Les soirées de l’Ambassadeur
Son Excellence, Monsieur Mehdi Ben Khaled, Ambassadeur d’un petit pays du Golfe Persique que personne n’aurait su situer sur une carte mais très important politiquement et surtout très riche car importateur de pétrole, terminait de se préparer pour descendre acceuillir ses premiers invités. Il se rejouissait de cette nouvelle soirée qui s’annoncait d’etre riche en rebondissement. Parmi ses invités, que du beau monde. Politiques, mondains et autres. Monsieur Ben Khaled n’est pas très impressionnant, pas très grand, les cheveux noir, une barbe de trois jours savamment entretenue, un regard dur. Et pourtant, depuis qu’il etait en poste en France, il avait profité de femmes respectables plusieurs fois. Femmes politiques ou femmes d’hommes politiques, actrices, journalistes politiques, femmes d’Ambassadeurs ou de Consuls….Il faut dire que le mérite n’en revenait pas qu’à la prestance de Son Excellence….Sur ses intsructions, le personnel de l’ambassade avait glissé dans les verres des invités une potion venue de son pays de naissance qui avait la faculté de libérer les sens et de transfomer n’importe quelles femmes frigides en salopes assoiffés de bites. Monsieur Ben Khaled se regarda dans la glace une dernière fois et sortit de sa chambre.
Lady Kate Harrington, Ambassadrice de Grande-Bretagne en France, très élégante dans une robe fourreau discutait avec son homologue Américaine Sharon Brazzer. Mehdi les repéra immédiatement. Les pauvres étaient à ses yeux les deux cibles de premiers choix de son diner mondain. Sharon Brazzer était vétue d’un chemisier blanc nacré sur une jupe longue fendue légèrement sur le coté laissant apercevoir des jambes gainées de bas noir. Son Excellence se retourna. Le ministre des Affaires Etrangères de son pays d’hôte, la France, venait lui présenter sa femme. L’épouse du ministre était une jolie blonde, la soixantaine , vétue d’une robe noir moulant un corps encore admirable se dit l’Ambassadeur. Il lorgna ses jambes habillées de bas fumés allongées par la hauteur des talons de ses escarpins vernis.
Ben Khaled sourit. Il avait ses proies pour la soirée!
Les trois femmes, ignorant dans quelle traquenard elles vont tomber d’ici quelques heures, se comportèrent pendant le diner en parfaites représentantes de leurs pays respectifs.
Sauf Brigitte, la femme du Ministre, qui se contenta d’acquiescer a tous ce que disait son époux, ce qui était, après tout, le rôle d’une femme de ministre ou de Président.
1 Heure du matin. Les invités commencent à partir. Arrive la partie délicate du plan pervers de Monsieur Ümraniye travesti l’Ambassadeur : Manoeuvré pour que les trois femmes se retrouvent seules avec lui. Mais les sbires de Ben Khaled savent depuis le temps que Monsieur l’Ambassadeur organise des diners comment procéder. On vint chercher le ministre des Affaires étrangères qui était réclamé par le Consul d’un autre pays du Golf ami de Ben Khaled et qui allait l’occuper pour un bon moment. Kate et Sharon etaient venues seules à part l’escorte de leurs Secret Service, leurs gardes du corp.
Ben Khaled s’approcha des Ambassadrices qui était déja en train de demander leurs manteaux.
Puis je vous proposer un dernier verre?
Refus polis de ces dames. Ben Khaled usa alors du même subterfuge pour les retenir leur expliquant qu’il souhaiter s’entretenir en privé avec elles afin d’essayer de trouver une solution à une crise diplomatique grave.
Comment refuser?
Elles se dirigérent vers le salon particulier de l’Ambassadeur ou la femme du ministre avait déjà été conduite.
L’épouse du ministre c’etait vu offrir un verre d’un étrange breuvage des son entrée dans le salon particulier. Un liquide un peu orangée mais ce n’etait pas du jus d’orange. Un drole de goût, fort, mais pas de l’alcool. Elle demanda au domestique qui le lui avait apporté ce que c’était et il repondit que cela venait du pays de Son Excellence. Elle porta le verre à ses lèvres goutant le mystérieux breuvage. Pas mauvais, un peu fort peut être mais pas mauvais. Elle prit une autre gorgée….
Ben Khaled entre dans son salon particulier avec Kate Harrington et Sharon Brazzer surprise d’y retrouver Brigitte.
Brigitte qui commence a se sentir toute chose. Elle a chaud, très chaud d’un coup. Elle ne comprends pas pourquoi mais les pointes de ses seins se sont durcies tout seules lui faisant presque mal. Et elle sent la cyprine couler dans son string. Elle sert les cuisses, honteuse.
Ben Khaled offrit le même breuvage à l’Ambassadrice des Etats-Unis et à l’Ambassadrice de Grande-Bretagne qui trinquèrent. Mehdi Ben Khaled jeta un œil à la femme du ministre qui visiblement commence à ressentir les premiers effets. Elle n’arrête pas de croiser et décroiser les jambes dévoilant ses cuisses à chaque mouvement. Elle a un regard allumée, elle soupir bruyamment, elle a le rouge qui lui monte aux joues. Kate et Sharon ressentent les mêmes effets maintenant. Ben Khaled observa la très distinguée Lady Kate Harrington, issue de l’aristocratie britannique, qui commençait à se comporter Ümraniye travestileri comme une chienne en chaleur. Rouge de honte elle laisse faire Sharon Brazzer qui lui a dégagé ses seins de sa robe en lamé et lui mordille la pointe des seins tout en se carressant la chatte de sa main manucurée. Ben Khaled a une érection impressionnante en decouvrant ce spectacle érotique. Comme si Brigitte s’en était aperçu, l’épouse du ministre des Affaires étrangères se précipita, dégageant la bite dressée du smoking de Monsieur l’Ambassadeur. Elle plongea dessus avalant le sexe de Mehdi, léchant la hampe, titillant le gland d’une langue experte. Ben Khaled ordonna aux deux ambassadrices de venir lui suçer la bite et elles obéirent sans rechigner. Les trois femmes se disputent la queue de Ben Khaled. Brigitte s’active sur sa bite se faisant un devoir de le faire jouir la première, presque un devoir national, ce n’était pas à une Française qu’on allait apprendre à faire des pipes…
Ben Khaled souleva la robe de Brigitte dévoilant des bas auto-fixants. Il poussa Brigitte sur le canapé, cul tournée vers lui, baissa le string et s’engouffra dans la chatte brulante de la femme du ministre qui poussa un feulement rauque. La tenant aux hanches , il la pilonne violemment la faisant gémir. A coté d’elle, Kate bouffe la chatte de Sharon qui se tord sur le canapé en gémissant.
Kate fait coulisser ses doigts dans la fente de Sharon. Mehdi donne des coups de reins de plus en plus violent faisant hurler Brigitte.
Le bruit alerte les agents du Secret Service qui pénétre dans le salon malgré les protestations des domestiques de son Excellence. Ils restent sidérés en voyant leurs patronnes en train de se gouiner.
Ils se regardent se demandant quelle attitude adopté. A la demande de Mehdi, Kate et Sharon s’avancent vers les deux hommes à genoux. Elles sortents leurs bites et se jettent dessus, les suçant, leurs léchant les couilles, leurs titillant le gland….
Las de baiser la femme du ministre, Son Excellence , l’Ambassadeur Ben Khaled a mis à quatre pattes Lady Kate Harrington, sa robe toute tirebouchonnée autour de la taille dévoilant un porte-jarretelles bleu nuit ou sont accrochés des bas satinés. Echevelée, elle subit les assaut de l’Ambassadeur en hurlant…A coté d’elle Sharon qui n’a plus que ses bas noirs, est empalée sur la bite de John, son baby-sitters, elle monte et descend sur la queue luisante, faisant gigoter ses seins. Brigitte debout sur ses escarpins se fait défoncer par Steve, l’autre garde du corps. Travesti ümraniye Les cris des trois femmes emplissent la pièce…
Steve et John décidèrent de s’occuper de leur patronne. L’ambassadrice américaine Sharon Brazzer est empalé sur la bite de Steve pendant que John l’encule, alternant leurs coups de bites sans ménagement la faisant gueuler de plaisir….Kate est allongée sur le canapé gémissant sous les coup de langues de Brigitte qui lui lèche la chatte pendant que Ben Khaled l’encule sauvagemment.
Les trois femmes, éssouflées, épuisées, sont affalées par terre. Les trois hommes au dessus d’elle crachent leurs foutres. Des jets atterrissent sur le visage de Sharon et Kate qui en ont sur le front, le menton, les seins… Ben Khaled se masturbe au dessus de l’épouse du ministre des affaires étrangères et lui badigeonne le visage de son foutre….
Lady Kate Harrington proposa à son amie Sharon Brazzer de la raccompagner à l’Ambassade des Etats-Unis. Elles sont contente de s’en tirer a bon compte pas comme Brigitte. La femme du Ministre a été offerte par Son Excellence Ben Khaled , Grand Seigneur, à ses domestiques. Quand elles ont fui l’ambassade abandonnant lâchement la femme du ministre, celle ci était empalée sur une bite, enculée par une autre et en train d’en sucer une troisiéme…..
Elles arrivent devant la Rolls Royces Silver Phantom IV. Kate s’adresse à son chauffeur :
James, nous raccompagnons Madame l’Ambassadrice.
James est en train de discuter avec Steve et John, et ils rigolent bien en regardant une vidéo sur le portable de Steve.
– Eh bien, James! S’impatiente l’Ambassadrice de Grande-Bretagne, agacée.
Les trois homme s’approchent des deux femmes leur montrant la vidéo, que Steve a tourné discrètement pendant l’orgie avec Ben Khaled….
Les deux femme se regardent, blanche comme un linge, elles ont compris….
L’instant d’après, debout sur ses talons aiguillles, robe trousée, Kate se fait défoncer par son chauffeur alors que Sharon allongée sur le capot de la Rolls, les jambes posées sur les épaules de Steve se fait ramonner pendant qu’elle suce la bite de John…
Dans un pays du Golfe Persique, quelques mois plus tard….
Son Altesse, le roi Hussein Ben Yassin et ses invités, des dirigeants de différents pays du Golfe Persique finirent de regarder la vidéo sur grand écran tourné par des cameras très discrètes situé dans l’ambassade de Ben Khaled. Ils rigolent tous bruyamment. Ben Yassin tappa dans ses mains. Des serviteurs emmenèrent l’attraction de la soirée.
Lady Kate Harrington, vétue d’un corset en cuire ou sont accrochés des bas résilles. Les jambes allongées par des talons aiguilles et Sharon Brazzer vétue d’une guêpière noire et de bas couture apparurent.
Les hommes, une dizaine,se précipitérent sur leurs proies.
L’orgie commençait…