Le hasard fait si bien les choses… Partie 3

Brunette

Le hasard fait si bien les choses… Partie 3Je n’ai aucune idée de l’heure…Je viens d’émerger de chez Morphée et comprend que ce doit être les rires qui résonnent encore qui m’ont réveillée.Corentin n’est pas avec moi et les rires que j’ai entendu sont féminins.Sa femme a du rentrer et ils sont ensembles… Et je suis mal à l’aise d’un coup.Ils parlent et elle a rit et Corentin n’est certainement pas du genre à mentir.Et donc elle sait tout et semble très bien le prendre.Tout de même… Je m’éveille chez une femme que je n’ai jamais vu après avoir baisé avec son mari et chez elle. Et je sais, il fallait y réfléchir avant…A part me lever et aller leur dire bonjour, je ne vois pas ce que je pourrais faire…En tous cas pas attendre au lit que l’un ou l’autre vienne me réveiller.Il reste que je ne peux même pas commencer par prendre une douche et je déteste çà.Et hormis une robe de la veille, je n’ai rien à me mettre et qu’il va falloir faire avec…Mon iphone me dit qu’il est 09H00 du matin.Je me frotte doucement les yeux pour bien me réveiller, me lève et enfile ma robe.Passe mes mains dans mes cheveux pour ne pas effrayer le couple qui me reçoit et me décide à quitter leur chambre d’amis. Je me fais l’effet d’être une drôle d’amie par ailleurs…Corentin répond à mon bonjour en souriant. Elle non…Ni bonjour… Ni sourire…Et je me dis que finalement, la situation va certainement dégénérer en un conflit de couple.Et mon mal être s’intensifie aussitôt.Elle me regarde sans prononcer une parole, me détaille sans la moindre gêne, et son regard quitte mes yeux pour se promener sur mon corps.Elle me jauge comme seules les femmes le font entre elles.Et sachant qu’elle est bisexuelle, je sais qu’elle doit soupeser mon physique et le comparer au sien.Je suis certaine qu’elle se retient pour ne pas me demander de me retourner.Elle est jolie. Ce n’est pas une très belle femme, genre beauté de magasine mais elle est jolie.Cheveux roux très clairs, un roux proche du châtain clair, des yeux verts évidemment et le visage marqué de charmantes tâches de rousseur… Un charme certain et elle le sait.Elle est assise et porte un peignoir blanc, et pour savoir comment cette femme est foutue, c’est chou blanc.Debout comme une andouille, les joues joliment pivoine, je suis incapable de me décider.Soit je la joue provocation comme je pourrai le faire, ayant passé la nuit avec son homme.M’assoir et embrasser Corentin par exemple…Soit je tire ma révérence avec le plus de dignité possible…Je ne suis pas mais alors pas du tout provocatrice et je me décide vite.- Je vais vous laisser… Le tout dit avec un sourire certainement un peu gêné mais bahis firmaları bon… Ma tirade sonne le manque de confiance en soi et reste en suspens sans que je puisse ajouter autre chose.Je ne suis pas comédienne, n’ai jamais eu de César et pour le rôle de la voleuse d’homme et suis nulle dans le genre.Je n’ai pas le temps de bouger qu’elle parle.- Restez prendre le petit déjeuner… Vous devez avoir faim après cette nuit.Bonjour Juliette. Corentin m’a beaucoup parlé de vous. – Merci mais je n’ai pas faim, c’est gentil mais il faut que je rentre…- Nous avons mangé avant de nous coucher mais pas question que tu partes sans avoir au moins bu un café.C’est Corentin qui enfin se décide à parler. Et il ajoute qu’il va s’occuper de me servir.Il se lève et me désigne une chaise où je m’assois avant qu’il ne nous laisse.Marie me sourit enfin… Elle me demande si je suis sûre de ne pas vouloir grignoter quelque chose et je réponds par la négative en ajoutant un nouveau « c’est gentil».Nouveau sourire et Marie recule sa chaise de la table. Sa main droite descend sur la ceinture de son peignoir et ses doigts dénouent le nœud doucement.Main qui ouvre le peignoir sans que je puisse quitter cette main des yeux.Peignoir qui s’ouvre, main qui l’écarte d’un geste et jambes qui s’ouvrent d’un seul mouvement.De ma place je vois son sexe déjà ouvert et brillant.Même les poils de son pubis sont mouillés. Et ça m’excite beaucoup.Elle écarte plus largement les jambes et ouvre son peignoir, libérant ses seins.Plutôt petits mais jolis. Des seins comme je les aime, et ils bandent…- Viens là et mange moi…Voix un peu rauque et ses yeux se ferment…Et je me lève lentement, incapable de la quitter des yeux.Si offerte que je me sens devenir aussitôt humide moi aussi.Cela fait deux ans que je n’ai pas touché une femme et je m’agenouille entre ses jambes sans me faire prier. Ma bouche à peine posée sur elle, Marie relève ses jambes en soupirant et les laissent reposer sur mes épaules, sans brusquerie mais sans se soucier de mon propre confort.Et sa main se pose sur mes cheveux, appuyant un peu trop fort à mon goût sur ma tête et me collant plus encore sur sa chatte.Elle mouille et j’en ai plein les lèvres.- Lèche moi petite salope… Ta langue… Enfonce là… Allez… Va plus profond…J’ai le temps de penser en la mangeant, que je dois avoir une demi tête de plus qu’elle à première vue et que « petite salope » dans sa bouche n’est pas vraiment approprié.Elle frotte son sexe contre ma bouche et sa main prend mes cheveux, les tirant doucement en arrière. Elle me guide, sa chatte trempée passe sur mon menton, mes lèvres, sur chacune de mes kaçak iddaa joues, me maculant le visage. Elle prend son temps, se sert de moi et je sais qu’elle ne doit pas quitter des yeux mon visage souillé. Elle frotte son clitoris sur mon nez, comme si j’étais un sex-toy, elle aime dominer et même humilier sa partenaire. Et je la laisse faire sans un mot .- Attends… Recule toi un peu… Tu va descendre ta bouche… Plus bas ! Tu sais ce que je veux maintenant…Souffle court, respiration hachée, elle est au bord de l’orgasme. Et me parler ainsi l’excite énormément. Je le sais et lui obéir comme son jouet me fait mouiller. Toujours sans culotte, je le sens et ça m’excite beaucoup.Et ses cuisses quittent mes épaules.Elle relève un peu plus son bassin et reste jambes relevées, ses avants bras dans le creux de ses genoux pour les soutenir.- Maintenant… Ta bouche d’abord… Tu passes ta bouche sur ma chatte et mon cul. Ensuite ta langue… Sur mon anus… Et je veux la sentir entrer… Et tu vas le faire j’en ai envie…Elle devait sortir de la douche car sa peau à une odeur de propre. Et un très léger goût de fraise.Sa peau seulement… Son sexe sent la femme.Quand ma langue se pose sur son petit trou, je la sens faire peser ses fesses plus encore contre mon visage. Je me retiens de jouir, j’essaie mais je ne pourrais plus très longtemps me retenir de me caresser. Quand ma langue la lèche, titillant son anus, elle gémit sans discontinuer et quand je cherche à forcer son petit trou, Marie laisse échapper un petit cri.- Tu vas me faire jouir…Ma langue s’enfonce le plus possible…Sa main prend mes cheveux et me force à reculer un peu de ses fesses.- Tu vas me doigter… Je veux que tu me doigte l’anus. Un doigt d’abord ! Tu sauras quand y mettre un deuxième.Je vais jouir mais tu n’arrêtes pas… Tu n’arrêtes pas !D’un doigt je la pénètre…Marie jouit aussitôt sa phrase achevée.Je devine ses doigts sur sa chatte, puis dans sa chatte… Mes doigts sont sur ses fesses, le majeur allant et venant dans son petit trou mouillé.Ses doigts vont vite, s’enfoncent et ressortent de plus en plus vite, et ce ne sont plus de doux clapotis que j’entends… Marie est trempée, et elle coule sur son petit trou, sur ma main…Mon index se colle à mon majeur ressortit de ses fesses et mes doigts s’enfoncent d’un coup.Je les enfoncent en les écartant l’un de l’autre. Elle devrait adorer ça.Sa main agrippe mes cheveux plus fort, me rapprochant de ses fesses inondées.Marie me fixe, se mordant les lèvres, et je comprends…Elle jouit avec un cri, balbutie quelque chose, crie encore … Et elle gicle d’un coup. Un jet qui m’asperge le visage, puis kaçak bahis un autre jet m’arrose visage et cou…Le regard de Marie est voilé mais elle continue à me regarder. Elle a du mal à respirer mais arrive pourtant à lâcher quelques mots.- Ta bouche… S’il te plait ta bouche… Ouvre ta…J’ai compris et je m’approche de sa chatte malmenée par ses doigts.Les yeux plantés dans les siens, j’ouvre la bouche.Elle n’achève pas, m’approche de sa chatte et me sourit en disant «  oh tu m’excites » et ne pouvant se contrôler plus longtemps, se laisse aller dans un dernier jet.C’est amer et je n’aime pas plus que ça… Mais l’idée de la rendre folle m’a fait jouir en la recevant dans ma bouche a déclenché un orgasme sans que je puisse le retenir.Et elle l’a vu et continue a se caresser doucement.Corentin qui n’a rien du perdre de notre « petit déjeuner  en tête à tête » a su se faire discret et arrive tout sourire.- Je vois que vous avez fait connaissance les filles…Sans cesser de se caresser et sans me quitter des yeux, toujours à genoux, trempée et dégoulinante de son plaisir, Marie a un petit sourire…- Elle est adorable notre Juliette mon chéri… Enlève lui sa robe et baise là !La douche était tiède comme j’aime et je songeais à ce couple vraiment libre de mentalité, très libre même.Et pour savoir recevoir, ils savaient…Il était non loin de midi quand je prenais mon premier café…- Tu vas passer la journée avec nous, je te trouverais une robe ou… Mieux tu resteras nue…Tu m’aideras pour le repas de ce soir. C’est Corentin qui cuisine en semaine et moi le weekend mais je ne suis pas un cordon bleu… Et comme demain c’est férié, tu dors chez nous.J’en suis à mon troisième croissant.- Oui bien sûr pas de soucis je t’aiderai volontiers. Mais dormir non vraiment je ne peux pas…- Alors tu ne dormiras pas mais tu restes. Tu prends ton temps et quand tu auras terminé, tu me rejoins dans la cuisine… – Je… Il me faut quelques affaires…-J’ai tout ce qu’il faut… Sauf des fringues… Et tu n’en auras pas besoin tant que tu seras ici.Elle a sourire désarmant. Elle crève d’envie que je reste avec elle . Elle espère que j’accepte ce rôle de femme soumise en jouant la dominatrice sûre d’elle-même.Je ne joue pas… J’adore ce qu’elle me propose.- D’accord Marie…Quel drôle de jeu que le jeu de soumission.Qui soumet l’autre en fait ?Comme quand dans ses yeux j’ai vu l’envie pressante que je la laisse m’inonder la bouche…Qui était soumise à l’autre à ce moment précis ? Moi qui avait le pouvoir de m’y refuser ou Marie qui en mourait d’envie…C’est exactement comme de sucer un homme à genoux… Certains pensent encore qu’ils ont le rôle de dominants…Les idiots…Elle m’embrasse sur la bouche…La farouche dominatrice remercie sa soumise d’accepter son rôle…- Je vais vite faire quelques courses… Une demi heure à peine. Je reviens vite.