Monsieur Hurst – partie 2

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Monsieur Hurst – partie 2MONSIEUR HURST – partie 2Lorsqu’il faisait beau l’été, Monsieur Hurst aimait bien se promener dans certains parcs pendant la nuit. Il y rencontrait surtout des inconnus mais à l’occasion des gens qu’il connaissait de vue ou même assez bien. Un soir de juillet, sous un ciel qui se remplissait lentement de nuages, Monsieur Hurst se fit déposer près de l’entrée d’un grand parc au sud de Paris. Il y avait encore quelques familles près de l’entrée qui attendaient le tramway. Il suffisait de marcher encore pendant 10 minutes pour que les arbres soient plus nombreux que les gens et que la nuit fasse de tous des anonymes.Pour l’occasion, Hurst était vêtu comme un commis de bureau avec chemise blanche, veste noire, pantalon noir mais sans sous-vêtement. Il faisait attention de ne pas attirer les voleurs. Après quelques minutes, Hurst vit une ombre près d’un arbre. L’homme siffla un air connu. Hurst lui répondit. Les deux homos s’appelaient dans la nuit pour un plaisir. En un instant, Hurst se retrouva à quelques pas de l’homme, assez près pour voir son visage. « Maître Bernard ? », chuchota Hurst« Hurst ?”, dit l’avocat“Que faites-vous ici ? », demanda Hurst« La même chose que vous…je chasse », lui répondit l’homme qu’Hurst avait rencontré au journal.« Je ne savais pas…je vous croyais marier ? », demanda Hurst« Ma femme a ses amants, j’ai les miens », répondit l’avocat, « mais pas un mot s.v.p., personne ne sait ». « Ne vous inquiétez pas », dit HurstLes deux hommes, à peu près du même âge, marchèrent jusqu’au flanc d’une petite colline. Me Bernard passa son bras autour de la taille d’Hurst qui n’avait jamais été insensible au charme de l’avocat. Les deux hommes se léchèrent les lèvres, puis Hurst donna un baiser à son nouvel ami. « Actif ? », demanda Hurst« Oui..actif…toi ? », répondit l’avocat« Oui…moi aussi…dommage », dit Hurst« Oui..dommage », répondit l’avocat qui aurait bien glissé sa queue entre les fesses du journalisteHurst caressa la bosse du pantalon de Bernard et l’avocat passa ses doigts sur la queue dure que cachait le pantalon d’Hurst. Les deux hommes se voulaient. Ils laissèrent tomber leur pantalon et s’installèrent tête-bêche sur les feuilles sèches à côté d’un arbre. Les deux mâles prirent le temps de bien se sucer et de se caresser en même temps les fesses et le trou qui se cache entre les globes. Le manège dura un bon 10 minutes avant que Hurst sentit la jouissance de Bernard dans sa bouche, ce qui déclencha son tir dans la bouche de son amant. Les deux hommes restèrent couchés bouche à queue pendant quelques instants après leur décharge. Ensuite ils remirent leur pantalon et se préparaient à s’installer près du sentier lorsqu’ils entendirent des pas.Les deux hommes virent un homme d’une soixantaine d’années, très bien vêtu avec haut de forme, aux bras d’une femme, probablement sa femme, qui déambulait en pleine nuit comme si c’était l’après-midi au soleil. Ce qui était encore plus rare, ils virent, venant de l’autre direction, un autre couple très semblable, un homme du même âge, avec sa femme à son bras. En fait, Hurst chuchota à l’oreille de son compagnon que ce sentier était souvent emprunté par des hommes d’un certain statut social car ce parc était assez loin bahis firmaları du centre de Paris et assez discret. Hurst et Bernard virent les deux couples se croiser sur le sentier. « Il va se passer quelque chose », chuchota HurstLes deux hommes et les deux femmes se saluèrent de la tête et continuèrent leur chemin pour quelques instants puis s’arrêtèrent. Les deux hommes se regardaient, les femmes s’éloignèrent de leur mari, puis les deux hommes s’avancèrent l’un vers l’autre en se dirigeant vers les buissons longeant le sentier. « Ça y est. », chuchota Bernard« Ils se veulent », répondit HurstLes deux hommes, habillés d’une façon à peu près identiques, plus très jeunes, un peu bedonnant, étaient de la même taille. Bras dessus, bras dessous, ils firent quelques pas dans les buissons en se parlant à voix basse. Hurst et Bernard, tous deux voyeurs invétérés, se blottirent derrière les petits arbres de l’autre côté du sentier et écoutèrent les deux femmes qui s’étaient rejointes tout près.« Je crois que nos maris se plaisent bien », dit l’une des femmes« Vous avez raison. Je crois qu’ils vont vouloir aller plus loin », dit l’autre femmeLes deux femmes s’assirent sur un banc tout près pendant que les deux maris, toujours en vue, avaient décidé de se débarrasser de leur chapeau, de leur veste et commençaient à déboutonner leur chemise. Les deux voyeurs n’en croyaient pas leurs oreilles.« Attendons qu’ils s’y mettent et veillons à ce qu’ils soient bien bandés », dit Hurst, qui en avait vu de toutes les couleurs.« Bonne idée. Il faudra peut-être leur donner un coup de main », répliqua BernardLes deux hommes avaient gardé « le haut » mais étaient nus en bas de la ceinture, ayant enlevé bottes et pantalon. Sous l’œil amusé de leurs femmes, les deux hommes de caressaient la queue et s’embrassaient à pleine bouche. Hurst décida d’intervenir. Ayant remis leur pantalon, Hurst et Bernard s’approchèrent du couple d’amoureux. Les femmes se levèrent, pensant à des voleurs, mais se replacèrent sur leur banc lorsque les deux hommes plus jeunes, chacun placé derrière un des amants plus âgés, lui frottaient le dos et les fesses, prenaient les deux queues d’une seule main et les massaient, bref excitaient les deux « vieux » au plus haut point. À ce stade, un des hommes était bandé mais l’autre ne l’était qu’à moitié. Les deux hommes mûrs savaient exactement ce qui se passait car les deux plus jeunes leur prodiguaient des conseils au fur et à mesure. Hurst se mit à genoux devant celui qui semblait en retard et se mit à lui sucer la queue. « Il suce Gérard », dit Germaine, la femme du monsieur, « Que c’est gentil ». « Mon Jean-Paul est un actif », dit Lucille, sa femme.« Oh oui…ça se voit à la grosseur de sa bite « ricana Germaine, « et mon Gérard ne se plaindra pas de se la faire mettre là où ça compte ». Tout le monde aurait été surpris (choqué ?) d’entendre des femmes d’un haut rang social comme ces deux-là utiliser le langage de la rue. Les deux mégères se levèrent et s’approchèrent du groupe lorsqu’il fut évident que leurs maris étaient prêts pour l’amour. Avec l’aide des deux compères, les amoureux du moment s’étaient placés pour que Jean-Paul encule Gérard par derrière. Hurst et Bernard voyaient au grain kaçak iddaa (si on peut dire) et restèrent tout près jusqu’à ce que la queue de Jean-Paul pénètre bien la rondelle de Gérard. Puis Jean-Paul, ragaillardi par cette première poussée, commença à rythmer ses assauts. « Allez Jean-Paul, bourre-le », criait Lucille« Tu aimes ça Gérard ? », demanda Germaine « Il faudrait bien remercier ces deux jeunes hommes de leur aide », dit une femme« Bien sûr, je vais leur demander ce qu’ils aimeraient….peut-être un peu de chatte si ça ne vous dérange pas », dit l’autre« Oh…moi vous savez…les queues… », protesta Lucille« Ah bon….gouine ?…moi je suis aux deux…alors j’aime bien les moules », dit Germaine.Pendant ce temps-là, Jean-Paul avait tiré son coup avec un léger râlement et Gérard avait joui sur le tapis de feuilles. Si leurs sourires en étaient une bonne indication, les deux hommes avaient bien apprécié leur baise au clair de lune. Hurst et Bernard, après avoir contribué au succès de l’effort des deux hommes plus âgés, auraient bien aimé avoir un petit morceau. Suite à leur conversation, les deux épouses avaient retiré leur robe, leur jupon et leur petit dessous. Elles roulaient des yeux l’une vers l’autre et soudain se souvinrent des jeunes sauveurs. Les deux hommes âgés n’eurent pas le temps de se rhabiller que les jeunes loups étaient dans la bergerie. Hurst avait attrapé Gérard par derrière et lui rebaissa son sous-vêtement autour des chevilles. Gérard ne protesta pas quand Hurst lui frotta son gros gland contre son orifice plissé. Bien qu’il venait de se faire embrocher par Jean-Paul, Gérard était d’accord pour recommencer la manœuvre avec ce jeune étalon. « Régardez », dit Lucile, « votre Gérard se fait ramoner encore une fois par le beau jeune homme ». « Et votre Jean-Paul est en mauvaise posture, je pense », dit GermaineEn effet, Jean-Paul, lui aussi un actif comme Bernard, avait repoussé les avances de l’avocat dans la direction de ses fesses. Néanmoins, Jean-Paul n’était pas étranger à faire la boniche, et devant la force et la conviction de Bernard, il se laissa faire et prit la queue de l’avocat comme un homme.« Ah mais regardez-moi ça, mon Jean-Paul qui se fait ramoner comme une cheminée », s’esclaffa sa femme .« C’est la première fois ? », demanda Germaine« Non…je l’ai vu se faire bourrer à l’occasion par des cheminots ou des ouvriers mais jamais par un homme qui n’avait pas l’air du matou », répondit Lucille« Ah, dites donc, ça va s’accoupler dans la bergerie », ricana Germaine« Vous avez raison. Nos hommes se déchaînent avec ces jeunes étalons », acquiesça Lucille .Hurst et Bernard s’étaient arrangés pour diriger leur boniche l’une vers l’autre pour qu’elles se retrouvent face à face. Gérard et Jean-Paul, tous les deux bien remplies par nos deux jeunes compères, s’embrassèrent à pleine bouche et se masturbèrent mutuellement. « Ils ont quand même de l’entrain nos maris. Se branler comme ça après avoir déjà tiré un coup, c’est quand même étonnant », dit Germaine« Ce sont ces jeunes matous qui les ont excités. Je suis certaine que mon Jean-Paul m’avouera qu’il aime bien après tout jouer la boniche de temps en temps», dit Lucille.« Ah que c’est cochon tout ça », s’écria GermainePrises par kaçak bahis l’orgie des mâles, les deux femmes avaient presque oublié qu’elles étaient nues et s’étaient entendues sur leur goût mutuel pour les chattes.« Si vous voulez faire la cochonne avec moi….je ne vous repousserai pas », ronronna Lucille, qui était aussi nue que sa consœur.Les quatre hommes n’eurent pas besoin de bouger pour voir le spectacle. Lucille et Germaine se rejoignirent sur l’herbe humide à quelques pas seulement des mâles en rut. Autant les épouses avaient souvent assisté aux ébats masculins de leur mari, autant les maris avaient été témoins des exploits saphiques de leur femme.Lucille et Germaine étaient du même âge, la première un peu plus grassouillette que la deuxième, mais toutes les deux avantagées par un joli visage, des seins pas encore trop mous, et des fesses un peu ridées mais de bonne forme. Elles avaient toutes les deux un triangle pubien bien fourni, l’un noir, l’autre blond. Hurst et Bernard, qui ne dédaignaient ni un spectacle de lesbiennes ni un combat de femmes, zieutèrent les deux mégères qui s’installèrent en 69, Lucille sur le dessus, puis après une roulade ou deux, c’était Germaine qui montrait ses fesses. Les deux sodomites augmentèrent leur cadence tandis que Jean-Paul et Gérard s’embrassèrent et se branlèrent avec une ardeur redoublée. « Suce-lui le clito », cria Jean-Paul à Lucille.« Pistonne-lui son trou d’amour », conseilla Gérard« Elle aime lécher le trou des fesses ? », demanda Jean-Paul« Tu parles…et c’est ce qui m’excite le plus », répondit GérardLes deux lesbiennes mûres firent une courte pause après avoir aspergé le visage de leur amante de leur cyprine. C’est Lucille, un peu plus forte, et certainement plus portée sur les femmes que Germaine, qui brisa la trêve en se jetant tête première entre les fesses bien molles et bien rondes de Germaine. Le sourire de cette dernière montrait bien que Lucille avait atteint son but du premier coup de langue. « Allez…lèche-lui la rondelle ma grande », cria Jean-Paul sur le point d’éjaculerLes deux mégères trouvèrent le moyen de se recroqueviller pour qu’elles aient toutes les deux accès au trou plissé de leur amante. Ça prenait de la souplesse et du désir.Tout en regardant leurs femmes se grignoter le trou des fesses, les maris s’embrassèrent pour la dernière fois tout en éjaculant l’un sur l’autre. Hurst et Gérard suivirent de près et les deux cochonnes, couvertes de terre humide et de feuilles, ne se lâchèrent pas sans avoir aspergé leur compagne de plaisir. Petit à petit, les deux couples se rhabillèrent tout en échangeant des cartes de visite. Bien qu’épuisés, Gérard et Jean-Paul auraient été prêts à faire sucette avec les deux jeunes hommes si les femmes ne les avaient pas poussés vers la sortie. « Ils en veulent encore…voyez-vous ça ? », ricana Germaine qui faisait semblant d’être fâché.« Si vous ne partez pas tout de suite, c’est moi qui vous retrousserai les jupons », ronronna Lucille à l’endroit de son amante d’un soir. Germaine s’avança vers la lesbienne, et se furent les hommes qui furent obligés de les séparer avant qu’elles ne se tâtent leurs gros nichons.Hurst et Bernard, un peu à l’écart, avaient également pris les cartes de visite et Hurst avait même reçu des informations inédites sur une liaison entre deux femmes de ministres. La soirée avait été fructueuse et les deux jeunes hommes se donnèrent rendez-vous pour d’autres aventures. FIN DE LA SECONDE PARTIE