Loches

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LochesJ’invite tous ceux qui passeraient en ce beau coin d’Indre et Loired’aller visiter Loches ce fameux lieu. Les vestiges de la vieille villeen sont impressionnants. Pour le reste les gens et les paysages y sontagréables. Je lie ce nom aussi à un bon souvenir. Gabrielles’appelait-elle. Elle logeait avec son mari dans un refuge tenu par mesparents. Septembre venait à son terme. Nous avions trouvé curieux devoir débarqué ce couple en cette arrière saison. Eu égard aux largesdisponibilités on trouva bon de leur offrir à bon marché le quatrepièces du haut. Nous vîmes rapidement que le couple battait de l’aile.Les échos de leurs disputes nous parvenaient au travers des murs. Jetrouvais l’homme plus sympathique que la dame.Celle-ci avait un air d’autorité. Elle s’accoutrait à la façon d’unegarce. Toujours en bas et escarpins et ostensiblement fardée quoiqu’ilfit chaud parfois. Elle ne pouvait en présence d’un mâle s’empêcher defaire des minauderies et d’adresser des regards par en dessous. Ellevoulait manifestement plaire et séduire. Je ne saurais vous dire si elleétait jolie. Par contre sur la copie de son passeport était indiquée sescinquante ans au lieu que son compagnon en marquait dix de moins. Ilsétaient vraiment mal appareillés. Lui était d’autant timide et correctqu’elle était vulgaire et trop agressive. Elle le dominait. Elle letançait lorsqu’il s’adressait à une autre femme tandis qu’elle allumaitimpunément.Je venais qu’à quelques occasions voire mes parents. A chaque fois ellem’adressait sans vergogne un large sourire. Surtout lorsqu’elle étaitsans son mari. Elle ne se privait pas de m’inviter à partager son cafésur la terrasse. Elle étalait sur une petite table ses magazines et sonportable. Elle me fit part rapidement de son dépit que son mari eût éluce coin paumé loin de toute ambiance et loisirs. Si cela n’eût tenu qu’àelle, elle aurait préféré la côte d’azur. Il s’y étaient pris trop tard.Les locations restantes demeurant hors de prix. Bref elle s’ennuyait etse sentait piégée ici. Me fixant elle dit : “Y a pas beaucoup de fillesici . Tu dois t’emmerder mon pauvre”. Je compris que ce devait êtretraduit pour elle par : il y a peu de mecs ici.Penaud j’avouais qu’à dix neuf ans j’avais bien une amie mais quecelle-ci était partie avec deux trois copines sur la Rochelle sans moi.La garce éclata de rire. “Tu te débrouilles comme un nigaud. Je convinsintérieurement qu’elle avait raison. Elle crut devoir se reprendre etaffecter la compassion. “N’ai crainte l’absence aiguise le désir. Vosretrouvailles n’en seront que plus belles.”Cela devint comme un petit jeu. Elle voulait savoir si j’avais euquelques coups de fil ou des SMS de l’amie. Elle remontait davantage sajupe courte tandis qu’elle en parlait. Je lorgnais illegal bahis malgré moi lanaissance des bas où une belle peau laiteuse ruisselait. Je bandais.Elle le savait.Je savais un peu les heures où elle glandait seule sur la terrasse.Incidemment advenu à ces moments, elle s’en aperçut je crois avant moi.Elle m’attirait telle un aimant. Un jour je décidais de ne venirrésistant à la tentation. Cependant l’attente fut insupportable. Je meprécipitais le lendemain. Elle marqua son mécontentement affectant unbonjour glacé puis un silence prononcé. Pour briser celui-ci j’hasardaisune question : “Vous avez visité Chinon ?” C’était bien mal venu carelle s’y était emmerdé. Elle me le fit savoir. Elle partit dans unediatribe contre les vieilles pierres et les syndicats d’initiative. Jeprotestais. Ceci pouvait avoir son charme. Méchamment elle rétorqua :”Tu t’étonnes que ta nana se défile !”.Je fus tenté de lui balancer que son couple ne valait mieux. Nous étionspassés à un stade supérieur. Une saine colère d’emblée nous rapprochait.J’en voulais à ma copine. Il n’était que trop vrai qu’elle me prenait dehaut. Il était vraisemblable qu’elle flirtât là bas en mon absence.J’étais le parfait nigaud. Depuis mon dépucelage, je n’avais pas eu tantde filles. Cette femme à présent me rappelait d’une certaine façon quej’étais nigaud. J’eus pu lui répliquer tout autant qu’elle n’étaitqu’une garce, une vieille peau et qu’elle ne méritait pas son délicatcompagnon. Nous nous dévisageâmes un instant. Nous étions l’un l’autreirrités et malheureux pour de différentes raisons. Nous étions à la finde l’été. Nous ne savions comment sauver nos vacances.C’est à ce moment que son visage fermé irradia un large sourire venu onne sait d’où. En même temps elle écarta les cuisses devant moi àl’intérieur desquelles gisait une culotte couleur lilas toutetransparente. En effet j’entrevis au travers quelques poils du pubis.Son geste était ostensible et pour que je me régale des yeux. L’érectionsurvint. D’un coup d’œil avisé je sus qu’elle l’avait deviné. Son visageétait devenu entre temps sardonique. Tirant sur sa cigarette une boufféese perdit dans l’air. D’un ton de voix changé elle dit soudain rasséréné: “Il ne faut jamais désespérer. On peut toujours se refaire. Toi et moion peut ensemble s’amuser.” Je rougis. Son propos était explicite. Jen’avais jamais jusqu’alors répondu aux avances d’une femme mûre.Cette nuit passa en boucle tant ses cuisses ouvertes que sa chatteaperçue. Cela valu du foutre sur le drap. J’eus du mal à affronter lelendemain son regard. Ma mère entre temps m’informa que le monsieurétait parti en coup de vent. Sa mère avait du être hospitaliséed’urgence. Madame n’ayant voulu le suivre s’ensuivit une dispute. Brefcette pécore illegal bahis siteleri était résolue à savourer les trois derniers jours d’autantque ceux-ci avaient été payés. Je sentis que ma mère n’eût pas vu d’unmauvais œil que la garce débarrassât le plancher. Dûment informé je vinsrejoindre la miss sur la terrasse. Elle fumait nerveusement sacigarette. Elle me confirma le tout. Elle avait obtenu de garder lavoiture ayant amené monsieur au TGV.Elle eût confirmation que j’aimais à conduire et m’élut à la fois commeguide et chauffeur. En effet elle escomptait bien qu’en ces troisderniers jours je pus la convertir à cette manie des châteaux et desvieilles pierres. Elle renchérit que cela me ferait du bien et qu’ellecomptait bien me faire sortir de la tête ma petite amie si ingrate etdélurée. Je vis trop où elle voulait en venir. Cela en m’effrayait enmême temps que j’aspirais à me jeter pour une fois dans l’abîme de ladébauche. Jetant par dessus-tête mes derniers scrupules je voulaisaborder aux rivages du sexe. Par ailleurs je trouvais mal que ma mère ouautre me vit continuellement en conversation sur la terrasse. Il fallaitque nous allions nous cacher pour tous deux pécher.Il fut décidé d’aller sur Loches pour déjeuner et découvrir le site. Mamère ne vit que l’opportunité de se débarrasser de l’intrigante et neperçut pas le danger que je courrais. De toute façon je n’avais de cessede dire du mal de cette femme devant elle. Ainsi pus-je lui expliquerque je ferais volontiers le taxi pour cette femme afin qu’elle nesouffrit sa présence toute la journée. Mon conte fut cru. Je n’étais paspeu fier d’être devenu menteur et cynique à la fois. Je devinais que cen’était que le début de l’effet d’une corruption généralisée. Ce genrede femme vous rend fou. Nous partîmes rapidement d’autant qu’ellearborait cette fois une minijupe. Cela eût alerté ma mère. Deuxkilomètres plus loin nous échangeâmes des baisers et elle me branlât.Avant d’atteindre Loches en un petit chemin j’eus droit enfin à unesublime fellation, la première de ma vie qui fut de cette qualité. Ellem’invita à lui lécher ses tétons sur des seins qu’elle avait gros. Mamain s’enfouit dans une culotte plus transparente que jamais.J’exultais. J’en eus les larmes aux yeux. Tout cela me libérait d’unetrop grande tension et véritable frustration. Elle ne parut émue. Cettesalope mesurait tout ce que représentait pour moi de posséder enfin uneréelle femme. Il y avait tout à apprendre. Elle m’assura qu’avant la finde nos trois jours je serais un amant émérite. Elle en avait déniaisé deplus coriaces que moi. Nous parcourûmes main dans la main tout Loches enamoureux. Je n’avais cure qu’on me reconnut.Au retour en lisière d’un champ je la pris dans la voiture. Elle canlı bahis siteleri modéramon entrain et d’épouser son rythme. De savourer à mesure nos deuxplaisirs. Au bout d’une heure j’étais fou amoureux de cette sorcière.Plus aucune femme outre ma petite amie n’existait. J’échafaudais déjàdes romans avec elle. Elle me confirma qu’elle quitteraitvraisemblablement son mari. D’autres hommes la pressaient. La prochainefois elle ne s’embarrasserait pas d’un pareil minable. Je la voyaism’échapper. Je devins sur le coup jaloux. Elle en rit. Elle rappela quej’eus pu être son fils. J’étais malheureux. Elle me dédommagea decâlins. J’eus assez de peine à quitter ses bras. Le lendemain je fus auxaurores pour visiter Villandry et ses jardins.Nous baisâmes tant à l’aller qu’au retour. Châteaux et vielles pierresavaient perdu toute magie. Je n’avais de cesse de baiser cette femme.Tout à la force de l’âge je fis montre d’une endurance dont elle meloua. Rien à voir avec son falot de mari. elle se régalait aussi. Ellem’initia ce jour à user de son petit trou, ce sulfureux réduit fécal.J’en avais maintes fois rêvé. J’eus scrupule cependant à nicher mon sexeen cet étroit endroit. Une première fois j’échouais et débandais. Elles’enquit de me sucer pour me ranimer. Elle avait enduit l’anus de crème.Elle m’exhortait d’aller doucement et de présenter le gland au pointidoine. En fait celui-ci entra aisément. Avec quelque expérience j’euscompris que cette garce avait souvent été pénétrée de la sorte.Au retour et en mode levrette je l’enculais au milieu d’un champ. Elleme dit qu’elle adorait être prise ainsi en pleine nature. Peu loin il yavait une ferme. Elle me dit qu’elle n’avait cure qu’on mate. Aucontraire cela augmentait sa jouissance. De toute façon le touristes’arroge ce droit dans nos campagnes. Tout le long du retour elle mebranlât et suça tandis que je conduisais. Un cadeau m’attendait. Elle mesouffla de passer la nuit en sa chambre sans que les autres surent.Ainsi revins-je à pas de loup. De toute façon mes parents étaient à leurdomicile. Tout au plus au matin ne devais-je être surpris à sortir de lachambre de la gueuse. Je vous laisse imaginer l’orgie toute cette nuit.Riant elle clama qu’elle adorait vider les couilles d’un homme.Notre dernier jour du moins fut marqué du coin de la tristesse. Ne l’enbaisant pas moins sauvagement je réclamais cependant plus de câlins etque nos baisers goulus témoigna davantage de tendresse. Je protestaisqu’elle ne m’oublia pas. Elle consentit à quelques clichés photo. Elledemandait seulement que je ne disperse pas trop ces témoignages. Detoute faon me dit-elle je n’ai cure qu’on voit mon cul. Je ferais commebon me semble. J’obtins une nuit encore entre ses bras. Au petit matinj’affectais de venir de loin pour la saluer. N’avait-elle point été macliente et moi son guide ? Nous convînmes de nous revoir vingtkilomètres plus loin près de l’autoroute pour les adieux solennels. Cefut ma dernière pipe. Peu de jours après son numéro fut désactivé.