Secrets d’alcôve, sexthérapie

Footjob

Secrets d’alcôve, sexthérapieXII.Secrets d’alcôve 2Personnages :Marika, Paul mon ex, Alice amie, Romain ami, Doris et Max couple d’amis, Camille ancienne amante…Anita, Joe, Roland, partenairesLuce et Mélissa, partenaires parmi tant d’autres….A.Une soirée des plus chaudesMa liaison avec Romain durait depuis 6 mois. Il vivait toujours selon les principes édictés lors de la première partie de mes Secrets d’alcôve, soit la semaine avec moi, et il rejoignait sa femme, Alice, le week-end, dont il était en instance de divorce, assumant la passation, soi-disant….Paul et Alice avaient adopté le même rythme, devenus aussi amants dans la même soirée que nous, Paul et Alice se voyaient pendant la semaine. Alice était passée d’épouse fidèle, à une femme avide de sexe, ouverte à toutes les expériences… Et ne s’en privait pas…J’avais su que Paul, frétillait avec une de mes anciennes amantes, la belle Camille, qui habitait chez une de ses amies et son mari, Doris et Max. Tout ce beau monde cohabitait dans la plus parfaite liberté, une sorte de club très privé. Je supputais qu’Alice se mêlait volontiers aux soirées organisées par le couple Doris et Max, avec Paul son nouveau et sans doute Romain son ex pour des apéros endiablés…Mais cette fois l’invitation tomba officiellement… Une soirée carnavalesque, en l’honneur du printemps, festive et ouverte aux nombreux amis de nos hôtes.Nous avions goûté à leur hospitalité, généreuse et intéressée, Max étant assoiffé de sexe, et surtout auprès des plus belles femmes de la région, Doris partageant souvent ses trophées…Je cherchais dans ma garde-robes de quoi éclater aux yeux de mes amis, retrouvais un trésor caché, une robe en lamé doré, courte à souhait, un appel au viol, mais je serai consentante, je pense… Je trouvais chaussure à mon pied, et une grande étole de laine blanche, pure shetland…J’avais demandé à Romain de me prendre en passant, je vis Alice était au volant… Il m’ouvrit la portière arrière, je m’assis en découvrant largement mes cuisses, il me sourit… Alice, attentive, ne put s’empêcher de commenter mon entrée :- Tu testes ta robe ?- Mais non, je n’ai rien à vous offrir que vous ne connaissiez déjà…Elle sourit, la soirée était lancée…Dans la voiture, je me mis en devoir de remonter largement ma robe, découvrant largement mes cuisses, dans l’axe de vision de Romain lorsqu’il se tournait en arrière… Juste un échauffement…L’apéritif terminé, nous arrivions à la superbe villa…Camille rayonnante et en beauté, nous accueillit, talonnée par Paul, Doris et Max…Je me sentais à l’aise, les gens discutaient, dansaient, le champagne coulait, le buffet diminuait…Je trouvais Alice, qui couvait Camille des yeux, détaillant ses formes dévoilées par sa délicieuse robe de cocktail… Tiens, la belle Alice était attirée par une aventure homosexuelle ce soir ? Elle avait apprécié nos échanges, ses émois en la matière, nos baisers et nos caresses… Camille avait de quoi attirer, ce soir plus que d’habitude, ce n’est pas moi qui lui jetterai la pierre…B.Bienvenue au clubMax m’invita à danser… Une longue salsa endiablée qui nous donna soif. Il m’invita à prendre un verre de champagne et m’entraîna prendre l’air…Au salon, les femmes étaient majoritaires, très dénudées, quelques-unes parlaient fort, déjà pompettes… – Il faut commencer le repas… Tu es très en beauté Marika… Un bijou dans cette robe qui te colle à la peau et dessine tout sans rien cacher…- Juste pour briller à tes yeux… Et vous remercier avec Doris pour m’avoir invitée…Il sourit n’étant pas dupe et l’air me fit du bien…- Je voulais juste te dire que tu te faisais rare… Tu sais, je reste de plus en plus à la maison, passe prendre l’apéritif plus souvent, je sais que tu es seule le week-end…- C’est gentil… Oui, Romain me délaisse pour son ex-femme…- Oh, pas que… Paul vient ici souvent voir Camille et parfois avec Alice… Romain revient tourner autour de son ex-femme comme pour la protéger… Mais elle regarde ailleurs, j’ai l’impression… Vous êtes marrantes vous les filles…- Je sais, Alice a des vues sur Camille, je les ai vu se chercher du regard…- Ah ? Moi aussi, je viens de les surprendre… Elles sont amoureuses tu crois ?- Oh, ce genre d’amour va très vite, un soir, une semaine, un mois ?- Moi, ça m’a duré six mois…- Avec Camille ?- Oui…- Ah ?… Je ne savais pas que tu étais…- Bi ?- Oui.- Je le suis, Doris le sait aussi, Alice aussi, c’est moi qui l’ai initiée…- Eh bien, tu as bien travaillé…Nous nous enfonçons au fond du jardin… Je sens son regard sur moi, je lève la tête… Ses bras m’attirent contre lui, ses lèvres viennent contre les miennes…Le baiser est profond, il sait ce qu’il veut, il l’exprime sans ambiguïté, enfonçant largement sa langue dans ma bouche…Il me plaque contre son torse, ses mains caressent mes cheveux, mes épaules, glissent dans mes reins, descendent sur mes fesses… Je frissonne… Elles retroussent ma robe…Son sexe bat la chamade contre mon ventre… J’avance une main… Palpe, tâte… Il est libre, comme par magie…Je me doute de ce qu’il aimerait… Je caresse le membre, son baiser devient torride, je le serre dans ma main et le coulisse doucement… Il ondule son bassin…Je m’accroupis… Il me prend par les épaules… Je m’appuie contre lui, le membre est dressé, de bonne taille, droit, large, aguichant… J’ouvre mes lèvres… Mon ventre se serre…La fellation est longue, lente, humide, profonde… Il réagit… Moi aussi…J’arrive à le prendre complétement dans ma bouche, puis le retire lentement et je recommence… Plus coquine, plus ardente…Je me tiens à lui et accélère… Jusqu’à ce qu’il grogne… Je me redresse…Une main s’introduit entre mes cuisses, écarte, glisse…Elle découvre mon minuscule string… Elle ouvre mon intimité, ses doigts glissent, caressent, je coule entre ses doigts, mon string s’envole…Je m’agenouille et me saisis de nouveau de son dard….Je le pompe avec application, en douceur, mais fermement… Je serre mes lèvres, lui arrachant quelques râles…Il est énorme, luisant de salive, le gland prêt à me pourfendre comme une ogive de fusée…Ses doigts sont entrés dans ma grotte, j’écarte les jambes… Il me conduit vers une table de jardin, en bois, style forestière… Il m’y allonge sur le dos…- Je sursaute, je feule un doux appel craintif de biche…Sa langue vient de me pénétrer, ses doigts câlinent mon clitoris, d’autres doigts me prennent d’assaut… Je gémis mon plaisir longuement… Bousculée, torturée, relevée, écartelée… Son sexe avance entre mes cuisses, le gland en éclaireur, luisant et fier…Je vais y passer, mais j’aime ça… Je me tiens à la table… Le gland écarte mes chairs tendres, glisse, pénètre en douceur et s’enfonce lentement, jusqu’au bout… Il m’a prise, conquise, exquise…Il ressort, me laissant un sentiment de vide et d’abandon… Puis il tape à ma porte… Venant contre ma grotte, sur mes petites lèvres, frottant pour déclencher un torrent… – Ouh !…. Tu mouilles comme une reine ma belle… Je vais te prendre comme une catin…Alors satisfait, il me reprend, plus vite, plus gros, plus possessif, déclenchant mes râles et ma fontaine, et il continue en cadence… Il caresse mes seins, emprisonnés par ma robe, me saisit par les hanches et me possède de plus belle, la table craque, le jardin craque, ma robe craque…Il me redresse, me met debout, dégage ma robe, découvre mes seins, m’arque boute sur la table, soulève une cuisse… Son sexe me reprend, soumise, … Plus loin, plus profond, plus vite… Les fesses en l’air, une jambe sur un banc, les seins ballants, offerts à sa merci, il me pourfend, glissant son dard dans mon fourreau, variant la puissance, m’arrachant d’autres râles, d’autres plaintes de plaisir… Face contre la table, je garde mon équilibre tandis que les assauts augmentent…- Oh, oui !…. J’en avais envie de toi… Envie de te prendre comme une catin soumise, dans ta robe de star…. Tiens !… Oh… Han !… Là !… Prends-le…Je mélange mes paroles aux siennes, exprimant mon plaisir en ressentant son dard exploser ma chatte, provocant des bruits étranges et libérant sa semence…- Oui !… Je jouis !…. Viens !… Prends-moi !… Oh !…. Oui !… Encore !… Oh !… Oh !…Il a empoigné mes hanches et m’a pourfendue jusqu’au bout… Je sens le liquide s’échapper, couler sur la table, glisser le long de ma cuisse…Je reste affalée dans une position des plus indécentes, pauvre objet sexuel que l’homme utilise pour assouvir ses bas instincts… Mais j’en avais vachement envie !…Il est debout, il me sourit… Il sort un mouchoir en papier et se penche sur moi…- Non, pas ça, c’est à moi, c’est mon rôle !… Viens ma chérie, retourne-toi, écarte les cuisses, je vais nettoyer ce qu’il t’a souillé…Doris me broute, me salive, me lèche, me fait délirer, m’excite… Il est reparti… Sa langue est partout, ses doigts me pénètrent… Oh !… Je jouis encore….- Tu vois, c’est bien mieux comme ça… J’adore avaler le sperme de mon mari et encore plus dans la chatte de ses proies…- Tu es un ange… J’adore ta langue…Après quelques minutes, je passe ma main sous sa robe… Elle est trempée aussi…- Pas ici, viens… On va chercher plus de confort… Il t’a traitée comme une sauvageonne, basculée sur une campagnarde, prise comme une gourgandine… Tu mérites mieux… Tu as joui quand même ?- Tu parles, avec un taureau !… Il sait y faire…- Crois-moi, il a de l’expérience, il est infatigable, il va s’en faire une bonne dizaine ce soir…- Il a de quoi se faire plaisir, mais dis-moi, tu ne le suis pas chaque fois ?- Non, mais là, je savais qu’il allait te sauter, quand je l’ai vu t’apporter un verre…- Il est galant…- Ouais… Tiens, ton string a craqué…- J’en n’ai plus besoin de toute la soirée je crois…- Bon, c’est toi qui l’a dit chérie, viens, on va choisir ensemble le suivant… Vous m’avez mis l’eau à la bouche…- Tu regardais depuis longtemps ?- Le début… J’étais au spectacle… Je me suis fait mal à la main de me caresser, de m’écarteler… Je crois même que j’ai crié… Mais vous aussi, alors…- Tu n’es pas jalouse alors…- Oh, j’ai cessé de l’être dès le troisième mois de vie commune… Ça m’arrangeait aussi, je suis volage et aime faire ce que je veux, sans laisse… En tous cas, tu fais partie des nôtres, comme il se doit et seras toujours la bienvenue chez nous… Bienvenue au club !C.Rencontres et petits gâteauxJe la suis, nous retournons dans le salon où les choses ont changé, un buffet ouvert, des tables mises… Elle m’invite à me servir, nous dégustons de délicieux bahis firmaları sushis avec Alice, Paul, Romain, deux jeunes femmes inconnues qu’elle me présente comme des amies… Luce et Mélissa… La quarantaine finissante, superbes, des yeux pétillants, l’une, brune, robe décolletée à la naissance d’une aréole qui témoigne de leur nudité… L’autre, blonde, yeux noisettes, les seins libres ondulant sous un chemisier transparent noué à la taille, un short explosif sur des jambes longues, parfaites…Les jeunes femmes me dévisagent…- Tu n’étais pas une amie de Camille, tu vendais des sous-vêtements chez toi ou chez tes voisines, des produits de beauté, des ustensiles, d’autres trucs plus intimes…- Ah oui, des sextoys et des godes entre autres, j’ai fait pas mal de choses depuis…- Comme quoi ?- Apprendre à les utiliser…Elles rient, me remerciant pour ma franchise… Leurs yeux dans les miens… Au café, elles sont contre moi, Doris de l’autre…- Marika a eu le plaisir de rencontrer mon mari en début de soirée…- Oh !… Ce fut un plaisir partagé alors… Il assure hein ?- Et vous ? vous y êtes passées ce soir ?- Pas encore, mais il nous pratique depuis longtemps, Doris aussi, n’est-ce pas ?- Je suis l’ex de Paul, le grand là-bas…- Ah, le copain à Romain, ils assurent aussi… Mais le pied c’est Roland et Joe, je ne les ai pas vus ce soir… Il ne faut pas les rater ceux-là…- Vous connaissez tout le monde…- Oui… Amies de Doris depuis la maternelle… On a tout fait ensemble, avec Max aussi… Pour toi, je verrais Christian aussi qu’en dis-tu Doris ?- Oh, certainement, s’il vient il faut qu’elle le goûte…- 25 cm, capable de nous satisfaire toutes les deux toute une nuit, puis d’en reprendre une autre au petit déjeuner et de recommencer…- Hou !… Je demande à voir…- Si je le vois…Luce me transperce de son regard, elle prend ma main, la pose sur son sein…- Attends Luce, laisse-la manger…Mélissa me sourit, puis me donne un baiser rapide sur la bouche et l’entraîne sur la piste de danse en gigotant de toutes parts…Doris s’avance vers moi…- Elles sont ensemble depuis longtemps, tu peux y aller, elles sont ouvertes à tout, adorent la nouveauté et sont gourmandes au possible…- Je vois…- Amuse-toi, tu es superbe et tu les excites avec ta robe étincelante…- Merci… Maintenant que je suis propre…- C’était un plaisir…Elle se lève, je me glisse vers le buffet, prends quelques bouchées sur une assiette, un verre de rosé, et me dirige vers les toilettes. Je suis le couloir, et dans le renfoncement près des escaliers, j’aperçois Alice et Cécile qui échangent un long baiser… Elles ne m’ont pas vue, je m’approche à pas de loup…- J’ai envie de toi…- Moi aussi, tu es si sensuelle que tu ouvres mon appétit d’un seul baiser… – Tu es amie avec Marika ?- Oui, on a été ensemble quelques mois.- Elle m’a initiée…- Parfait, on va dans ma chambre ?- C’est vrai que tu habites ici…- De temps en temps, ils sont si agréables et tu sais, ici, je ne m’ennuie jamais…Elles montent les escaliers, prennent le couloir et ouvrent une porte… Au moment où je me dirige vers le salon, Paul et Romain encadrent Doris, Luce et Melissa, je n’ai que le temps de retourner dans la salle de bains…Romain….Mon cœur se serre… Pourtant, je n’ai rien à lui reprocher, puisque nous avons décidé de venir ici… Nous savons tous les deux ce que ça signifie… Je n’ai pas eu de scrupules avec Max… Je hausse les épaules… Elles sont magnifiques toutes les trois, ils plaisantent, passent à quelques centimètres de moi, dissimulée derrière la porte… Ils montent aussi les escaliers, une porte s’ouvre et se referme…Je retourne au salon, j’ai très soif tout d’un coup… Je bois deux verres de whisky avec du soda coup sur coup… Je me laisse tomber sur le plus proche des sofas, absente, rêveuse…Je vois des visages, pour la plupart inconnus… Beaucoup de jeunes femmes, Max qui papillonne de sofas en canapés, les rires fusent…Il ne faut pas que je pense, je dois agir, danser… Je vais rejoindre un groupe, et m’agite comme eux, un succès des années 80… Deux hommes se joignent à moi, je me retrouve encadrée par deux blacks, la quarantaine, rieurs, ils plaisantent avec quelque unes des filles… Soudain, le plus proche se tourne vers moi…- On ne se connaît pas je pense…- Non, je suis amie avec Doris et Max et Camille, Paul et Romain…- Ah, la belle Camille, très chaude, très sexe… Sa nouvelle copine, Alice aime les femmes aussi, elles vont s’entendre… Et toi, je tutoie les amis, tu es bi aussi ?…- Oh, à l’occasion, il faut tout connaître, la vie est courte…- Belle philosophie que je partage… Moi c’est Roland et l’autre truc noir qui danse c’est Joe…- Le truc ?- Oh, on est potes depuis… On connaît presque tout le monde, on vient souvent. Les soirées ici sont toujours extra… Du beau monde, des femmes exquises, qui viennent partager un bon moment… Max et Doris nous sélectionnent pour ça… Tu as été sélectionnée aussi sans doute…- Si tu le dis… – Oh, c’est tout frais alors… Ils sont exquis ces deux-là…- Ok, j’ai été sélectionnée comme tu dis, par les deux ensembles, en arrivant, ça te va ?- Ne te fâche pas… Tu es belle et attirante, un bijou, un solitaire…- Non… Moi c’est Marika… En fait j’ai été mariée, et maintenant j’ai une vie plutôt rangée, après pas mal d’infortunes. Après ma séparation d’avec Paul, je me suis tournée vers les femmes. Là j’ai connu Camille, entre autres. J’ai vécu des histoires diverses, puis j’ai repris un amant classique que j’ai échangé avec une amie, Romain… Je viens regoûter aux joies des interdits pour pimenter nos soirées… Voilà…- Tu me plais, tu parles librement de toi, de sexe, mais très discrètement, à mots choisis…- Oh, j’écris parfois. Mais je préfère l’action, chaque jour apporte son lot, je fais en sorte qu’il soit du meilleur…- Tu es seule ?- Non, ils sont montés, Doris, Alice, Camille, les garçons avec Mélissa et Luce…- Oh, tu connais la crème…- Sauf vous 2…- Tu es directe… On t’a parlé de nous ?- Bien sûr, sinon je ne me montrerai pas aussi coquine… Tu as une chambre attitrée ?- Oh, non…- Bon, j’aime la nature, la fraîcheur…Nous sortons avec nos verres et continuons cette conversation à bâtons rompus sur la terrasse, où quelques couples occupent les bancs… Nous descendons les marches et on part vers le fond du jardin que je commence à bien connaître…- Ton ami ne va pas s’inquiéter ?- Pas du tout… Ici on ne risque que le meilleur…Ta robe est magnifique…Il se tourne vers moi, nos lèvres se joignent… Il est grand, costaud, il sent bon… Ses mains me plaquent contre lui, je sens immédiatement son sexe proéminent contre mon ventre… Ses mains voyagent dans mon dos, je retrouve ma table… J’ouvre sa chemise blanche et caresse son large torse, il dégrafe ma robe, libère mes seins… Je ressens sa chaleur lorsqu’il me serre contre lui, mes seins s’épanouissent entre ses paumes, je m’assieds sur lui, à moitié nue…Une main glisse entre mes cuisses, je les écarte… Elle ouvre mon intimité, commence à caresser… Je fonds de désir… Je me frotte contre son torse, il reprend mes seins entre ses mains, revient me masturber, lentement, délicieusement…Il a sorti son membre… Je tressaille… Enorme, un pieu de chair… J’arrive juste à le tenir dans ma main… Je remonte ma robe encore un peu, le sexe arrive à ma porte, je jouis rien que de l’imaginer…Il me prend par les hanches, me pose doucement, je me pénètre lentement en soupirant de plaisir… Je bouge juste un peu mon bassin, il me laboure, j’ai peur d’aller au bout du bout… Il paraît plus gros que moi… Je n’en ai jamais connu de si long et si large…Je me glisse lentement le long de cette gigantesque queue… Sa chaleur irradie mon ventre, elle me tenaille, elle m’envahit… Je suis plantée, semble vissée… Mes seins me font mal, mes bouts sont pointés, tendus… Je les caresse… Il guide mes mains, me rassure… Je prends appui sur ses genoux…Je me soulève, le membre sort, laissant un vide immense… Je me reprends… Oh, que c’est bon… Ainsi, peu à peu, de plus en plus vite, il m’accompagne, m’aide à jouir pleinement…Il me grise, me libère, m’emporte dans son plaisir, décuple le mien, il grogne aussi, savourant notre accouplement… Un couple passe tout près de nous, mais sans s’arrêter, alors que je feule de plaisir…Je me relève, me retourne, face à lui… Le couple s’est évanoui dans la nuit… Je me reprends, tandis qu’il me soutient, son sexe dressé glisse dans mon fourreau, je peux mieux écarter mes cuisses, je suis trempée, il se plante en moi sans effort, jusqu’à mon utérus… Il me remplit… Je le ressors, puis l’engouffre d’un coup… Il grogne de plaisir… Je recommence, encore et encore, m’empalant au plus profond, mes seins tressautent, il les malaxe, les suce, tête mes bouts, m’excite… Je jouis encore et encore…Je suis épuisée… Il me soulève, me pose sur la table, écarte mes cuisses et vient boire ma source…. Je gémis de plaisir, sa langue est inépuisable… Puis il vient contre moi, et me prend d’un coup, à fond, j’explose d’un orgasme incontrôlé… Il me possède en cadence, écartelée, les cuisses relevées, sans arrêt, me pilonne littéralement… Je jouis encore et encore, tandis qu’il serre mes hanches…Nos regards se croisent…- Oui…. Viens !…C’est un déferlement, une cavalcade, une mise à mort de la pauvre table… Soudain il se raidit, je sens le liquide exploser, se répandre dans mon vagin, il m’a griffée… J’ai joui…Il vient sur moi, me recouvrant de tout son corps sans faire porter son poids… Je sens sa chaleur, sa semence s’échappe, coule au bord de la table, goutte à terre… Je souris… Il vient me lécher entre mes cuisses écartelées, je suis bien… J’ai adoré…Tout près de nous, dans le silence retombé, une voix s’élève, une plainte douce, suivie de bruits divers…- Oh… Oui !… Viens ! Prends-moi… Je te sens !… Je vais jouir !… Oui !… Oh !….Il m’embrasse tendrement, tandis que le couple arrive à ses fins… Je la sens grossir contre moi, subissant l’effet érotique de nos voisins…J’avance ma main, je la serre, je la coulisse lentement… Elle double de volume, devient appétissante…J’ai envie de la sucer, de la chérir à mon tour…J’ai du mal à la prendre entière, et donc je la lèche, jusqu’au gland décalotté… Penchée sur lui, je m’active sur ce trésor, lui faisant un étui pénien avec mes mains et mes lèvres…- Tu es une princesse…. Oui !… Continue…Mes seins ballottent, il les calme, les caresse, puis glisse une main entre mes cuisses…Je lui laisse la place, kaçak iddaa il me masturbe longuement…Ma tête bat la mesure, mes lèvres glissant autour de la verge en érection, mes mains enserrent et pelotent ses bourses de bonne taille…Il est prêt à se libérer….- Oh… Oui !…. Encore !… Oh, bébé, tu es une fée… Que tu es douce… Je vais venir…Puis tout s’accélère, et son sirop d’amour gicle dans ma bouche, une bonne rasade malgré le précédent…. Il arrive à me faire jouir en même temps, je suis trempée, de chaud, de sécrétions, de baisers…Le couple s’est rapproché et nous regarde… Ils sont nus l’un et l’autre….- Bravo !… On a apprécié la performance, sans vouloir espionner, mais ce fut trop adorable et on n’a pas pu résister… Merci…- Vous y êtes pour quelque chose avec vos vocalises… On a adoré aussi…Elle est petite, blonde, un peu ronde, les yeux verts pétillants, des seins pleins et hauts. Lui est aussi un…- Joe, je pense ?- Oui, bonsoir, je vous présente Anita…- Moi Marika… Je me tourne vers Roland, je lui glisse à son oreille…- Tu veux m’échanger avec elle ? Ça te dit ? Elle te plait ?- Ah, tu as compris toi…- Vous avez l’habitude d’échanger vos partenaires de la soirée ?- Oui… Surtout lorsqu’on les a appréciées… On aime la discrétion, les endroits insolites comme ce jardin un peu réservé pour les échanges intimes… Plus loin, il y a un pool-house très confortable et plus discret encore…- Ça vous dirait de continuer la soirée entre nous ?- Je me sens l’âme aventurière ce soir… C’est un peu le thème non ?- Si, mais pas que l’âme, le corps aussi… Vous connaissez nos hôtes ?- Oui… J’ai été intronisée récemment par Max…- Pas par Doris ?- Si… Aussi… Et vous ?- On se tutoie… – Pareil, je suis très récente ici… J’y ai des amis qui m’ont invitée et comme toi, j’ai fait la connaissance de Doris et Max…- On vous suit les garçons ? On ne se rhabille pas…Le chalet d’été est à deux pas, niché au creux de la végétation, et donne sur une piscine avec lagunage… Ça sent bon, la nature, le frais… Anita est venue à mon côté, notre nudité semble aller de pair avec le décor, et l’obscurité juste trouée par la lune, ajoute une touche d’exotisme. Roland ouvre la porte, tout est calme, un studio, avec un lit immense, des coussins… Joe revient de la cuisine avec des bières et des jus de fruit, ainsi que de la vodka….- Vous avez envie de vous baigner ? Dans cette partie c’est une piscine naturelle, avec des poissons, des grenouilles…- Oh, pourquoi pas, il fait bon… Mais il n’y a personne ?- Non, réservé aux locataires du gîte… Pour nous c’est open-bar… Les autres vont dans la piscine normale, elle est alimentée par cette eau pure et naturelle… Venez les filles…On termine nos verres, puis on se glisse dans l’eau qui est d’une douceur incroyable… On se trempe d’abord, quelques brasses, elle est délicieuse… J’allais me rapprocher d’elle, mais rejointes par les garçons, on change tacitement de partenaire pour évoluer vers les plantes d’eau… Au milieu des nénuphars, le premier baiser est long et tendre… Anita embrasse Roland à pleine bouche, lovée dans ses bras… Ah oui, elle n’a pas pied…- Tu es adorable… Je sens que nous allons passer un bon moment…- Ah, il t’a parlé de moi ?- Non !… Enfin… – Alors, quelle note ?- Oh, mais…- Oh, je sais comment ça se passe entre mecs…- Devine…- Tant que ça ? Mieux qu’Anita ?- Plus technique, plus enivrante, plus d’expérience…- C’était rapide pourtant, on avait peur d’être dérangés…- Nous aussi, mais on a apprécié tes gémissements… J’adore quand une femme commente son plaisir, ça me fait de l’effet tu ne peux pas savoir…- J’adore jouir… Et ne peux me retenir de vocaliser…Son sexe est dur, aussi long, aussi dur lorsque je le prends dans ma main et qu’il passe une main entre mes cuisses, tandis que je n’ai presque plus pied moi non plus…… Il masse mes seins, les excite, me retourne, les prend à pleines mains en me serrant contre lui… Je ratt**** son membre et je le chéris de nouveau d’une main ferme, dans mon dos…Il masturbe mon clitoris doucement, le frôle, l’effleure, et me fait trembler de plaisir… Juste un cri étouffé dans son oreille…Son doigt me pénètre lentement, me liquéfie… Mes cuisses s’ouvrent, il me soulève, me porte, me retourne, face à lui, prends ma bouche, mes lèvres, son sexe appuie contre mon ventre… Le baiser est divin, son pieu se rapproche de sa cible…Je fonds… J’avance mon bassin vers lui…- Oui… Viens !… J’ai envie de toi…La nuit est douce, je sens des parfums de vanille, de citronnier…Son membre s’aventure… Il fait son chemin, écarte mes trésors. Je soupire en me serrant contre lui…- Tu es merveilleux de tendresse, de douceur…. Oh, oui… Viens…Il m’a pénétrée sans effort, j’étais si excitée qu’il m’a prise jusqu’au bout … Je me délecte de ce sexe énorme planté au fond de mon vagin…. J’avance mon bassin doucement pour mieux l’apprécier…Je suis rivée à lui, empalée, les cuisses autour de ses hanches…. Roland est en train de prendre Anita qui s’est accoudée à une échelle, lui offrant son derrière… Il la baise à grands coups de queue, en la tenant par les hanches, elle jouit, comme moi, en s’écartelant sur l’énorme membre, déclenchant de grosses vagues…Il me dirige vers l’échelle, je prends appui à côté d’elle, et son sexe reprend sa place dans mon vagin béant. Ils nous lutinent de concert, elle me sourit j’approche mes lèvres, on échange un baiser, mélangeant nos plaisirs, nos râles, nos langues…- Oh regarde Joe, deux lesbiennes qui s’embrassent, ça m’excite…- Elles vont bientôt se brouter le minou ?Ça les excite, ils vont jouir…. Non !… Ils nous emportent à l’intérieur, nous déposent sur les épais coussins, cuisses écartées, il me présente sa verge… Je goûte, découvre, lèche, la serre dans ma main, décalotte le gland, le lèche avec ma langue, puis le mange tout cru, entre mes lèvres qui glissent, mais il est trop gros et trop long pour entrer en entier… Je recommence en m’aidant de ma main, promène la langue sur la peau tendue, veinée de bleu… Je touche les bourses, les soupèse, les enserre…Ma tête va et vient pompant activement cette hampe énorme… Elle est chaude, vibre, je la serre entre mes lèvres, me soulève et la porte entre mes seins… Il réagit, grogne…- Attends, non, pas là ! Tu vas me faire jouir !… Je relâche la pression, j’ai envie de lui… Je lui ouvre mes cuisses… Il entre à fond… Je me sens dilatée, possédée… Il me soulève et me donne le vertige… Je commence à gémir… – Oh, oui… Oh… Euh… Oui… J’ai envie de jouir… Oh !… Oui ! Oui ! Oui !….Il m’accompagne, tenant mes hanches, je donne de larges coups de reins, ondulant mon bassin, me prenant et me reprenant avec cette bite démesurée…Je relève mon derrière… Il comprend… Il s’installe…Sa bite énorme vient contre mon petit trou, Un doigt vient le masser, doux, délicieux, étendant les sucs de ma chatte…- Oui !… Viens !… Prends-moi comme une chienne !…. Enfile ta queue dans mon cul… Je veux la sentir me perforer, me détruire, tu peux te lâcher, me pilonner, me ramoner, me faire crier, puis éjaculer au fond de moi, me remplir de foutre avec ton copain… Oui, là !… Prends-moi… Oh, c’est bon… Encules-moi…. Viens !… Fais-moi crier… Ah !… Oui !… Plus vite… Là… Oh !… Tu peux rentrer jusqu’à tes couilles…Je me mets à rugir de plaisir, à exprimer mes désirs, à crier comme une truie, écartelée. Il me coince sous lui, me prend en cadence, sa bite ressort complétement, laissant apparaître mon anus dilaté, ouvert et béant, puis il replonge sans ménagement, et je vibre en criant de plaisir, aucune douleur, que du plaisir encore et encore… Le couple me regarde, ils sont sans voix…Infatigable, il me vide de mes forces, je deviens une poupée de chiffons, en griffant le cuir du sofa, cassant mes ongles sur les coussins…Je sens alors une main entre mes cuisses, sur ma chatte, qui glisse, qui vient électriser mon clitoris, glisser un doigt, m’ouvrir, disparaître dans mon vagin…- Oh !… Oui… Viens aussi… Prenez-moi ensemble… Oui…Je vois Roland, Anita, ils m’entourent, m’embrassent, se fondent en moi, je suis à eux…Ecartelée sous le joug de Joe, Roland arrivent à se glisser sous moi, il pénètre mon vagin détrempé sans problème, Anita suce mes seins, continue sa caresse dans ma chatte, se frotte contre moi, caresse les bourses des deux mâles et se caresse elle-même, la chatte dégoulinante…Ils deviennent monstrueux, me possèdent tous les deux, s’activent en rythme. Je les ressens complétement me labourer, je les veux, je les aime, je jouis comme jamais, je deviens une plume entre leurs verges profondément enfoncées en moi, ils veulent me pousser à bout, les lèvres d’Anita sont douces, nos mains se joignent…- Je t’aime, je suis comme toi, je vous veux aussi… Caresse-moi… Pince mon clito… – Continue, je veux jouir avec toi, avec eux, ils vont se vider en toi, te donner leur foutre, se déverser… J’ai envie de ta main entière dans mon con…Je m’exécute, je la caresse, la masturbe, tandis que le sperme s’échappe de son intimité… Ils me font jouir encore, je crie, je grogne, je la pénètre entièrement, ma main dans son vagin glisse, glisse… Elle ondule contre moi, écartelée, me donne un baiser, caresse mes cheveux…Je ne peux plus me retenir et je jouis mon orgasme sans retenue, libérée… Je les sens se durcir, se contrôler et éjaculer ensemble….Anita aussi se libère d’un orgasme profond, rauque, en guidant ma main en elle comme un énorme gode….- Retourne-la, je vais jouir par le point G… Vas-y… Oui !… Oh ! que c’est bon…Le final est torride, criant, grognant, mélangeant nos souffles, nos râles, nos cris…Epuisés tous les quatre, je me retrouve entre nos deux amants, Anita penchée sur eux les savoure, j’ouvre ses fesses et lui rends la pareille, léchant les sucs qui s’échappent de son intimité largement ouverte….Que de sexe !…. Que de plaisir !… Nous sombrons dans un demi-sommeil, en sirotant un jus de fruit, accolées toutes les deux, nos amants dans notre dos nous tenant chacune entre leurs bras puissants, comme leurs proies ou leurs jouets…Plus tard, alors que mon rêve continue, j’entends le feulement d’Anita, puis les deux hommes qui la prennent en sandwich. Leurs soupirs mêlés, leurs râles, les grognements de mâle en rut possédant sa femelle, jusqu’à ce qu’elle atteigne un orgasme intense, ponctué de longues plaintes, qui la secoue lorsqu’elle recueille leur semence… Si je dormais, je ne dors plus. Si j’étais calmée, kaçak bahis je ne le suis plus… Mais je me tais comme si je pressentais la suite de la nuit…Quelle santé ces blacks !…Lorsque nous ressortons de la chambre tous les quatre, rhabillés, douchés, les yeux rêveurs, nous retournons au salon… Ce chalet confortable a abrité nos ébats près de 3 heures et il est tard, très tard… En fait, c’est quasiment le matin, je vois 4H30 sur la pendule du salon… – Mon dieu, je n’ai pas vu passé la nuit…- Tu crois qu’on a regardé un film ?Nous rions de bon cœur, assis en pleine milieu de la pièce, les garçons sont partis en quête de quelques victuailles, café, et si…. Miam, croissants ?Je fonds devant un plateau de viennoiseries, nous partageons thé et café, jus de fruits… Tout est calme, un couple sous des couvertures est allongé dans l’autre sofa, un autre sur des coussins…- Vous voulez retourner au chalet ?- Ils dorment dans les chambres du haut, et puis il y a un petit salon en haut avec billard, télé, on s’y réfugie parfois, il y a des futons…- On va voir ?- Tu aimes regarder ?- Oh… Mais tiens, pourquoi pas ?… Et l’appétit vient en mangeant…- J’aimerais retrouver les filles Luce et Mélissa…Je monte avec Joe… On entend quelques bruits sourds, diffus… Il me conduit directement au petit salon…Il règne un fouillis pas possible… Vêtements épars, des corps étalés, sous des draps, d’autres enlacés, d’autres nus offerts… Hommes, femmes, une dizaine parmi lesquels je ne reconnais personne…On referme et on prend la première chambre. Doris, Max, deux belles femmes et un autre homme sont enchevêtrés, nus, et récupèrent d’un sommeil profond avec quelques ronflements…La pièce suivante nous révèle Paul, Romain, Camille et Luce… Luce me sourit, nue… Elle vient à ma rencontre… On sort dans le couloir…- Tu nous cherchais ?- Oui… Toi et Mélissa… On est 4 avec Joe et son copain Roland…- Oh… Belle nuit alors… Oui… Ça me dit d’y regoûter… Je vais chercher Mélissa, je sais avec qui elle est partie au milieu de la nuit…. Vous êtes où ?- Nous étions au chalet, nous y retournerons…- D’accord, on prend une douche et on vous rejoint….Joe m’attend, on redescend. Anita, robe retroussée, allongée dans un fauteuil, cuisses relevées, est en train de jouir sous les assauts d’un inconnu qui la possède à grands coups de reins…Je regarde Joe… – Martin… C’est un ami. Roland doit être avec Sophie, sa copine… Celle-là elle est hyper-chaude, viens !…- On doit aller au chalet, les filles nous rejoignent…- Ah ?… Ça ne fait rien, plus on est de fous…Il part devant moi, dans le couloir, au garage, revient, ouvre une porte… Roland est en train d’honorer une jeune femme assise sur une table, écartelée, seins à l’air et qui jouit pleinement de l’énorme bite qui la perfore… Elle accompagne ses râles de quelques paroles choisies…- Oh, oui… Défonce-moi… Tu es mon prince noir… Viens, j’aime ta queue !… Oh !… Oui !… Encore !… Plus vite !… Oh ! Ça fait si longtemps !…Ses gros seins bougent en tous sens, elle est potelée, il la possède à fond sans problème pendant cinq bonnes minutes…Je ressens les effets de l’entendre crier son plaisir, et ne peux m’empêcher de me frotter contre Joe… Il a sorti son sexe, il me le donne, je l’embouche et le prépare… Puis je m’arque boute sur une table et il me prend directement par derrière… Oh ! C’est Martin !… Joe a dû rester avec l’autre… Quelle conne je fais… Mais oh, que c’est doux…Il me possède sans effort, je suis si excitée par le tableau, que je l’accompagne en me masturbant…Elle vocalise, rugit, en redemande… Martin me pourfend, pénètre mon vagin, me baise vitesse grand V… Il me détruit…. Sa bite est devenue géante, lourde, il me retourne et continue, je mélange mes vocalises à celles de la femme… Alors ils échangent leur partenaire et Roland vient me perforer à son tour, entrant sa large bite dans ma chatte en feu, libérant mes seins pour venir les sucer, tandis que la femme hurle de plaisir à son tour, remuant en tous sens sous le joug de notre ami…- Mélanie est très joueuse ce soir… N’est-ce pas Marika ?- Oui !… C’est bon Roland comment tu fais pour tenir ?… – La magie ma Doudou !… La poudre du pays… Tu en prends un peu avant et tu es homme fort toute la nuit, sans arrêter… Ça part tout seul…- Tu as raison, un vrai revolver ! Ton arme secrète, elles sont toutes à vos pieds, excitées, avides de votre sexe… C’est dément !…- Et ce n’est pas fini ma douce et belle biche, si Sophie est une déesse du sexe, toujours ouverte pour nous, toujours à jouir de nos bites, il y en a une autre maintenant, Alice, je crois ton amie, elle en veut autant qu’avec les femmes. Son mari n’en revenait pas l’autre soir, on était quatre à la baiser par tous les trous….- Allez !…- Ouais, comme je te le dis, en quelques mois elle est devenue vorace et même un peu salope parfois, à aguicher tous les mecs, même dans la rue… Et son Paul prend du produit aussi, il devient gros comme un bambou, Romain veut les imiter aussi, il cherche à reconquérir Alice…Mon dieu !… C’est pour cela que Romain reste les week-ends avec eux… Ils baisent tous ensemble… Ah, bon, si c’est comme ça !…- Et tu n’as pas de produit pour la femme ?- Tu veux bander ?- Non, devenir plus salope comme tu dis, plus dévorante, insatiable, sensuelle… Repousser les limites, ne penser qu’au sexe pas aux conséquences… J’ai envie de sentir ton sexe par devant et par derrière, maintenant au chalet…- Ça peut… J’en avais donné à Doris une fois… Quelle nuit on avait passé… Elle était partout, dans tous les coins, avec tous les mecs et toutes les femmes, déroulant le kamasoutra toute la nuit… Sa copine Camille en a voulu aussi, elle a perdu les pédales, chevauchant tous les mecs qu’elle croisait, elle a explosé deux pédés qui étaient avec nous, on en rit encore entre nous…- Oh, je te sens… Ça t’excite de parler de Camille et des autres… Viens gicler dans ma bouche…Sentir exploser un homme dans ma chatte c’est délicieux, mais ce matin, cette giclée de sperme dans ma gorge me fait jouir autant… Que de sexe, que de plaisir…Sophie s’est calmée et se repose… je donne le signal…Je me demande ce que l’on va pouvoir inventer dans le chalet, après tout ça…D.Le chaletLe chalet, c’est un havre de paix, entouré par la nature venue lui faire un cocon de verdure. Plantes, fleurs, arbustes, l’eau omniprésente tout autour, apporte fraîcheur, calme et abrite des tas d’oiseaux, batraciens, et autres habitants charmants…Nous sommes allongés sur les tapis, des coussins pour nous accueillir, dans la grande pièce, Joe, Roland, Martin, Sophie, Anita, Luce, Mélissa et moi…On m’offre à boire, on partage des cigarettes qui me font tourner la tête, des alcools…Je suis nue, enchevêtrée, léchée, pourfendue, emportée, entre sommeil et rêve, nuages et baisers, qui viennent me donner tout l’amour du monde…Je partage, je me donne, je fais jouir des chattes délicieuses, des membres encore gonflés de leur jus, plus pour très longtemps… On m’emporte, on me porte aux nues, on me partage, on m’embrasse…Je jouis des dizaines de fois, feulant mon plaisir et savourant mes amants et amantes, retombant dans d’autres bras où tout recommence…Le soleil vient éclairer la vaste pièce unique, éclairant nos corps imbriqués, impudiques, souillés, écartelés…. De temps en temps sourdent des nouveaux râles, des nouvelles prières, jouissance étouffée, envoûtante, qui s’éteint avec forces soupirs relayés par d’autres plus aigus, ou plus graves, toujours excitants…Luce est à mon côté, me sourit, revient dormir dans mes bras…- Tu viens te baigner avec moi ?Je la suis, nous sommes seules, l’eau est fraîche, délicieuse, réveille mon corps. Elle me suit, nous nageons, Mélissa nous rejoint…- C’est merveilleux ici… Je vous ai vu et suivies… Je peux ?Ses lèvres douces, effleurées hier soir, me donnent le goût des îles, des fleurs… Luce est venue contre moi me partager… Leurs caresses sont douces, je m’envole, je les couvre de baisers, l’une et l’autre… Je découvre ou redécouvre leurs seins, leurs pubis attirant, leurs intimités offertes à mes caresses, la douceur de ces deux lianes… Nous dérivons vers la rive, des matelas de plage, je suis embrassée, délirée, caressée, pénétrée, je feule, râle, et chacune à notre tour jouissons des deux autres en parfaite harmonie, nous donnant sans retenue, recherchant le plaisir si intense des caresses lesbiennes, cette douceur si prenante, que nos sexes en sont inondés, béants et offerts… Nos baisers nous apportent cette évasion, le plaisir de ressentir ce partage au plus profond de nous… Leurs 4 mains m’emportent dans un concert géant, véritable poupée, qui jouit pleinement, en spasmes de plaisir, entourée de leurs bras, excitée par leurs langues, étourdie par leur science de la femme.Ivre de caresses, je me réfugie entre leurs bras, sentant leur peau sur la mienne, leurs souffles, leur tendresse… Couple de chattes, couple de femmes, immorales, et si sensuelles…J’ai rarement ressenti autant de tendresse et de plaisir dans un trio féminin, le soleil nous ratt**** et nous réchauffe, toutes les trois nues, enlacées sur un parterre de matelas, rêvant d’aventures, de sexe, de nos amis aux membres démesurés, que l’on a envie de ressentir encore, de nous en pénétrer jusqu’à plus soif, véritables bêtes à plaisir, jusqu’à totale évacuation des effets de ces substances addictives…. Ces sensations durent jusqu’au soir après d’autres rencontres, d’autres trios, d’autres orgasmes. Même Paul est venu avec Cécile, j’ai senti leurs mains, j’ai partagé, joui, recommencé…Ivre de caresses et planant dans un délire constant, entretenu par nos hôtes et leurs bienfaits ravageurs…La nuit est belle, je me laisse transporter jusque devant chez moi, Alice et Romain m’accompagnent, me soutiennent, me déshabillent et me couchent…Je ne sais plus, n’ai plus de souvenirs. J’écris ces dernières lignes après deux cafés et un long bain avec forces sels moussants… Les yeux vides, l’esprit au ralenti, le corps repu, je vais dormir encore, je ne sais si je rouvrirai les yeux, je me fais honte, je pleure, seule dans ma grande villa… Je pleure de m’être livrée au dopage sexuel, d’avoir ressenti, puis recherché plus de plaisir, d’avoir été le jouet de mes partenaires, de m’être offerte dans toutes les positions, de m’être avilie comme une carpette, pour les contenter, pour les partager, pour ressentir ce nouveau plaisir décuplé par prescription sans ordonnance, où mon corps écartelé et pris d’assaut par toute une horde assoiffée, devient le centre du monde…Je sais au fond de moi que je viens de guérir…FINMarika842010 – Sexothérapie