De Mari à Esclave Ch. 16
Maitresse Patricia vient me réveiller, me détache une main et me tend un sandwich. Sur la table de chevet, elle dépose un verre que je dois impérativement boire car c’est un Red Bull ultra vitaminé. Une fois ma collation terminée je me lève pour qu’elle puisse me préparer pour la fête.
C’est ainsi que je me retrouve en body corset blanc qui cache juste le sexe, mais laisse le cul et les seins accessibles. Elle le serre très fort, j’ai un peu de mal à respirer. Ensuite elle me passe des bas blancs qu’elle fixe aux jarretelles du body corset. J’ai droit à une séance de maquillage avec un fond de teint pâle et un rouge à lèvres très clair. La perruque et la jupe qu’elle me fait passer font très année dix-sept ans tout comme les souliers et les gants blancs. Je fais très servante d’une autre époque. Ce qui gêne un peu dans mon apparence, c’est l’éternel collier où mes bras sont attachés dans le dos!
Avant de quitter la pièce, Maitresse Patricia me demande de me tourner et de me pencher en avant, munie d’un pot de crème, elle passe derrière moi et m’enfile d’un seul coup un doigt chargé de lubrifiant dans l’anus.
– Petite préparation, tu ne pourras pas dire que je ne suis pas gentille!
La Grande salle a été préparée pour la fête, des tables chargées de boissons sont préparées, des poufs, canapés et banquettes sont installés dans de petits box ouverts et orientés vers la scène.
Elle m’introduit dans une pièce attenante et attache mon collier à une des chaînes qui pendent du plafond. J’en déduis, que je ne serai pas le seul soumis ce soir. Elle prend alors un bandeau noir qu’elle plaque sur mes yeux et attache fermement derrière ma tête en m’expliquant que ses clients souhaitaient la discrétion absolue.
– Fais très attention, si le bandeau se détache tu fermes les yeux et cries très fort Maitresse Patricia, je viendrai te le remettre. A tout à l’heure.
Après un fort long moment, Maitresse Patricia vient me chercher, elle me détache et me guide dans mes déplacements car je ne vois vraiment rien de rien. Soudain j’entends des gens qui parlent ça y est, je suis dans la Grande salle, travesti au milieu des invités qui font des remarques et complimentent Maitresse Patricia sur ma tenue. Je suis mort de honte. Elle me laisse là, tout seul au milieu de ses gens, je ne peux me déplacer sans prendre le risque de tomber. Dikmen travesti Pendant un moment les conversations reprennent, mon dieu, que je dois avoir l’air stupide!
De temps en temps, je sens que l’on soulève ma jupe et que l’on me touche et me tâte comme pour apprécier la marchandise.
– Je peux le prendre? demande une femme.
Maitresse Patricia répond « mais je vous en prie ma chère, faîtes »
Me tenant par la laisse la femme m’entraîne dans un box.
– A genoux!
Elle écarte les cuisses soulève sa robe et colle mon visage contre sa culotte trempée. Elle me fait lécher la culotte et me guide pour promener mon nez contre son clitoris Soudain, elle se lève, retire sa culotte, se rassoit puis fourre ma tête entre ses cuisses. Je commence à laper son sexe mais elle m’arrête.
– Rien ne presse.
Elle me demande de la caresser partout avec la bouche et la langue.
– Tout se passe bien » demande Maitresse Patricia qui passait voir si ses clients étaient satisfaits.
– Oui, mais pourriez-vous m’envoyer mon amant? J’aimerais le regarder prendre le cul de ce jeune homme qui me fait tant de bien.
Je sens son amant arriver, elle lui ordonne de prendre comme une chienne. Aussitôt, il s’accroupit, presse son gland contre mon anus et me prend sans douceur. Pendant que je suçais sa femme, son amant me baissait et de temps en temps lui disait des « je t’aime » elle lui répondait par « moi aussi mon chéri »
-Va-y encule le à fond et baise le bien, plus vite je vais jouir!
-Moi aussi, il est bon ce Robert, hum je me régale avait raison Patricia.
Me tenant fermement par le hanche il accélère les mouvements, sa femme plaque alors mon visage contre son sexe de plus en plus fort. Soudain, son amant se répand entre mes fesses pendant que sa femme se répand sur mon visage. Ils restent sans bouger un moment, l’homme se penche par dessus moi, j’entends le bruit d’un baiser.
Maitresse Patricia passe me récupérer pour m’installer sur le carcan cou poignet. Elle me détache et me guide pour placer mon cou et mes poignets dans les encoches prévues à cet effet. Aussitôt elle referme le couvert du carcan et le verrouille. Comme je le décris la, le carcan est installé sur un cadre à roulette.
Maitresse Patricia me fait rouler en annonçant « chers amis, je viens de vous installer Dikmen travestileri le libre service, aucune limite et s’il se rebelle, n’hésitez pas à me demander une cravache, bonne soirée à tous et à toutes ».
Rapidement, un homme promène son sexe sur mon visage et force mes lèvres. Je le prends en bouche pour le sucer, mais il est brutal, ses gestes sont brutaux, il me prend pas les oreilles et me force à faire des va-et viens. Souvent sa queue heurte le fond de ma gorge, je hoquette, il m’étouffe. Il me plaque rapidement contre son ventre, mon nez contre ses poils il s’enfonce profondément. C’est un rapide, il va jouir, je ne veux pas le recevoir dans ma bouche. J’essaie de résister, j’ai envie de mordre, mais je sais qui si je fais ça, Maitresse Patricia et Maitre Barthélémy me le feront payer très cher. Je sens son membre tressaillir, les spasmes se succèdent et le liquide afflue dans ma gorge. Cela me dégoûte, je veux me retirer mais le client me tient la tête à deux mains et m’enfonce sa queue jusqu’au fond de la gorge. J’avale ce que je peux mais j’en recrache. Le goût est spécial.
Rapidement, je sens un autre sexe contre mon visage, j’ouvre la bouche lorsqu’il présente son gland contre mes lèvres quand soudain je sens quelque chose sous mon ventre. Je sais que c’est une femme, j’ai senti son parfum et ses cheveux longs. Elle est passée sous moi, écarte ma robe et commence immédiatement à me lécher. Mon dieu que c’est bon, ce sexe dans ma bouche devient de plus en plus excitant. Je redeviens fou, je dévore cette queue, j’ai envie de jouir! Tout en me suçant, la femme attrape mes seins et commence à les triturer. Je me sens partir quand d’un seul coup, un doigt entre dans mon anus, suivit aussitôt par une queue qui entreprend un va et vient. C’est la première fois qu’on me baise à trois c’est exquis. Je n’en peux plus, l’homme que je suce avec ardeur non plus! Il vient dans ma bouche lui aussi. Il a bon goût. Cette fois j’avale tout et j’aime ça. Le sperme augmente encore mon plaisir je suis prêt à jouir mais hélassent ils m’abandonnent.
Je suis nu, attaché au carcan du sperme au coin des lèvres, à sucer et à me faire prendre par des inconnus, je commence à y trouver un certain plaisir?!
Les deux suivants sont des homos, d’après leurs commentaires j’imagine qu’ils vivent en couple. L’un Travesti dikmen deux me fourre son sexe dans la bouche pendant que l’autre entreprend de me sodomiser. Soudain, ils décident de changer, celui qui me baisait me fourre sa queue dans la bouche. C’est dégueulasse, son sexe est sale de moi, le goût est horrible. Je n’en peux plus ouvrir la bouche et j’ai le cul en feu. Il se tend pour se faire sucer ou se dérober quand la sensation devient trop vive. Son ami est en train de le sodomiser, pendant que je le pompe. Il vibre entre mes lèvres. Finalement quand la verge libère son sperme dans sa bouche, il reste sans bouger et s’abandonne jusqu’au dernier spasme pendant que son copain finit de se libérer dans ses fesses.
J’ai un moment de répit, je me repose un peu, je sens le sperme couler le long de mes jambes. Des cris de femme en colère attirent mon attention, puis les sifflements et les coups que j’entends me font comprendre que je ne suis pas le seul soumis. Les cris de douleur montent, un homme est en train de déguster. J’apprends qu’il a refusé de lécher sa Maîtresse qui venait de faire l’amour avec un autre homme.
Maitresse Patricia vient me détacher du carcan et me guide à travers la salle. J’ai peur, j’ai horriblement peur. Elle me fait monter sur la scène et retire ma jupe pour me faire asseoir sur le pot que l’on peut qualifier de chiot humain. Entre mes jambes je sens l’homme qui a refusé de lécher sa Maîtresse. Assis sur le pot, le sperme qui est en moi commence à couler. Maitresse Patricia me demande si l’esclave me lèche le cul. Je réponds par la négative, mais entre-nous, je le comprends. Des coups pleuvent à nouveau, ils sont en train de lui flageller les parties, le pauvre se met à hurler puis à me lécher le rectum pour que son martyr se termine. J’annonce immédiatement « ça y est il me suce le cul » et les coups s’arrêtent.
Ils nous ont laissés longtemps comme ça, et le pauvre esclave terrorisé m’a léché très longtemps.
Maitresse Patricia me relève, me guide dans la salle et me raccompagne vers ma chambre. Nous faisons une étape par la salle de bain où elle me retire le corset et me rince avec un jet. Elle détache mes bras. J’ai mal aux articulations, j’ai les mains dans le dos depuis trop longtemps. Elle me passe des menottes mais cette fois-ci les ferme en me laissant les mains devant et m’accompagne à ma chambre pour me coucher. Elle me fait un long baisé puis me passe une crème apaisante dans l’anus. Elle me fait des compliments sur ma tenue lors de cette soirée j’ai même droit à des mots réconfortants. Elle quitte la chambre et ferme la porte à clé. Je peux enfin me caresser…