Rencontre avec deux touristes (1)

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Rencontre avec deux touristes (1)Avec la multiplication des vols venant du Canada et d’Europe dans les années 80, une plage de Martinique est devenue fameuse pour permettre aux touristes qui souhaitaient bronzer intégralement de profiter du soleil. Elle est aussi devenue le rendez-vous des Martiniquais qui souhaitaient leur faire connaître quelques spécialités locales.Avec mon ami, Jean-Baptiste dit JB, nous en avons souvent profité. La seule règle pour être accepté sur cette plage étant d’être entièrement nu, cela permettait à JB de mettre en avant son principal argument pour entamer une conversation, une bite imposante, même au repos. Étant en plus extrêmement foncé, il comblait la soif d’exotisme sexuel des touristes.La première fois que nous y sommes allé, nous venions d’avoir notre bac, et en récompense mes parents m’avaient offert une petite voiture qui nous permettait de vadrouiller à travers la Martinique, c’était aussi pour nous l’occasion de sortir nos copines de l’époque et d’en trouver de nouvelles quand elles étaient ailleurs.Un soir, alors que nous étions sur la terrasse de chez mes parents à profiter du coucher de soleil, JB me sort tout à coup : « Tu voudrais pas baiser des blanches un peu ?— On les trouve où ?— À l’Anse T… elles n’attendent que ça.— Tu crois ?— Sûr, j’ai déjà a essayé.— OK, on y va demain.— Sans les filles ?— Sans les filles. »Le lendemain, en fin d’après-midi, l’heure la plus propice selon JB, je garai ma voiture sur le parking près de la plage. L’Anse T… n’est pas très difficile d’accès, mais elle n’est pas très bien indiquée depuis la route principale. Nous n’étions pas seuls, car il y avait bien une bonne dizaine de voitures garées, la plupart de location. Nous étions habillés léger, seulement des tongs, un slip de bain et un sac pour mettre nos serviettes.Une courte marche, et après avoir traversé la forêt littorale, nous arrivons enfin à l’Anse T… La plage est relativement longue et vu qu’il n’y avait pas grand monde, les groupes de touristes sont assez éloignés les uns des autres. En arrivant sur la plage, les premiers que nous voyons sont quatre personnes, qui devaient avoir la soixantaine et parlaient le néerlandais ou un truc de ce genre. Ce qui me surprend le plus, c’est de voir qu’ils sont entièrement nus, même si j’attendais à ça, la première fois est toujours surprenante.Cela nous rappelle aussi que nous devons nous aussi nous mettre à poil. Heureusement, nous ne portons que notre slip de bain. Après l’avoir enlevé et mis dans afyon escort bayan notre sac, nous continuons notre chemin vers le bout de la plage. En passant près du groupe, je vois qu’une des femmes désigne JB en pointant sa main vers la queue de mon ami. Même au repos, il est suffisamment impressionnant pour qu’elle veuille le faire partager à ses amis.Au final, il n’y avait pas plus d’une vingtaine de personnes sur la plage, beaucoup de couples de touristes qui profitent du soleil couchant. En nous dirigeant vers le bout de l’anse, nous n’avons vu que deux couples en pleine action. Ils étaient en lisière de la forêt et tous les deux entourés de quelques voyeurs et branleurs. Ces spectacles nous excitent et la queue de JB a encore grossi, au point qu’en passant près des couples, nous sommes souvent suivis par le regard des femmes et de certains hommes.C’est vers la fin de la plage, un peu avant les rochers qui en marquent le bout que nous trouvons ce qui nous intéresse, deux femmes. Elles doivent avoir une quarantaine d’année, blondes tous les deux, mais l’une avec les cheveux longs alors que l’autre est coiffée beaucoup plus court. Celle aux cheveux courts est allongée sur le dos et profite du soleil, exhibant une magnifique touffe blonde sur le pubis et des seins un peu tombants aux grosses auréoles, l’autre, sur le ventre, lit un magazine en montrant de grosses fesses rondes marquées par un peu de cellulite. Les deux sont uniformément bronzées, sans la moindre trace de maillot, et les voir ainsi excite particulièrement les jeunes mâles que nous sommes.D’un regard, JB et moi tombons d’accord, sortons les serviettes et nous allongeons à quelques mètres des deux femmes. En entendant le bruit que nous faisons, elles regardent dans notre direction. En nous mettant sur le dos pour profiter des rayons du soleil descendant, nous exhibons tranquillement nos queues à demi-bandées, la mienne est de bonne taille, mais loin de valoir celle de JB.— Tu as vu ? Elles nous matent, ces deux grosses coquines, dit mon ami.— Comment on fait maintenant ?— Très simple, fais comme moi.JB se redresse un peu et commence à caresser sa queue en regardant directement les deux femmes. Je l’imite, et rapidement nos deux bites sont au meilleur de leur forme. En face, elles regardent vers nous sans se cacher et discutent entre elles dans une langue que je ne comprends pas, peut-être de l’allemand. Nous nous branlons doucement, il s’agit juste de rester bander et vu la situation, ce n’est pas afyon escort trop difficile. Les deux touristes continuent à nous regarder, puis, sans nous quitter des yeux, celle qui était allongée sur le dos commence à caresser doucement les fesses de sa copine. Cette dernière nous fait alors signe de nous approcher.JB et moi nous levons et marchons vers elles, la bite tendue. Elles nous font signe de nous asseoir en face d’elle.— Hello. How are you ?Leur accent guttural et leur anglais appliqué, ne laissent plus de doute, il s’agit d’Allemandes. Hélas, ni moi ni JB ne parlons cette langue, l’échange doit donc continuer en anglais. Celle qui était allongée sur le dos avec les cheveux courts s’appelle Ursula, l’autre qui était sur le ventre, mais qui s’est relevée pour discuter et montre maintenant une paire de seins encore plus gros que ceux de son amie, s’appelle Brigit. En discutant, nous comprenons qu’il s’agit de deux copines venant de Hambourg pour quinze jours de vacances, sans leur mari ni leurs enfants. Elles ont toutes les deux quelques rides sur le visage, mais leurs formes très appétissantes et le fait qu’elles soient entièrement nues et bronzées les rend terriblement sexy. Bien que nous ayons arrêté de nous branler, je suis terriblement excité et JB aussi reste bien tendu en face d’Ursula. Nous sommes suffisamment près pour que les mains des deux femmes nous frôlent pendant la conversation et que les nôtres en fassent autant. Pour l’instant, elles restent sagement au niveau des genoux, mais nous n’hésitons pas à caresser cuisse, jambes et bras.Posant la main sur sa cuisse, Ursula demande à JB s’il a une petite amie, évidemment ce dernier dit non. Je ne te crois pas, dit-elle en empoignant la queue toujours bien dressée de mon pote et en commençant à la branler doucement. Je pose alors ma main sur le sein droit de Brigit et commence a le caresser doucement. Elle attend un peu puis se penche vers moi pour m’embrasser. Ses lèvres hésitent un peu à s’ouvrir, mais quelques caresses de ma langue les font s’entrouvrir. Ouvrir sa bouche semble la débloquer, car je sens sa langue venir à la rencontre de la mienne et sa main se poser sur ma queue et commencer à la caresser. Je me rapproche de Brigit et ma main descend vers son sexe poilu et blond. Il est déjà humide et chaud et je commence à le caresser, à le pénétrer avec mes doigts. « Gut ! Gut ! » me dit Brigit. Elle abandonne ma bouche, sa langue descend sur mon cou, caresse mes tétons, mon ventre, puis elle commence escort afyon à me sucer pendant que je la doigte.Je jette à coup d’œil sur le couple d’à côté. JB et Ursula sont en 69. En bougeant un peu la tête, je me rends aussi compte qu’un peu plus loin sous les arbres deux mecs sont en train de se branler. Bien que ce soit égoïste, je lâche le sexe de Brigit pour profiter pleinement de sa fellation. Non seulement elle me suce, mais lèche aussi ma queue puis mes couilles et je sens même sa langue s’égarer du côté de mon petit trou. J’apprécie la nouveauté de la caresse en bandant encore plus. Ma fellatrice s’en rend compte et insiste maintenant sur ma rondelle, tout en me branlant la bite. C’est vraiment bon et je me laisse aller en fermant les yeux.Soudain, je sens que sa bouche a repris ma queue en elle, mais surtout qu’un de ses doigts se glisse doucement dans mon cul. Je sursaute légèrement. Keep calm, me dit ma partenaire, it’s good. Et c’est vrai que c’est bon. Je sens son doigt aller et venir dans mon cul pendant que sa bouche aspire mon gland et ma tige. Peu à peu une excitation jamais ressentie monte en moi, le centre du plaisir paraît se situer quelque part entre mes couilles et mon cul. Ne pouvant plus me retenir, je sens mon sperme partir et je gémis longuement sous la vague de plaisir.Brigit avale tout ce qui sort de ma queue, et alors que je reste encore terrassé par la jouissance qui vient de m’arriver, elle nettoie délicatement ma bite avec sa langue. Puis, elle remonte mon corps, embrassant délicatement mon ventre, mes tétons et enfin ma bouche. Je sens alors que sa bouche est encore pleine de mon sperme, c’est nouveau, mais j’aime le goût et nos langues se mêlent dans un baiser passionné. Quand nous avons fini la liqueur en la passant d’une bouche à l’autre, nous nous détachons pour regarder nos amis.Ursula est à quatre pattes sur la serviette. Ses gros seins ballottent au rythme des coups de queue que lui assène JB, à genoux derrière elle.— Tu la prends comment ?— Dans son gros cul.Le rythme accélère, les deux partenaires gémissent plus fort. JB s’agrippe aux hanches d’Ursula pour se coller encore mieux. Leurs cris mêlent l’allemand et le créole « Fout sa bon ! — Gut ! »Puis épuisés, ils tombent doucement sur le sol.Après quelques minutes de repos en silence, nos deux compagnes de jeux se relèvent. Elles se d****nt dans leur paréo, puis Ursula sort un papier et un stylo de son sac, écrit quelques mots et nous le tend. Il y a l’adresse d’un restaurant à Sainte-Luce et une heure dans la soirée. Il s’agit d’une invitation. Nous disons OK et le deux femmes nous quittent en nous envoyant des baisers de la main. JB et moi nous quittons la plage après nous être un peu baignés dans la mer.