Histoire Africaine 06
Anne est invitée à loger chez Patricia le temps de leurs vacances. Paul sympathise avec Dan, le mari. Ils vont ensemble faire deux safaris dans la réserve voisine.
Un après midi où Dan, par à la pêche avec Paul. Anne et Patricia font l’amour intensivement, Patricia initie Anne au saphisme.
Patricia leur propose de passer une journée dans son village natale qui se situe de l’autre côté de la réserve.
Ils partent avec Noa, un guide de la réserve, qui est un dignitaire du village.
Ils sont très bien accueilli par la tribu, le repas traditionnel est une merveille pour les deux nouveaux époux. Ce sont les premiers blancs à séjourner dans le village.
Patricia insiste pour qu’Anne fraternise avec les femmes du village. Qu’elle découvre leur mode de vie. Dan et Patricia entraînent Paul dans une chasse au phacochère, avec les guerriers du village.
Anne regarde avec appréhension le départ de Paul avec Dan et Patricia. Elle plus voit Noa en grande discussion, en la regardant, avec celui qui semble diriger la tribu. Très vite, elle est accaparée par les femmes qui veulent à la fois la découvrir, ainsi que lui montrer leur mode de vie. Cela occupe Anne qui ne voit pas le temps passer. La femme qui lui sert de guide, lui propose alors de s’habiller comme elles et sans plus attendre, elle fait quitter à Anne, ses affaires qui, entre parenthèses, doivent les choquer.
Elle l’aide à revêtir leurs tuniques colorées, elle l’entraîne dans leurs danses, petit à petit, Anne se sent un peu plus proche d’eux. Elle s’enquière auprès de sa guide de leur vie et de la supériorité de l’homme dans la tribu. Rapidement, elle découvre que si certaines sont mariés, très jeunes d’ailleurs, il n’y a pas de fidélité, chaque homme a le droit de posséder m’importe quelle femme, à partir du moment où elle a été exciser, en la regardant fixement, elle lui dit qu’elle aussi, selon la coutume, les hommes peuvent la courtiser.
Soudain, Anne a un grand froid dans le dos, car elle revoit le regard de Noa, elle imagine Ataşehir travesti la conversation de Noa, d’autant plus qu’elle apprend que les guerriers ne sont pas sûrs de rentrer avant le matin, ce qui est fréquent.
Fruits et boisson lui sont offerts ce qui l’aident à se détendre. Elle a tort, parce qu’alors que les femmes partent à leurs occupations, sans doute pour le repas, la femme l’entraîne dans une case, elle commence donc à lui faire quitter sa tunique et ses parures.
Elle demande à Anne de s’allonger sur une couche sommaire, ses mains l’enduisent de crème en un doux massage. Son appréhension diminue d’autant plus qu’une douce chaleur l’envahie, ainsi que dans son ventre, les premiers signes de plaisir arrivent. Anne se laisse aller, quand ses doigts frôlent son pubis, une décharge de plaisir la traverse. Anne a envie de ses mains sur son corps et dans son ventre, mais elle ne s’éternise pas à son grand regret?
Soudain un géant rentre dans la case, libre de tout habit et malgré sa plénitude, Anne découvre un sexe bandé, agité de soubresauts, le gland décalotté. Elle n’a pas le temps de réagir, d’ailleurs l’aurait elle pu, qu’il est sur Anne, lui plaquant les épaules sur la couche, il se plante dans sa chatte sans hésitation, le passage n’est pas dilaté, mais sa tige progresse malgré tout, puissamment, pour finalement toucher le fond de mon vagin.
Anne devrait se révolter, se débattre, bien au contraire, elle écarte le plus possible ses cuisses, favorisant ainsi la saillie, car s’en est une. Peu importe son avis, il la baise, il prend son droit de cuissage, fier, puissant, performant, sous ses coups de butoirs, elle n’est que jouissance, il la possède, elle est à lui, ainsi, il en profite.
Anne ne sait combien de temps, il la besogne, se libère au moins deux fois de sa semence, avant de quitter la case comme il y est rentré, en silence.
Alors que le sperme s’écoule sur ses cuisses, elle essaie de récupérer de ses jouissances, elle vient de se faire saillir, Ataşehir travestileri elle y a pris plaisir. Plaisir qui ne va pas durer, car tandis qu’elle s’apprête à se relever.
Anne voit avec terreur entrer Noa, lui aussi nu, le sexe bandé, arrogant et ses paroles la figent de peur
– Tu m’as repoussé à la fin du safari et ça devant ton mari. Ici, il ne peut rien, tu m’appartiens, tout à fait normalement, c’est le droit de tout homme, je vais pouvoir faire de toi ma femme. Tu as bu de notre boisson pour l’amour, après mon départ, ma queue te manquera?
Anne n’a pas le temps de répondre que Noa s’abat sur elle, c’est sans aucune difficulté que son mandrin s’enfonce en elle, son puits d’amour est plein de semence ce qui lubrifie le passage. Il est brutal, possessif, elle retrouve bizarrement les sensations lors de son présumé viol, où elle avait joui plusieurs fois intensément.
Alors qu’elle ne devrait pas se libérer, elle sent son corps s’ouvrir à ce pieu qui la défonce et il le comprend vite.
– Tu vois, ma queue déjà te possède et tu y prends plaisir. Tu es à moi, je vais te couvrir sans que tu puisses retenir ta jouissance! Il a raison, car le ventre d’Anne est plein de désir, il réclame ses coups de butoirs. Noa le sens et il se déchaîne, la percute, dilate ma matrice de son membre conquérant. Anne râle, Anne crie son plaisir, elle s’accroche à son corps, réclame encore plus, elle lui demande de la remplir de sa semence.
Noa joue avec son corps, il se retire, il la retourne, la met à genoux sur la couche et d’une poussée, il réinvestit son gouffre dilaté. Sous son emprise, Anne n’est que plaisir, plus rien ne compte que cette bite qui lui ravage le ventre, ainsi quand il éjacule, elle se cambre allant au-devant de ces jets. Anne pense en avoir fini, à son grand regret, elle le reconnaît, cependant elle aurait dû se méfier.
Car sa queue encore bandée vient se frotter sur son sillon, pleine de sécrétion, elle pousse l’anneau. Anne se débats car la tige Travesti ataşehir est trop grosse pour la sodomiser, mais à nouveau, la bloquant contre lui, il lui dit.
– Pour te prouver ma puissance ce soir, c’est moi qui vais te saillir le cul, tu es ma chose, tu vas goûter à ma sodomie, je suis sûr que tu vas l’aimer! En poussant sur ses fesses, son gland lui perfore l’anneau, les cris d’Anne doivent s’entendre, car il lui élargit le rectum, il ne s’arrête que quand il l’a complètement investi.
Il commence alors un ballet, il pistonne Anne sans délicatesse, il la pourfend, élargissant le passage, pour finalement glisser sans problème. Anne n’est plus qu’une poupée qui se fait saillir, tandis que la douleur s’estompe, une déferlante l’envahit. Elle ne peut retenir un puissant cri de plaisir, elle s’offre, elle se donne, tout au plaisir de se faire défoncer par cet énorme mandrin. C’est la première jouissance anale aussi puissante, aussi quand il se déverse après un long ramonage, elle s’écroule sur la couche, inerte, quand elle reprend conscience, il a disparu.
Sans doute avertis par Noa, deux guerriers viennent la prendre, rapidement, juste pour l’avoir et se faire plaisir, elle le suppose. Pour Anne, peu de jouissance, enfin seule, elle s’écroule sur la couche, épuisée. Noa vient pour le deuxième fois prendre son trophée et une nouvelle fois, il la sodomise, arrogant, il lui dit que désormais sa queue restera dans sa mémoire, pour Anne c’en est trop, même s’il a réussi à la faire jouir, elle n’a qu’une hâte, c’est celle de quitter le village.
La femme revient au petit matin, elle lave délicatement Anne. Quand les deux puits d’amour sont propres, elle redonne la tunique d’Anne. Après le retour des chasseurs, les deux couples regagnent la civilisation. Deux jours plus tard, les jeunes mariés repartent chez eux comme le désirent Anne et Paul.
Il ne faut pas s’inquiéter pour Anne, de retour chez elle, avec les domestiques, elle trouvera sûrement de quoi s’occuper.
Enfin de retour à la maison, mais pas pour longtemps, Paul est promu directeur d’une succursale de son entreprise, qui se trouve dans une petite ville à l’autre bout du pays. La villa de fonction est très agréable avec une grande piscine. Elle est gérée par Diouf et quelques domestiques locaux. Ils sont loin de leurs amis.