L’ouvrière Soumise Ch. 06
Au petit matin, je suis déjà dans la cuisine à préparer le petit déjeuné. Je repense aux aventures de la veille, encore toute retournée d’avoir autant joui avec mes amants, pour finir avec mon mari.
Ne serais-je pas allé trop loin et trop vite, mon comportement a vraiment surpris mon mari et maintenant je craints qu’il ne découvre mon secret.
Maintenant il me faut gérer les choses avec tact, je n’imagines pas comment il pourrait réagir en apprenant tout cela, je n’ai vraiment pas envie de le perdre.
De toutes les façons, dans l’état que je suis, je ne peux pas me contrôler, ces découvertes sexuelles me rendent folle.
C’est avec cette conviction que je fais couler le café.
– Bonjour mon amour.
– Déjà levé, vient boire un bon café.
Il ma prise par les hanches et assise sur ses genoux
– Vient là ma belle, hier soir tu as vraiment été merveilleuse, c’est quant qu’on recommence?
– Ho là, doucement! Tu deviens trop gourmand, tu vois c’est peut être pour ça que j’évite la chose, car vous les hommes plus on vous en donne et plus vous en voulez.
– Les hommes? C’est de moi qu’il s’agit, les autres je m’en fous, d’ailleurs que sait tu des hommes, tu n’a connu que moi.
– Oui! Cependant nous les femmes on sait bien comment vous êtes, tous les mêmes, vous ne pensez qu’a ça.
– Tu écoute trop tes copines, nous ne sommes pas tous pareils, moi je suis exceptionnel, non?
– Mais oui, mais oui, allez boit ton café, nous allons être en retard.
Je suis assez contente de moi, il ne se doute de rien et tout ce passe pour le mieux.
Comme à chaque fois, mon époux a été charmant avec moi, me voyant triste il cherche à me remonter le moral par tous les moyens, bien entendu il ne se doute pas une seconde du pourquoi et du comment. une petite tape sur mes fesses avec le bisou pour il me souhaite une bonne journée, mon homme part travailler le samedi.
Pour ma part, je termines quelques brins de ménage dans la cuisine lorsque la sonnette retentit.
– Dring-Dring.
– Oui j’arrive, juste un instant.
J’ouvre la porte pensant à une livraison quelconque et là quelle n’est pas ma surprise, Marcel est là devant moi, mes jambes se mettent à trembloter. C’est la gorge sèche que je réussis à balbutier :
– Bon… bonjour, tu… Tu es là?
– Cela ne te fais pas plaisir de me voir?
– Si, bien sur, mais je croyais que?
– Et bien tu me laisses entrer?
– Oui, tu veux un petit café?
– Non merci.
Il me colle une main aux fesses pour me pousser vers l’intérieur, sans se soucier si quelqu’un peut nous voir, il referme la porte, il me plaque contre le mur pour m’embrasser à pleine bouche.
Ses mains ne restent pas inactives car elles parcourent déjà mon corps en passant sous ma robe qu’il releve très facilement.
– C’est bien, je vois que tu es toujours bien disposée.
Je n’ose rien dire, trop étonné de sa présence.
Sa main passe doucement sur mon ventre en me procurant d’agréables frisons, puis il la glisse plus bas, encore plus bas pour venir me caresser la vulve.
Il semble surpris, il me chuchote à l’oreille.
– Hum? Je constate que tu cherche à me satisfaire. Personne ne peut rester insensible à tes charmes.
Je suis de nouveau en transe, telle ces gamines qui rencontrent leur premier amour, mon cœur bat fort, ma respiration s’accélère.
J’ai déjà oublié ce qu’il m’a obligé à faire hier après midi.
Le salaud il sait y faire avec les femmes car là c’est moi qui n’en peux plus, Marcel est sur de lui et fier de sa conquête, de sa possession.
Il a maintenant la garantie que je lui appartiens corps et âme, qu’il peut partir et revenir à sa guise et que je serais toujours là pour son bon plaisir.
Mon bassin ondule sous sa caresse cherchant à approfondir le contact de sa main sur mon sexe, je me tortille pour espérer un doigt dans ma fente qui bave déjà.
Comme si il a entendu mon supplice, d’un doigt agile il écarte mes lèvres, il se glisse pour me malaxer le bouton, déclenchant ces fameuses petites décharges électriques dont raffoles les femmes.
– Tu aime çà?
– Alors! J’ai rien entendu?
– Oui! J’aime! Ne t’arrête pas s’il te plaît.
Hors, le salaud fait tout le contraire, il stoppe sa caresse pour venir me saisir la gorge tout en me pelotant les fesses de son autre main, il approche son visage du mien et me dit :
– Tu le sais, tout dépend de toi et de ton obéissance.
– Tu obtiens déjà tout de moi, que veux tu de plus?
Comme pour m’amadouer, il repose sa main sur ma chatte, il fait vibrer ses doigts sur mon clito me provoquant des vagues de plaisir, j’avance aussitôt mon bassin en écartant au maximum mes cuisses pour me frotter contre sa main.
– Doucement, tu es trop pressé, l’impatience est un vilain défaut, si tu continues comme cela il va falloir que je te punisse.
Sa main posé sur ma fesse se décolle, Konyaaltı travesti elle me claque assez durement, puis elle recommence encore plus fort, propagent le bruit dans toute la maison.
– Aïe! Çà fait mal, je t’en prie.
Pour toute réponse il me pénètre brutalement avec deux doigts tout en appuyant fortement son pouce sur le clitoris, il me serre fort la fesse pour m’asséner de nouveau une tape très intense qu’il répète plusieurs fois pendant qu’il me lime avec ses doigts et me branle le clito.
– Et comme ça, tu supportes mieux la douleur?
Il me prodigue un savant mélange de douleur et de plaisir ce qui rend la fessée plus que supportable voir même agréable, c’est avec les yeux clos que je laisse la jouissance monter en moi
– Hum? Oui! N’arrête pas! Oui! Plus fort.
– C’est bon, hein? Tu aime ça les fessées?
– Oui! Ho oui! C’est bon!
C’est vrai que c’est bon, mais c’est plus cérébral que physique, le plaisir concentré sur le vagin est constant et monte très rapidement alors que la douleur sur les fesses est ponctuelle elle vient refroidir la monté du plaisir, tout cela permet d’atteindre un plaisir très intense et de le faire duré indéfiniment.
Sans la douleur j’aurais déjà jouis depuis longtemps, mais là non, j’ai l’impression de jouir en permanence entre chaque fessée, la jouissance repart de plus belle à m’en faire trembler les jambes et juste avant l’explosion fatale il m’assène une nouvelle claque brutale qui fait retomber l’extase.
Je suis en transe et lui continue à m’envoûter de mots crus.
– T’es trempé comme une petite pute, on dirait que tu aime çà? Tu veux que j’arrête?
– Non! Hum! Oui continue, je t’en prie
– Alors tu vas être très, très obéissante, n’est-ce pas?
– Hum! Oui! Tout ce que tu veux! Oui!
– Alors, tu vas nous invitez chez vous, Jean et moi, pour nous présenter ton mari.
Ai-je bien compris, l’esprit embrumé par les vagues de plaisir je n’ai pas saisie du premier coût.
– Hein? Oui! Tu veux quoi?
– Tu as bien compris ce que nous voulons.
En même temps qu’il me parle ses mains redoublent dans le labeur pour ne pas ralentir la cadence, il me maintient au bord de la jouissance.
Mais une mince lueur de lucidité me permet de dire timidement :
– Hum! Ce n’est pas bien! MMM! Je ne peux pas!
– Ne discute pas, tu dois obéir un point c’est tout.
– Non! Pas mon mari? Je t’en prie…
Il redouble d’efforts pour me faire jouir, il enfile maintenant plusieurs doigts dans ma chatte avec de rapides vas et vient qui me font couiner comme une pucelle.
– Alors je n’ai rien entendu?
– MMMM! Oui! Oui! Tout ce que tu veux!
– Quoi?
– Oui! Avec, mon mari à la maison! OUIII!
Soudain la main qui me claque s’arrête net, il la glisse entre mes fesses jusqu’à poser ses doigts sur ma rosette toute chaude, il glisse encore plus bas pour récupérer ma mouille baveuse et lubrifier mon petit trou qui se dilate déjà.
Tout en me branlant il appuie fermement un doigt sur ma corolle impudique, sans avoir à trop forcer la cavité s’ouvre pour engouffrer un, puis deux doigts qui aussitôt cadencent un vas et vient sur ceux qui me pénètrent devant.
Sensation exquise que cette pénétration simultanée des deux orifices, les doigts coulissent facilement dans chaque puits tellement je suis lubrifiée.
– Alors que vas tu faire?
– MMM! Vous invitez, à la maison!
– Voilà, c’est bien on y arrive.
Il accélère la cadence de part et d’autre, avec maintenant quatre doigts, il me pourfend la moule et trois autres qui m’enculent brutalement.
Je ne tiens presque plus sur mes jambes tellement c’est bon, écartant le plus possible mes cuisses pour lui faciliter la tache, je me sens écartelée et fouillée de toute parts, j’ai même cherché son visage pour lui sucer la langue.
Il répond à mon baissé baveux, langue contre langue nous mélangeons nos salives comme deux affamés.
– OUIII! C’est bon! Tu me rende folle!
– C’est bon de se faire mettre comme une pute?
– OH! Oui, c’est trop bon, fait moi jouir encore, je t’en prie.
– OK pour cette fois, mais si tu me contrarie encore?
– Non, je le ferais plus! MMM!
– Alors tient ma belle régale toi.
Soudain il coordonne les mouvements des deux mains pour que les pénétrations soient simultanés dans mes deux cavités, les doigts pénètrent et ressortent en même temps de chaque coté m’élargissant les chairs plus que nature.
Les sensations ce sont décuplé, douleur intense et vive que masque immédiatement les vagues de plaisir dévastatrices, il force la cadence, il tape de plus en plus fort contre mes organes libérant des flots de cyprine à chaque nouvelle pénétration.
J’entends les bruits avilissants de ma mouille qui trahissent mon état, ce qui rend la scène encore plus perverse et participe largement à la monter de ma jouissance.
Tout Konyaaltıi travestileri en m’embrassant et me pilonnant les parties intimes, il me dit :
– Ne te retiens pas, laisse toi partir.
Mes jambes flageolent sous les vagues de plaisir, je perds toute notion du temps et de la réalité pour me concentrer sur le plaisir, rien que le plaisir.
Elle vient cette putain de jouissance, puissante et dévastatrice, je jouis du cul et de la chatte en même temps, inondée par des flots de vibrations qui me font presque fait perdre connaissance, je jouis intensément pendant plusieurs minutes s’est physiquement épuisant.
– Et bien, heureusement que je suis là pour te retenir, tu ne fais pas semblant.
Cherchant à reprendre mon souffle et mes esprits, je me blottis contre lui en le tenant par le coup.
– Que me fais tu subir, t’es cruel avec moi
– Si c’est cela la cruauté, il me semble que tu aimes çà, non?
– Suis-je normale de jouir autant et si facilement?
– Je te rassure, toute à fait normale, cependant tu n’as encore rien vu car je compte bien utiliser tout ton potentiel et crois moi, il y en a.
Reprenant doucement mes esprits, je prends consciente de notre discussion pendant qu’il me faisait jouir, mon cœur si met à battre plus fort et d’une voix presque timide je lui demande :
– Tout a l’heure tu étais sérieux? Pour l’invitation à la maison avec mon mari?
– Tu doutes de moi, bien sur que c’est sérieux, pervers, mais sérieux.
– Mais je ne peux pas, comprends moi,c’est difficile, comment?
– Le comment ne nous importe pas, c’est à toi de faire ce qu’il faut, nous gérerons le reste.
Je te donne une semaine au maximum pour organiser cette soirée particulière, entre-temps je te souhaite une bonne journée.
Je suis encore nue, lorsque il ouvre la porte pour repartir sans ce soucié si quelqu’un dans la rue peut me voir, un claquement de portière et j’entends sa voiture s’éloigner.
Je reste là, seule pensant à comment je vais bien pouvoir me sortir de cette délicate situation, les inviter chez nous et leur présenter mon mari, mais ils sont vraiment fous, c’est tout simplement impensable.
Puis qu’est-que cela peut bien leur apporter, où veulent ils en venir, connaître mon mari pour quoi faire?
Maintenant que je ne suis plus sous l’emprise du plaisir ma conscience reprend sa lucidité naturelle. Je suis capable de mesurer les dangers d’une telle soirée il m’est donc impossible d’accepter leur volonté, il faud bien qu’ils le comprennent.
C’est avec cette idée rassurante que je parts au travail, déterminé à leur faire entendre raison, le plaisir oui, mais pas avec des risques inconsidérés.
J’ai une semaine pour leur annoncer mon refus, au bout du troisième jour je suis toujours sans nouvelle de Marcel, il attend sûrement ma réponse, mais je me dis, qu’il peut venir pour que l’on prenne un peu de plaisir car je suis de nouveau en manque.
D’un autre coté si je lui annonce trop vite mon refus, il se mettra peut être en colère et il diffusera le film de ma saillie, il m’a semblé très catégorique sur ce point, je ne veux pas courir ce risque.
Il faut que je trouve une excuse valable afin qu’ils comprennent que leur demande est déraisonnable et impossible à tenir. Deux jours après, toujours aucun appel et le vois plus à l’atelier. Je commence à angoisser, il me faut trouver une solution très rapidement.
J’ai toujours cette envie de sexe qui me tiraille de plus en plus, malgré mon mari qui me baise plus souvent, tellement je l’allumes, cependant cela ne me suffit pas, je veux aussi les intenses émotions que seul Marcel sait me prodiguer.
Le cinquième jour, j’en suis toujours au même point et aucune solution en vue, mais je suis tellement paniqué à l’idée d’accepter leur ultimatum, j’ai tellement peur que cela dégénère et d’en perdre mon mari ainsi que ma famille, que je ne peux que lui dire non.
Ma décision est définitivement prise, tant pis pour moi je me résigne à penser que tous ces délicieux moments de plaisir sont bel et bien terminés, que plus jamais une telle occasion de se représentera.
Après tout, ce genre d’aventures est faits pour les jeunes filles, pas pour les femmes de mon âge. C’est sûrement exceptionnel de vivre cela à plus de quarante ans, je pense qu’autour de moi, dans toutes mes connaissances, je dois être la seule à connaître çà, du moins je le pense et cela me permet d’avoir moins de regrets.
Perdue pour perdue, il me faut maintenant assumer ma faute, ça passe ou sa casse, ma seule chance est d’abdiquer et de me soumettre à sa volonté.
Dès le lendemain à la première heure mon portable vibre, nous sommes encore mon mari et moi au petit déjeuné, jetant un œil discret sur l’écran j’aperçois (numéro masqué) ce ne peut que être Marcel, je fais celle qui ne l’a pas remarqué.
– Chérie, tu ne réponds pas?
– Travesti konyaaltı Oui! Bien sur, qui peut m’appeler à cette heure?
Je dois être toute rouge car je ne m’attends pas à ce qu’il m’appelle dès le petit déjeuné et surtout avec mon mari à côté.
– Allô, Oui?
– Bonjour, comment allez-vous ce matin?
Prenant une voix surprise, je feins un tout autre dialogue.
– A bonjour Marcel, que me vaut ton appel?
– Je comprends que ton époux n’est pas loin, c’est plutôt excitant.
– Oui effectivement, cela peut l’être, si tu le dis.
– Alors où en sommes nous de notre petite affaire?
– Tout est OK, je te rappellerais dans la matinée.
– Tout est OK, tu en es sur ou je dois nous contacter ton mari?
– Non, je t’assure que tout le monde est d’accord.
Vite je raccroche pour que m’a gène ne soit pas trop visible.
– C’est qui cet appel?
– Marcel le chef d’atelier. Il y a un nouveau sous directeur qui vient d’arriver. Marcel veut que je passe cheffe d’équipe. Comme il est en ce moment célibataire géographique et qu’il ne connaît personne par ici. Alors, il m’a suggéré de l’invité manger à la maison un soir.
– C’est donc pour çà que tu veux les amadouer en les invitant à la maison, c’est çà?
– Oui, tu vois qu’en tu veux, tu pourrais être un bon commercial.
– Et bien organise cela au plus vite, nous allons les épater, tu va les éblouir, les hypnotiser, ils vont carrément tomber amoureux de toi tellement tu va les faire fantasmer.
– Ho la, doucement, ce n’est pas de la drague, ce n’est pas ce que je veux faire.
– Mon amour, tu n’y connais rien, ce sont des hommes, tout puissant qu’ils soient, ils ne peuvent pas rester insensibles aux charmes d’une belle femme, une fois qu’ils seront sous le charme tu pourras obtenir tout ce que tu veux de leur part, la place de cheffe d’équipe sera pour toi.
J’ai le sentiment qu’un piège sournois vient de se refermer sur moi, mon propre mari est entré tête-bêche dans le stratagème, c’est impossible qu’ils peuvent prévoir les réactions humaines à un tel point.
Connaissant mon époux il va leur préparer le grand jeu, rien ne pourra l’arrêter, je vois déjà à l’avance le tableau, il va falloir que je soit le plus sexy possible, la plus accueillante possible, souriante et très agréable avec nos hôtes.
Mon pauvre chérie, si tu savais, tu ne peux pas imaginer à quel point je suis soumise à ces deux hommes plus pervers l’un que l’autre, je ne sais pas ce qu’ils nous réservent mais si tu en rajoute de ton coté, je crains le pire.
Une fois mon mari parti au travail, je rappelle rapidement :
– Allô?
– Oui c’est moi, je te rappelle comme convenu.
– C’est très bien, je n’en attendais pas moins de toi, alors comment cela se présente?
– Plutôt bien, j’ai réussi à le convaincre, il croit que vous êtes, toi chef d’atelier et Jean sous directeur nouveau dans la région.
– Oui c’est bien çà, très bonne idée, plutôt excitante.
– Je dois vous inviter un soir à la maison pour ma promotion au poste de cheffe d’équipe.
– Bien, alors organisez cela au plus vite car j’en connais un qui s’impatiente.
– Que diriez-vous de ce mercredi soir? – Nous préférons le samedi soir, nous serons ainsi plus détendus les uns et les autres, c’est le week-end et la soirée peut s’éterniser tard dans la nuit, qu’en dite tu ma chère?
– Ben? D’accord pour samedi soir, vingt heure, çà vous va?
– Bon pour vingt heures, à très bientôt!
– S’il vous plaît, ne faite rien de mal, je ne veux pas le perdre.
– Jusqu’à ce jour, est ce que nous vous avons fait le moindre mal?
– Non…mais…
– plutôt du plaisir, beaucoup de plaisir, cela fait partie de ton éducation, tu as encore beaucoup d’étapes à franchir, laisse toi aller et fais nous confiance.
– Oui? D’accord, alors, à samedi.
Ils veulent que je leur face confiance, facile à dire car ils m’ont bien piégé avec ces photos, comment pourrais-je les croire maintenant? De toutes les façons je n’ai pas le choix il me faut exécuter leur volonté et préparer cette fameuse soirée pour le samedi suivant, soit dans trois jours.
J’ai peur et je suis néanmoins très excitée par une telle situation, cela me rappelle un peu cette après midi où Marcel m’a dévergondé, que Jean et son chien mon saillie pour la première fois.
Je me rappelle bien de cette puissante excitation pendant qu’ils abusaient de moi, ce mélange de peur et de plaisir était d’une puissance extraordinaire.
Depuis il m’a fait découvrir d’autres formes de plaisir et à chaque fois cela à été très intense, je me découvre des limites inavouables pour une femme mariée, jamais je n’aurais pu penser assouvir autant de perversités, je dois avouer que j’y prends de plus en plus de plaisir.
Malgré mes craintes et le fait d’avoir tenté d’éviter cela à tout prix je suis presque heureuse que l’échéance fatale approche, soit pour en finir soit pour l’immense plaisir que je vais en retirer.
En plus la présence de mon mari augmente les risques de cette soirée sans le savoir, alors là je vous avoue que mon excitation est à son comble, je sens le plaisir monter en moi avec une irrésistible envie que l’on me fasse du bien.