuisine afin de prendre mon café. J’étais en train de petit-déjeuner, lorsque la sonnette retentit. Oubliant ma tenue, j’allai ouvrir. Il s’agissait d’un des ouvriers qui me demandait s’il pouvait utiliser ma salle de bain. Visiblement ma tenue lui fit de l’effet, car son regard avaient du mal à se détacher de mon décolleté. Tournant les talons je l’invitais à me suivre, lui montrant le chemin. Je sentais son regard sur mes fesses dissimulées par leur écrin de satin. C’est à ce moment que je réalisai que j’étais en train de l’exciter. Une bouffée de chaleur m’ envahit, semblable à celle qui m’avait traversé lors de la visite de mes deux élèves. J’ai bafouillé, cherchant mes mots, lui indiquant la salle de bain et la salle d’eau et suis repartie presque en courant le laissant seul. Je ne voulais pas que mes démons me reprennent, aussi je courus à ma chambre afin de m’habiller. L’ouvrier ressortit et parut déçu lorsque j’apparus vêtue d’un jean et d’un tee-shirt cachant toute mon anatomie.La journée fut absolument abominable. J’étais troublée par leur présence. Ils étaient 3, deux jeunes d’une vingtaine d’années assez musclés et bronzés et un plus vieux, probablement la cinquantaine avec un ventre assez important, pas très beau. J’ai du changer de culotte dans la journée tellement je mouillais. Je ne savais plus que faire : les souvenirs des deux queues de mes élèves me défonçant la chatte et le cul me hantaient. Ce chantier devait bahis siteleri encore durer 3 jours. Ca risquait d’être dur de résister. Excitée au plus haut point, je sautais sur mon mari, afin de satisfaire mes envies et faire retomber la pression. Malheureusement fatigué, celui-ci me laissa sur ma faim et mes désirs.Le lendemain matin, ma décision était prise. Je ne pouvais pas risquer quoi que ce soit avec ces hommes. J’avais échappé au discrédit quelques mois plus tôt, je ne souhaitais pas risquer à nouveau ma réputation. Aussi avais-je décidé de m’habiller vers 8 heures avant l’arrivée des ouvriers. Réveil 7h45, je descends à la cuisine prendre mon café avant de remonter à ma chambre. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis les trois ouvriers dans ma cuisine !! Je ne me rappelais plus que mon mari les avait invités à prendre une tasse de café et qu’il était parti avant qu’ils n’aient fini. J’étais comme la veille, en nuisette, mais je n’avais pas pris le temps de la fermer complètement et les trois hommes, déjà torse nus, s’arrêtèrent de parler lorsqu’ils aperçurent ma poitrine et ma culotte. Tétanisée, j’étais à la fois paniquée parce que j’avais décidé de rester prude et excitée parce qu’à nouveau des hommes à moitié nus me voyaient également déshabillée !!La seule chose dont j’ai alors été capable a été de fuir de la cuisine laissant ces hommes la tasse à la main. Du couloir je pouvais entendre leur commentaire : « tu as vu cette salope ? Tu crois qu’elle a fait exprès ? Moi je la baiserais bien !Elle a une paire de nichons énormes !! » J’étais dans un état second. J’ai alors fait demi-tour et suis retourné à la cuisine et suis allé me servir un café comme si de rien n’était. Ils s’étaient à nouveau tus. Le seul qui a osé bougé, c’était le bedonnant. Il s’est approché de moi, dans mon dos, a relevé un peu ma nuisette et voyant que je ne bronchais pas, il a glissé sa main dans ma culotte. S’apercevant que j’étais trempée, il s’est retourné vers ses collègues et leur dit : « elle mouille cette salope, les gars, je crois qu’il va falloir trouver une excuse pour son mari. On ne va pas beaucoup avancer sur le chantier aujourd’hui !! Et joignant le geste à la parole, il a ôté ma culotte, m’a fait asseoir sur la table. Instinctivement j’écartais les cuisses et leur dit :« Baisez-moi comme une pute !! »Ils ne leur en fallait pas plus pour se débarrasser de leur pantalon et caleçons et c’est tout à poil qu’ils se jetèrent sur moi. Un des jeunes décida de me bouffer la chatte pendant que les deux autres se disputaient ma bouche. L’autre jeune avait une queue très fine et de taille moyenne, mais l’autre, le gros, avait un véritable pieu à la place de la bite. Très grosse et très longue, avec une énorme veine qui courrait tout le long. C’est simple, j’éprouvais les plus grandes difficultés à enfourner cet engin dans ma bouche !! Je n’imaginais même pas qu’il puisse me pénétrer la chatte et encore moins le cul.Le troisième me léchait avec canlı bahis application, mais c’est de queue dont j’avais besoin, aussi, je le stoppai dans son travail :« C’est ta bite que je veux, met là moi maintenant »Il ne se fit pas prier et me la rentra d’un coup. Je n’avais pas eu le temps de la contempler, mais à en juger par ce que je ressentais, elle devait être de belle taille. Il allait et venait en moi, ressortant presque complètement pour rentrer jusqu’à ce que ses couilles claquent contre mon cul. J’étais aux anges. Et lui aussi, je commençais déjà à venir quand je le vis se contracter. Il se retira et éjacula sur mes seins trempés de sueur. Ma chatte n’eut pas un moment de répit puisque le deuxième jeune y prit place et c’est peut-être quasiment quand il est entré en moi que j’ai joui pour la première fois. Tout étonné de ma réaction, et sans doute stimulé par les contractions de mon vagin, il se laissa aller dans mon ventre. Il avait visiblement très envie de moi, car je sentais les jets de sperme s’écraser au fond de ma matrice. Il resta encore en moi quelques secondes et le troisième larron lui demanda de lui laisser la place :« Sors de là que je la défonce cette chienne. Tiens nettoie- le toi ! » m’intima-t’il. Je dois dire que j’adore être soumise à un homme quand il me traite comme une chienne, aussi je m’exécutai et lui nettoyai la queue de ma langue. Je trouvais le troisième vraiment laid et gros, mais sa queue me fascinait. J’avais envie de la sentir en moi et c’est en ondulant du bassin que mon sexe vint à la rencontre de sa queue. J’étais dégoulinante de sperme aussi il n’eut aucune difficulté à entrer bien à fond. Il me lima pendant plusieurs minutes pendant que je suçais alternativement les autres afin qu’ils reprennent vigueur. Quand ils eurent à nouveau une bite bien raide, le gros me souleva sans sortir de ma grotte et me transporta jusqu’au salon. Je sentais qu’il maîtrisait bien son sujet puisque toujours sans sortir de moi, il s’assit sur le canapé, si bien que je me trouvais sur lui, la croupe exposé aux deux hommes qui me mataient la queue à la main. L’un d’eux commença à m’introduire un doigt puis deux dans l’anus, pénétration largement facilitée par le sperme qui avait coulé sur mon petit trou. Sous l’effet de ses doigts, je jouis une deuxième fois et c’est juste après mon orgasme, alors que je me relâchais complètement qu’il positionna son gland contre mon anus et poussa d’un coup. Je ressentis une douleur très vive et très fugace : il était entré en force, d’un coup, et ses couilles tapaient déjà contre mes fesses. Il resta un moment dans cette position et les deux hommes commencèrent à me ramoner en rythme. Il ne me fallut que très peu de temps avant de jouir une troisième fois. Je n’en pouvais plus, mes jambes ne me portaient plus, les deux hommes m’imposaient un rythme de folie, jusqu’à ce que le jeune m’inonde l’intestin. Il ressortit aussitôt et l’autre prit la place. Le gros ne bougeait plus, mais la güvenilir bahis nouvelle queue dans mon anus faisait tout : il me labourait littéralement le cul en m’insultant :« Tu aime ça salope, te faire bourrer par trois maçons pendant que ton mari est au boulot. » Quelques secondes plus tard, il m’inondait lui aussi l’intestin et se retirait aussitôt. Mes doigts allèrent à la rencontre de mon petit trou dilaté. Je sentais le sperme couler le long de mes cuisses. Le bedonnant n’avait encore pas joui. Il me fit mettre à quatre pattes et tentat d’introduire sa queue dans mon cul. Je ne pensais pas cela possible, mais il réussit non sans difficulté à m’enculer grâce au traitement de ses deux collègues. Bien calé au fond de mon cul, il me pistonnait sans ménagement, ressortant sa queue totalement et la rentrant d’un coup sec. J’eus encore un orgasme avant de m’affaler définitivement sur le canapé taché de foutre. Il me lima encore quelques secondes et ressortit pour présenter son gland à ma bouche. Il était un peu sale de mon cul, mais il ne me laissa pas le choix :« Avale ma queue pétasse, c’est ta faute si elle sale comme ça ! » Et je pris sa queue en bouche. Il jouit alors quasi instantanément un sperme très épais, en si grande quantité que je ne pus tout avaler !! Ses dernières giclées atterrirent sur mon menton et glissèrent sur mes seins et le canapé. Les trois hommes s’assirent alors et prirent un de repos bien mérité. L’un d’eux attrapa un miroir qu’il mit face à mon anus afin que je voie dans quel état il était. Il était béant, et dégoulinant de sperme. A ce moment, je pensais vraiment qu’ils m’avaient abîmée tellement le trou était dilaté. Reprenant peu à peu mes esprits, je les complimentai et leur demandai de garder tout cela pour nous. Ils étaient d’accord à une condition : pendant toute la durée des travaux, je devais être à leur disposition quelque que soit le moment dans la journée pour eux et pour les autres ouvriers susceptibles de venir les aider. J’acceptai bien sûr en me disant que jamais plus je ne prendrai de résolution de fidélité. Tout ce que je viens de vous relater s’est passé lundi 5 août. Le chantier n’est toujours pas fini. Et pourtant d’autres ouvriers sont venus prêter main forte aux trois premiers. En revanche, je suis exténuée. Il n’y a pas une pièce où je puisse aller sans qu’un homme vienne m’y sauter. Même le patron des ouvriers est venu voir. Il ne comprenait pas pourquoi pas il y avait autant de retard. Il a compris et a même promis de revenir superviser de plus près « mon » chantier. Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Logiquement, l’échafaudage sera enlevé mardi prochain. Ca fera 12 jours de « travail » contre 5 normalement. Mon mari les a trouvé très professionnels : ils se sont excusés du retard auprès de lui et ils ne lui factureront pas de supplément. Il en était même étonné. S’il savait.Pour ma part, j’ai décidé de ne pas m’arrêter là. J’ai adoré me faire baiser par des inconnus, qu’ils soient beaux ou laids, et j’entends bien continuer. En revanche, j’utiliserais dorénavant des préservatifs. J’adore sentir le sperme m’inonder les entrailles, mais c’est vraiment trop dangereux surtout si je généralise ce genre de pratiques