Double vies

Anal

Double viesCe soir là, je me dépêchais de terminer de ranger mes affaires afin de rejoindre ma chérie au cinéma. Nous devions aller voir « Doubles vies » avec notamment Nora Hamzawi. Une histoire d’éditeurs et d’auteurs correspondants bien à notre situation même si nous ne menions plus de double vie depuis que nous étions ensembles. Vu l’horaire de la séance (17h45), je devais la rejoindre directement dans la salle afin qu’elle me garde une bonne place.Il était presque dix-huit heures lorsque je sortis du parking souterrain et arrivai au cinéma. Plus de queue, je pris rapidement mon ticket avant de hâter le pas jusqu’à la salle 12. L’horaire et la salle indiquait que ce film ne serait plus longtemps à l’affiche. Pourtant, à posteriori, il se révéla inoubliable.Je pénétrais dans la salle sombre. Le film avait déjà commencé. Je cherchais du regard celle qui remplissais ma vie de bonheur à plus d’un titre. Une main me héla en chuchotant :- Par ici, Dom !Les quelques spectateurs se lancèrent dans des récriminations qui ne firent qu’augmenter la gêne de tous.J’arrivais en fin de générique donc je n’avais rien raté. Sandra avait curieusement choisi une place à la gauche d’un poteau porteur. Ce faisant, nous étions plus ou moins à l’abri des regards du reste de la salle.Elle m’accueillit par un doux baiser qui provoqua encore des « Chut ! » en rafales, mais nous n’en avions cure (NB : j’ai choisi cette rivière parce que « nous n’en avions armançon », ça ne sonnait pas bien).Elle portait la jupe en cuir asymétrique que je lui avais offerte pour Noël et qui remontait très haut sur une hanche, dévoilant le haut de ses bas et même un bout de ses petites fesses rebondies. Ses seins étaient comprimés par un chemisier rouge dont les boutons résistaient tant bien que mal à cette généreuse poitrine que j’affectionnais tant. Petite nouveauté, elle arborait de grands bottes en cuir remontant canlı bahis quasi jusqu’au genoux. Sexy en diable, mon sexe durcit douloureusement dans mon boxer.- Tu as sorti le grand jeu, mon amour.- Plus que tu ne crois…Cette confidence à voix basse accentua l’effet provoqué dans mon pantalon. Je pris place à ses côtés pendant que le générique prenait fin. Je sentis sa main se poser sur la bosse formée par mon sexe.- Je vois que tu es en forme, mon coquin…Pour ne pas être en reste, je lançais mes doigts à l’assaut de ses jambes, remontant prestement sur ses fines gambettes. Une fois le bas dépassé, je touchais la chair de ses cuisses nues. Sa main se referma sur ma bosse tandis qu’elle frissonnait de désir. Mon index poursuivit sa route, fit un détour par les rondeurs de son postérieur. Je ne sentis pas de culotte. J’imaginais qu’elle avait mis le string en cuir que j’affectionnais tant. Puis, j’obliquais vers la douce moiteur de son sexe… que j’atteins sans rencontrer le moindre obstacle !- Tu n’as pas mis de culotte, ma petite cochonne.Elle se fendit d’un sourire qui en disait long sur ses intentions.Je me mis à la caresser doucement pendant que les images du film défilaient sous nos yeux, même si les miens étaient plutôt rivés sur son corps tendu par le désir. Habilement, sa main défit les boutons de mon jean pour atteindre mon boxer. Ses doigts s’infiltrèrent sous le tissu, caressant mon engin déformé par cette érection.Pendant que ma main gauche visitait sa vulve, caressant alternativement son clitoris, puis m’immisçant jusqu’à la rondelle de son anus serré, ma dextre avait déboutonné son soutien-gorge et caressait ses seins plantureux. Je faisais durcir ses tétons, puis malaxait sans retenue ses globes volumineux. Je la voyais retenir ses gémissements pour que nos voisins ne s’aperçoivent pas de notre manège. J’avoue que la proximité des autres spectateurs ajoutait bahis siteleri à l’excitation, même s’il n’y avait pas forcément besoin.Heureusement l’histoire semblait prenante et tous les regards étaient fixés sur l’écran. Et si ce n’était pas le cas ? Tant pis, c’était trop bon.N’y tenant plus, elle finit par retirer mon boxer et se pencha sur mon phallus dressé. Ses lèvres engloutirent le dard et coulissèrent doucement tandis que sa langue jouait avec mon gland. Je sentais mon désir monter de plus en plus, mais je me retenais, voulant profiter plus longuement de l’instant unique.Je sentis à son spasme et au cri qu’elle ravala qu’elle venait de jouir. Son corps fut secoué de petits spasmes tandis que je continuais à la caresser sur son bouton de plaisir. Mes doigts étaient inondées de cyprine. Elle me glissa à l’oreille :- Rejoins-moi aux toilettes !Puis, elle me planta la bite à l’air en s’éclipsant.Je renfournais le matos le plus discrètement possible, attendis deux minutes avant de quitter la salle à mon tour. Quelques grincheux protestèrent contre ses gens qui ne prennent pas leurs précautions avant d’aller voir un film. Pendant ce temps, Nora Hamzawi crevait l’écran. Je me promis de revoir ce film de façon plus assidue.Les toilettes étaient assez loin. Lorsque j’y entrais, je passais devant les WC des dames. Deux d’entre elles attendaient alors qu’une autre tenait la porte. Sandra n’était pas là. Je poursuivis jusqu’à ceux des messieurs. Personne non plus !J’avoue que je n’appréciais pas qu’elle ait pu me planter comme ça après avoir joui tandis que j’étais au summum de l’excitation.- Je suis là, sussura une voix dans la dernière cabine.Je reconnus immédiatement la sienne. Elle m’attendait, la jupe remontée sur son ventre, les fesses à l’air et le sexe tendu vers moi comme un défi. Vision des plus bandantes s’il en était.Je baissais rapidement mon pantalon pour bahis şirketleri caler mon sexe contre sa croupe, caressant son sillon fessier avec mon gourdin ivre de désir. Je l’entendais gémir, puis sa main s’empara de mon attribut viril et le planta dans sa chatte sans ménagement. Sans attendre, elle ondula du bassin, faisant ainsi coulisser son minou sur ma chair. Comme nous étions seuls, elle se laissa aller à gémir de plaisir. Je profitais de la position pour lui assener quelques claques sonores sur son arrière train. Elle glapit de plus belle, appuyée sur le mur du fond.Je sentis la porte bouger dans mon dos.- C’est occupé ! Criai-je, un peu affolé qu’on nous surprenne en pleine action.La porte recula en grinçant. J’entendis quelqu’un grommeler : « Excusez-moi », puis d’une voix plus basse : « Mais si, je suis sûr qu’ils baisent là dedans ». Les pas s’éloignèrent et nous reprîmes là nous en étions.J’avais déballé ses seins et je les caressais en même temps que mon sexe tambourinait sur ses fesses nues. La chaleur montait de plus en plus en moi, mais je ne voulais pas partir tout de suite. Elle bougeait de plus en plus vite et elle cria son plaisir. J’adore l’entendre jouir.Je ralentis le rythme, ma main gauche se mit à caresser son clitoris en contournant son corps tandis que la droite s’immisça dans son postérieur en utilisant la cyprine coulant le long de son sexe.- J’ai peur que tu me fasses mal.Je ne répondis pas, extirpant mon érection de sa vulve pour m’appuyer sur l’entrée de son anus. Je poussais doucement, ouvrant petit à petit le passage interdit. Elle se crispa un peu.- Détends-toi, tout va bien se passer, dis-je en caressant son clito.Elle se décrispa et ouvrit son passage. Je m’introduisais enfin dans ce recoin secret. Une fois mon gland passé, cela devint plus simple et le rectum s’assouplit. Mes va-et-vient se firent plus rapides.- Ca commence à me faire du bien, m’avoua-t-elle.- Moi aussi !C’était si serré que je ne pus retenir longtemps mon orgasme. Nous nous sommes embrassés longuement, nos sexe à l’air dans des WC publics, puis nous sommes rentrés pour recommencer.Je t’aime.