Uncaged man 16

Female Ejaculation

Uncaged man 16Uncaged man 16Comme je ne répondais pas , Florence cria — Bruno ? Tu es là ?Et puis elle aperçut les nos vêtements jetés pèle mêle dans le salon.Cette vision la mit hors d’elle.– Putain ! Tu n’as pas perdu de temps… Je croyais que tu étais fou de moi.. Tu n’es qu’un connard !!Revêtu de mon peignoir, je sortis de la salle de bain.– Tu prends tes affaires et tu te casses !! Et tu n’oublieras pas de me laisser les clés ! Tu n’as rien à faire ici !– T’es vraiment un chien ! Quand je pense aux années que j’ai perdu avec toi ! C’est qui la salope qui me remplace ?Clélia apparût alors , simplement enveloppée d’une grande serviette, la tête haute, le sourire aux lèvres.– C’est moi la ” salope ” Ca te pose un problème Florence ?Ma femme pâlit en la découvrant. Totalement décontenancée, ayant perdu sa hargne elle ne put que murmurer :– Non, excusez moi , je ne savais pas que vous étiez là.– Plus fort, je n’ai rien entendu !– Pardonnez moi, j’ignorais votre présence . Répéta mon ex un ton plus haut.– Ne t’avises plus à rentrer ici sans y être invitée et à manquer de respect à Bruno.Je riais intérieurement, un peu vexé tout de même qu’elle prenne ma défense. J’étais à présent assez fort pour régler seul le problème.– Bien Madame ! — Fais ce que tu as à faire et sors !Quelques instants plus tard, la porte se refermait à tout jamais sur celle qui avait été mon épouse, nous laissant ,Clélia et moi, gouter tranquillement à des moments tendres et câlins.Nous apprimes à nous connaitre un peu mieux, nous racontant nos vies respectives, nos joies, nos peines, nos visions de la vie.– Clélia est ton véritable prénom ? — Oui mon cher, tu as entre tes bras la Comtesse Clélia de Haut de Brant, seule et unique héritière d’une noble lignée remontant bien avant les croisades. Répondit elle dans un éclat de rire.. Je te raconterai un jour, comment j’ai failli faire mourir mes parents en abandonnant mon futur époux, un Duc, devant l’autel…– Bruno Bordier, roturier depuis la nuit des temps, pour vous servir , gente Dame..– J’adore la valetaille , rétorqua t elle en se penchant sur mon sexe a demi érigé pour le lécher comme s’il fut un sucre d’orge.Devant ce traitement, mon vit n’eut aucun mal à reprendre vie.Affalé , les yeux mis clos, je me laissait aller à la tendre caresse. güvenilir bahis Elle prit ma main pour la guider vers son entre jambe d’ou s’échappaient déjà quelques filets annonciateurs de sa grande excitation. Je fouillai sans vergogne ses lymphes trempées qui firent venir aux lèvres de mon amante des gémissements étouffés.Elle vint me chevaucher ,s’empalant sur mon sexe tendu , me regardant droit dans les yeux.C’est elle qui imprima le rythme de notre union. Langoureusement, son bassin ondula contre mon corps. Je compris vite qu’elle voulait faire durer notre étreinte. Mes sens repus me permirent de suivre son tempo. Elle m’en sut gré. Mes mains passèrent sur son corps, caressèrent sa nuque, agacèrent ses mamelons.Mes doigts pincèrent ses tétons et je sus trouver l’équilibre entre douleur et plaisir aux expressions de son visage.Elle accéléra soudain ses mouvements. Sa respiration se fit haletante. Ses yeux se fermèrent quand elle rejeta sa tête en arrière, son pubis se soudant au mien, jouissant en un cri rauque, quasi a****l.A cet instant encore, je ressenti un puissant étau enserrer mon sexe.Elle redescendit peu à peu des nimbes ou elle s’était amenée.Son visage , empourpré peu avant , repris son teint diaphane. Le voile embrumant ses yeux bleus se déchira.La Clélia qui se voulait si sure se mua en une femme au sourire un peu gênée de s’être ainsi dévoilée.Ne voulant pas gâcher ce moment, je la serrai contre moi, ma tête dans son cou, lui murmurant combien j’avais été heureux, comblé de la voir somptueusement érotique.En retour elle me susurra le plaisir qu’elle avait ressenti, la surprise de s’être ainsi donnée, sans calcul. Elle me confia qu’il y avait des lustres qu’elle ne s’était ainsi laissé aller et qu’elle en était étonnée.J’en conçus une grande fierté. Mon sexe était toujours érigé en elle. Elle se releva et vint se mettre à genoux devant le divan qui avait accueilli nos ébats et , écartant mes genoux, elle approcha son visage de mon bas ventre.Cette posture qui me rappelait ma soumission me mit mal à l’aise. Elle le sentit. Son visage se leva vers moi et elle me dit, me supplia presque :– S’il te plaît, laisse moi faire..Comment résister ?Je laissais mes scrupules derrière moi et mon sourire la rassura.Sa bouche habile, ses lèvres douces et humides, eurent türkçe bahis tôt fait de faire monter ma jouissance.Je la prévins que j’allais éjaculer, elle s’appliqua de plus belle.Mon corps se tendit quand ma semence fut expulsée en plusieurs jets puissants au tréfonds de sa gorge.Pas une goutte ne s’échappa et elle avait mon goût intime quand elle m’embrassa à pleine bouche, nos langues se mêlant.L’après midi était déjà bien avancée quand, en ce samedi, nous émergeames de la douce torpeur qui s’était emparée de nous après nos ébats.Nous avions faim, nous avions soif.Je proposai à ma douce un brin de foie gras accompagné d’un bon vin blanc de mon sud ouest natal.– Tu sais parler aux femmes toi…. ! Me dit elle, taquine.Tous nos sens furent bientôt apaisés et , si nos têtes tournaient un peu, l’alcool n’en était pas entièrement la cause.Notre nouveau bonheur, imprévisible, subit , nous laissait étourdis.Sans le dire, nous avions peur du lendemain…Elle rompit le charme.– Il faut que j’aille me changer et aller au club. Voudrais tu m’y retrouver ce soir ?– Je ne voudrais pas te déranger.Elle haussa les épaules.– Si je te le propose , c’est que cela ne me plairait que tu m’y retrouves, que tu me vois dans un autre contexte. Et puis prépare quelques affaires pour la nuit, je t’invite chez moi !Le ton était autoritaire , elle vit mon mouvement de recul.S’approchant de moi , elle posa sa tête sur ma poitrine.– Pardonne moi ! Si tu veux, bien sur ! — Je vais y réfléchir , Maîtresse ! Ne puis je m’empêcher de lui répondre , un sourire ironique aux lèvres.– Idiot !!Quelques heures plus tard , je sonnai à la porte du club sauna.Quand la porte s’ouvrit, remontèrent en moi , par bribes, les souvenirs de ma précédente visite.C’est ici que j’avais été sodomisé, battu, humilié comme jamais.C’est dans ce lieu que je ne connaissais pas qu’un ami de ma femme m’avait obligé à sucer des sexes de toutes sortes, que ces queues m’avaient aussi pénétrées, que des femmes déchaînées m’avaient quasiment émasculé.Une bouffée d’appréhension s’empara de moi me faisant involontairement avoir un mouvement de recul.Le portier, un immense type aux bras hypertrophiés, me toisa avec dédain.– Alors mon vieux, c’est pour aujourd’hui ou pour demain ?Mais c’est ici aussi que j’avais fais la connaissance güvenilir bahis siteleri de Madame Clélia, qu’elle avait pris soin de moi…– Oui , désolé. fis je en me décidant à franchir le seuil.– Faut pas être timide, ça va bien se passer. Me dit l’employé goguenard. Ça fera 50 euros.Je ne pus m’empêcher de penser que c’était hors de prix..– Euh, je suis Bruno, Madame Clélia doit m’attendre.L’attitude de l’employé changeât du tout au tout. Un sourire franc illumina son visage.– Oui , bien sur, suivez moi, elle vous attend..Et il me mena dans les coulisses du club.Je la retrouvai resplendissante. Comme la première fois, elle était vêtue de cuir noir, pantalon moulant ses formes parfaites, cuissardes assorties , bustier serré faisant ressortir sa taille fine et pigeonner sa poitrine.Maquillée , un peu trop à mon gout, arborant créoles en or et collier assorti, il émanait d’elle une aura qui ne pouvait laisser indifférent.– Tu es sublime ! Lui dis je sincèrement– Merci, tu n’es pas mal non plus…. me répondit elle mi joueuse , mi sérieuse.. Quel effet ça te fait de revenir ici ?– Si tu n’étais pas là, je ne serai jamais revenu tant j’ai souffert.– Oui, je me doute. Mais tu verras, ce lieu est dédié aux plaisirs. Les dérapages qui nous ont amené à nous connaitre n’ont pas leur place ici et tous ceux qui ont participé à ton supplice l’ont amèrement regretté et , crois moi, ne sont pas près de recommencer.. ta femme en tête…– Ma future ex femme….– Oui, si tu veux. Je te fais visiter, je crois bien que tu ne connais qu’une petite partie du Clavis Aurea.Et c’est ainsi que Clélia me fit faire le tour de la propriétaire.Je me rendis compte qu’en effet, je n’avais eu qu’un tout petit aperçu des lieux qui étaient immenses.Elle m’en expliqua le fonctionnement. Mi club, mi sauna, la partie humide était composée de deux immenses jacuzzis , d’autant de hammams et de saunas.On pouvait aller et venir entre cette zone et le bar, la piste de danse qui communiquaient avec des alcôves plus ou moins grandes ayant des thèmes différents.Ainsi la partie ” Donjon” que je ne connaissais que trop bien , jouxtait des salles décorées de diverses manières, un harem ayant été, par exemple, reconstitué avec bonheur.Un employé ayant sollicité la Maîtresse des lieux pour régler un problème, je me retrouvai seul quand Denise, une amie de Florence, la tenancière du sex shop fit son apparition :– Tiens le cocu, qu’est ce que tu fais ici ? Tu as perdu tes bonnes manières ? A genoux tout de suite et baise moi les pieds !!!!!