Mirna et Pablo (troisième partie)

Amateur

Mirna et Pablo (troisième partie)MIRNA ET PABLO (troisième partie)J’avais voulu lui laisser un temps de repos, pour se récupérer… Hélas! Il s’était endormi! Je lui avais procuré un super orgasme, mais moi, j’étais restée sur ma faim! Pas de quoi en faire un drame, me suis-je dite. Il me restait encore deux bonnes journées, avec ses nuits, pour profiter de ce beau garçon et de son merveilleux sexe. Bien que ça puisse paraitre étonnant, venant de ma part, je me suis allongée à coté de lui et je me suis endormie, ma main sur sa queue…Vers sept heures du matin, je me suis réveillée et vu, surprise, que Pablo n’était plus à côté de moi. Je me suis levée pour aller aux toilettes et, en passant à coté de la chambre où dormais Mirna, je n’avais pas pu m’empêcher de teindre l’oreille. Silence. La porte était entrouverte. Curieuse, je l’avais poussée et, avec les premières lueurs de la journée, je les avais vus, les deux, nus et collés, l’un à l’autre, dormant placidement. Je me suis approchée, à pas de velours, pour mieux distinguer leurs corps. Mirna, dans son rêve, se retourna d’un quart, laissant son corps, tout en rondeurs, entièrement à ma vue. J’observais ses formes, ses gros seins laiteux et flasques, avec de larges auréoles couronnées de mamelons de la taille d’un pois-chiche ; son ventre proéminent et son pubis très velu… Dans la seconde suivante, Pablo se tortilla sur sa mère, plaçant sa tête sur une de ses mamelles et posant l’autre sur son ventre. En sentant la main de son fils sur sa chair, Mirna émit un presque inaudible « hum ! ». Mon amie écarta ses cuisses et posa la main de Pablo sur sa vulve… Une envie soudaine de m’allonger à leur côté me fit mouiller instantanément. Dans d’autres circonstances, je ne me serais pas privée de prendre l’initiative, mais, là, j’ai réagi tout autrement. Je suis retournée dans la chambre, enfilé mon jogging et pris une serviette, pour aller faire un petit tour à la plage. A cette heure du matin, la plage était déserte. L’air matinal était frais, mais j’avais chaud. Une chaleur qui venait de mes entrailles. Je décidai de prendre un bain dans cette mer paisible. Comme j’étais seule, je me suis mise à poil et j’ai plongé, la tête la première. Quelle était bonne, l’eau! Fraiche, revigorante… Après quelques minutes de chapeauter dans l’eau, de faire quelques mètres à la nage, rien de trop olympique, je suis sortie et me suis allongée sur la serviette. Les jambes un peu écartées, je me régalais de la brise marine chatouillant mon minou… Mon cerveau n’arrêtait pas de m’envoyer des images lubriques : le phallus de Pablo dans mes mains, la douceur de sa peau, le gout de son sperme et Mirna, oh, ma Mirna…J’ai pris mes seins entre mes mains et je me suis tortillé les bouts, très durs. J’avais envie de me caresser. Un balayage visuel de 180° me permis de constater que j’étais toujours seule. Deux secondes après, l’index et le majeur de ma main droite se frottaient à mon petit bouton d’extase. Je connais à tel point mon corps et ses réactions que j’ai accueilli sans surprise mais avec un long geignement de plaisir, la rapidité électrique de ce premier orgasme.-Bonjour, Madame. Puis-je vous aider ? Une voix masculine, venant de derrière moi, coupa net le courant orgasmique et me fit sursauter comme la voleuse qui se fait prendre la main dans le sac, en flagrant délit. Il a du comprendre tout de suite ma frousse car il ajouta, en venant se placer sous mon champ visuel :-Excusez-moi de vous avoir effrayée canlı bahis şirketleri ?-Oh ! Je ne vous avais pas vu… Lui répondis-je, en me couvrant tant bien que mal avec le haut de mon jogging.-Moi, si… Je vous avais vue. Vous êtes ravissante !A ce moment, un peu plus tranquille, je pouvais, enfin, le regarder. C’était un monsieur, plus âgé que moi, grand et très mince, pas spécialement beau mais séduisant. Et équipé avec toute la tiraille du pêcheur chevronné. Pour ceux qui me connaissent bien, ils savent que la pêche c’est une de mes passions préférées. -Il y a longtemps que vous êtes là, à me regarder ? Lui demandai-je, avec un zeste de malice.-Je vous ai vue juste au moment où vous sortiez de l’eau…-Pourtant, j’avais regardé, moi… Et je n’ai vu personne.-Ha ha ha ! Vous n’aviez regardé qu’à droite et à gauche, mais pas derrière vous !Comme si c’était la chose la plus normale du monde, d’aller à la pêche, à sept heures et demi du matin, et se trouver avec une femme nue en train de se masturber au bord de l’eau, il s’était mis à installer tout son matériel à côté de moi.-Je n’ai qu’une petite heure pour pêcher. La mairie du village l’interdit à partir de 8h30 et jusqu’à 8h le soir, en période estivale.Encore une fois, dans d’autres circonstances, je me le serais fait, ce type inconnu. Mais, il n’y avait rien de normal dans mon séjour. Rien du tout. Donc, après une courte réflexion, je me suis rhabillée, lentement et mise, debout, en face de lui.-Vous avez un très joli corps… Je m’appelle Marc, en me tendant la main.-Moi, Sandra… Au plaisir ! En lui tendant la mienne, seins nus-Vous n’êtes pas obligée de partir… Restez un peu avec moi, s’il vous plait. Je suis restée avec lui une bonne heure. On avait discuté de pêche, mais aussi de nos vies. Marc était commercial chez une maison d’édition. Et veuf ! Il me plaisait beaucoup, mais quand il m’a dit qu’il n’avait pas de femme, la première personne à qui j’avais pensée, c’était à Claire. L’homme idéal pour donner à sa libido un réconfort autre que celui de son fils. A la fin de notre conversation, il m’avait proposé de me revoir, le même soir, au bal organisé au village. Je lui ai dit oui, tout de suite. En ajoutant que je viendrais accompagnée. Nous avions pris congé en nous embrassant courtoisement. Quand j’étais à quelques mètres de lui, je l’entendis dire : -A deux kilomètres d’ici, il y a une très jolie plage… nudiste. J’y vais tous les après-midi.Je me suis retournée et lui fit signe avec mon pouce levé vers le ciel. J’allais rentrer et leur proposer d’y aller, ce jour même. En arrivant à l’appartement, Pablo et sa mère étaient à table, en train de prendre leur petit déjeuner. Je les ai embrassés, à tour de rôle.-Tu es toute fraîche ! Mirna s’était exclamée.-Et toute salée ! Je me suis baignée, toute nue ! Je lui répondis en lui tirant la langue.Pablo, que jusqu’à ce moment là avait l’air absent, s’est retourné pour me regarder, avec curiosité. -Mais, ce n’est pas une plage nudiste, avait ajouté-t-elle. -Je sais; et en plus, tu sais… Je me suis caressée, au bord de l’eau. En disant ceci, je regardais Pablo-Arrête, coquine ! Et si quelqu’un t’avait vue ?-Hum… C’était le cas ! Un homme ! Un pêcheur !-T’es folle, ma belle !Mirna portait un long t-shirt blanc, très usé, presque transparent. Ces gros seins lourds étaient bien visibles, et ses gros mamelons pointaient indécemment. Je me suis placée derrière mon amie et lui pris les mamelles entre mes mains :-Mais… Mais…-Tu sais, canlı kaçak iddaa maman i****tueuse, ton fils s’est régalé de mes caresses, cette nuit. Mais, moi, que dalle ! Mirna posa ses mains sur les miennes mais moi, je continuai à lui malaxer, en cherchant de mes doigts ses mamelons :-Ça ne m’étonne guère que ton Pablito préfère tes nichons… Hein, Pablo, qu’ils sont magnifiques, les mamelles de ta maman ?-Sandra, s’il te plait ! Tu ne vois pas qu’il est complètement affolé ?-Affolé ? Moi, j’étais affolée quand il s’est mis à gicler comme un extincteur ! Qu’en dis-tu, Pablo ? As-tu passé une bonne nuit avec « tante » Sandra ?Le jeune garçon s’est mis à farfouiller une litanie de murmures bizarres, tout en passant son regard de son assiette de céréales à la poitrine de sa mère, déjà libérée de l’emprise de mes mains. C’était clair qu’il était mal à l’aise. Mais pas tant que ça.-Va t’habiller, Pablo, lui ordonna sa mère.Une fois débout, nos regards se concentrèrent sur le caleçon du garçon. Une érection impressionnante confirmait ce que je pensais de son autisme. Au moins, en ce qui concerne son attirance envers le sexe féminin.-Maman ?-Oui, mon cœur.-Tu viens ?-Oui, trésor… Va dans la salle de bain…J’arrive…Quelques secondes après, Pablo hors de notre vue, Mirna rouspéta : -T’es allée trop loin, Sandra ! Tu as vu dans quel état tu l’as laissé ? -La seule chose que j’ai vue, chère amie, c’est que ce garçon il est accro au sexe et qu’il est fou de sa mère ! Et, à mon humble avis, je suis certaine que tu ne te contentes pas de le branler !-Je dois aller le consoler… Elle se mit débout. Elle avait presque les larmes aux yeux. Je l’avais serrée dans mes bras et lui dis :-Excuse-moi, Mirna. Mais, je ne comprends pas pourquoi tu m’as appelée. Tu t’en sors très bien, avec lui ; et lui, c’est évident, il est aux anges, avec toi.-Je dois te montrer quelque chose. Un instant…Elle sortit une enveloppe, d’un des tiroirs du meuble de la cuisine. Et elle me le tendit :-Je l’ai reçue il y a une semaine. Lis-la. Tu comprendras.Sur ces mots, elle s’était éclipsée dans la salle de bain, où Pablo l’attendait. L’envie de regarder la façon dont Mirna allait consoler son fils, me démangeait. Mais, la curiosité pour lire cette lettre et le respect envers mon amie, me décidèrent de m’asseoir, me servir un café et essayer de décrypter ce document qui avait provoqué son appel à l’aide.Dans le dernier entretien d’évaluation de l’état psychologique de Pablo avec le psychiatre qui s’occupe de lui, le garçon avait expliqué avec une totale innocence et transparence, les pratiques masturbatoires que sa maman pratiquait avec lui, tous les weekends. Mais, aussi, et avec tous les détails qu’une mémoire photographique comme celle de Pablo pouvait fournir, les « compensations vexatoires » (ce sont les mots rédigés sur ce texte) que Mirna demandait au garçon : cunnilingus, anulingus, masturbation avec gode, pénétration anale et vaginale avec les doigts… Putain, la salope ! Pensai-je. Et ce n’était pas fini. En outre, Mme D. Mirna, obligeait à son fils à éjaculer dans sa bouche, sous prétexte –je cite les paroles de Mirna, répétées par Pablo devant le psychiatre et décrites noir sur blanc sur le papier- « que c’était très bon pour la santé de maman ». Une note au pied de page, indiquait que Pablo D. était atteint d’une forme sévère d’hyperspermie qui consistait à produire des éjaculations de sperme dépassant les 6 ou 7 ml., soit un volume de deux à trois fois plus important canlı kaçak bahis que la plupart d’hommes adultes…Maintenant, je comprenais la quantité de foutre qui s’était éparpillé partout ! Oh, purée ! Pablo était un vrai phénomène de foire !Le document se terminait par une sévère interpellation. L’équipe médicale du Centre conseillait vivement Mme Mirna D. d’arrêter immédiatement ces pratiques qui nuisaient de façon pernicieuse la santé et l’équilibre psycho émotionnel de son fils… Et pour conclure, un avertissement. De persister dans ce comportement outrageant, le Centre entamera des poursuites légales à sa rencontre ! J’étais estomaquée. En fait, c’était mon amie qui avait besoin d’aide psychologique. Mais, moi, que pouvais-je faire ? Je songeais à tout ça, quand tous les deux sont sortis de la salle de bain. Lui, habillé en short et t-shirt à la mode, Mirna avec une robe courte et décolletée, à motifs florales. Un sixième sens m’a fait voir, de suite, qu’elle avait réussi à le « consoler » selon le texte que je venais de lire : « l’obligeant à éjaculer dans sa bouche ».-Mirna, il faut qu’on parle.-D’accord. Mais, là, nous allons faire quelques courses, Pablo a besoin d’habits.-Et je ne peux pas vous accompagner ?-Si, bien sur que si… Tu viens comme ça ?-Non, laisse-moi le temps de prendre une petite douche et de me changer.J’étais sur le point de me sécher quand Mirna, sans toquer, est entrée. Elle me lança un regard difficile d’interpréter, souleva sa robe, baissa sa culotte jusqu’aux genoux et s’assit sur le WC.-Il ne devait pas avoir trop de sperme, après tout ce qu’il a giclé cette nuit avec moi…-Tu as bien lu la lettre, Sandra ? Me demanda-t-elle en prenant un bout de papier toilette et s’essuyant la chatte. Je ne sais pas comment fait-il, mais il est capable de réjouir aussi copieusement plusieurs fois par jour…-Oui, j’ai lu la lettre… Je trouve que c’est grave, ce qui se passe ici, entre vous.Mirna restait assisse sur la cuvette, me regardant fixement. J’étais déjà sèche mais mes habits étaient dans leur chambre. Un silence pesant, électrique s’était mis en place :-Pourquoi me regardes-tu comme ça ? Lui avais-je demandé, tout près d’elle, sans rien faire pour cacher ma nudité.-Pourquoi m’as-tu tripoté les seins, tout à l’heure ?-Parce que… Elle se mit debout et prit mes deux mains pour les placer, à nouveau, sur sa poitrine :-Tu aimerais coucher avec moi, Sandra ?-Oui… Avec toi et avec Pablo. Avec vous deux…Je ne pus finir ma phrase car Mirna me serra très fort dans ses bras et m’embrassa à me couper le souffle. J’ouvris un peu mes lèvres et elle m’enfonça la langue, frémissante, avec une fougue, propre à une adolescente en chaleur. J’avais réussi à libérer une de mes mains et à la diriger vers son entrejambe. Le tissu de sa culotte était imbibé de son jus ; mes doigts sentaient l’humidité de sa chatte et ils ne tardèrent pas à palper son clitoris, drôlement gonflé. Nos bouches continuaient à se rouler une pelle incroyable. Ma main gauche lui tortillait le téton, sans compassion. Les doigts de ma main droite la branlaient par dessus la culotte à une cadence infernale. Soudain, je senti un surplus d’humidité sur ma main, en même temps qu’un cri a****l s’étouffait dans ma bouche…-Maman ! On y va ?Mirna et moi nous sommes séparées. J’avais une impressionnante bouffée de chaleur. J’étais figée sur place, avec mon corps bouillant qui ne demandait qu’à être baisé ! -Oui, mon p’tit cœur ! On arrive…Mirna se débarrassa de sa culotte et me la donna. La ouate était trempée comme si elle venait de se pisser dessus. Elle me regarda, malicieuse et, tout en prenant ma serviette pour s’essuyer le minou, me dit :-Allez ! Dépêche-toi ! Pablo nous attend…A suivre (si vous le voulez bien !)