mia 4 – La route des vendanges.

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mia 4 – La route des vendanges.La cage s’ouvre.J’arrive dans la cuisine. Marthe et Janine sont là. Comme d’habitude, Marthe passe la main sous ma jupe pour vérifier que je n’ai pas de culotte et que “mes fesses sont à sa disposition”, comme elle dit. Elle sent la courroie de cuir entre mes cuisses et mes fesses. Elle relève ma jupe, “Qu’est ce que c’est ce machin?”. Moi, je bredouille ma petite histoire, Madame s’est plaint que je léchais mollement, du coup Mademoiselle Iris m’a punie et m’a obligée à porter cette ceinture de chasteté et d’ailleurs, voilà la clé que je dois vous donner Madame Marthe, pour l’ouvrir quand je dois faire pipi et, s’il vous plait, je dois faire pipi très fort. Je me trémousse pour montrer à c’est pressée. Il faut un moment pour que le cerveau, un peu embrumé de Marthe, gère toutes ses informations! Je m’attends à devoir supplier, d’autant plus que Janine a son sourire des mauvais jours, ravie de ce qui m’arrive. Elle ne va pas rater une telle occasion de me tourmenter, jalouse comme elle est. Mais, ça ne plait pas du tout à Marthe cette histoire de ceinture. Elle dit, “Cette Iris, elle a un grain!”. Elle ouvre la ceinture, “Va pisser”. Je cours dans le jardin et je m’accroupis sur la pelouse. Pppppffff, ça fait du bien…. J’arrache une touffe d’herbe pour m’essuyer et retourne dans la cuisine. La ceinture de chasteté est au milieu de la table entourée de tasses de café, d’un sucrier et d’une cafetière thermos, ça fait un curieux ensemble. Je regarde Marthe, “Tu ne dois pas la remettre.” me dit-elle, “Ici, je dois pouvoir accéder à ta chatte directement!”Arrive le facteur, très copain avec Marthe. C’est un gros homme jovial qui a l’accent du terroir. Il dit bonjour à Marthe, puis à Janine et moi. Il a dû me voir en arrivant car il me dit, “Tu pisses dans le jardin, maintenant?”. Alors Marthe lui montre la ceinture de chasteté et lui explique l’histoire. Il ouvre de grands yeux le facteur. “Elles ont de drôles de jeux les patronnes.” dit il. Mais bon, il n’est pas trop surpris car Marthe lui a déjà parlé des soirées libertines qui se passaient à la villa, enfin, elle, elle dit les partouzes. “Tu comprends, Madame veut que j’éduque cette petite (c’est moi), alors quand elle est fait une connerie, je lui donne une fessée, j’ai pas besoin d’une ceinture de chasteté dans le chemin.” Ah ça, ça l’intéresse. Il demande, “Sérieux???? Tu la fesses vraiment?” “Bien sûr et pas qu’un peu, mais çà se passe le plus souvent le soir quand on fait la cuisine.” Janine confirme, “Ah ça, pour ce qui est de lui faire passer les fesses au rouge, Marthe est championne”. Le facteur a une grosse envie d’assister à une fessée! Il trouve un truc, “J’peux pas le croire! Je te parie 50 balles, que tu la fesses pas devant moi.” Marthe n’est pas dupe de la manoeuvre, mais d’une part elle adore me fesser!! Et, d’autre par, 50 balles, c’est toujours bon à prendre!Elle crache dans sa main (c’est gracieux!) puis la tend au facteur. Tope là! “Viens ici Mathilde,” me dit-elle en montrant ses genoux, “Une fessée de grand matin, ça te changera.” Je sais que c’est inutile mais je dis quand même, “Mais j’ai rien fait Madame Marthe!” “Ça t’incitera à faire des efforts! Tu obéis immédiatement ou je prends la cuiller en bois!!” Non, pas la cuiller! Résignée, je me couche en vitesse sur ses genoux. Elle relève ma jupe. Mes fesses sont nues. “Vingt dju!”, dit le facteur, “le joli petit cul”. Marthe lève la main et me fesse à grandes claques retentissantes, et ça dure, ça dure… A la fin je pleure et je la supplie d’arrêter. Elle me garde sur ses genoux. “Viens mettre ta main. Tâte comme c’est chaud!”, dit-elle au facteur. Je sens une grosse pogne qui vient me caresser les fesses. “Plus de fessée, je vous en prie, Madame Marthe.”, je gémis. Ils rigolent tous les trois. “Elles sont brûlantes!”, dit le facteur. Janine aussi viens me tâter et en profite pour me faire la leçon, “Tu vois ce qui arrive quand on n’obéi pas assez vite!”. Je dirais bien, “Mais j’ai rien fait”, mais bon je dis, “Oui Janine”. Marthe qui veut montrer quelle autorité elle a sur moi dit, “A partir de maintenant tu diras, Mademoiselle Janine.” “Oui Madame Marthe, oui Mademoiselle Janine…” Marthe me relève, coince ma jupe sous ma ceinture et m’envoie “au coin” comme elle fait parfois quand il y a du monde dans la cuisine. Elle veut en mettre plein la vue au facteur. Justement, il se manifeste, celui là, “Je vais avoir du mal à continuer ma tournée!” dit-il. “Ben, pourquoi?”, demande Marthe. Je me retourne un peu et je vois du coin de l’œil, qu’il montre une grosse bosse dans son pantalon. “C’est la faute à Mathilde”, dit Janine en riant! Ben voyons! Marthe me dit, “Viens ici, toi. Tu vas sucer le facteur!” Je vais vite m’agenouiller entre ses jambes Son sexe dodeline sous mon nez. Marthe me prend par la nuque et fourre mon visage dans les poils, “Lèche bien ses couilles!”. L’odeur est forte, mais nettement moins que celle du jardinier. Je lui lèche les couilles à grands coups de langue. Il manifeste sa satisfaction en me caressant la tête. Le bout de son sexe est tout mouillé d’excitation. Je le lèche, puis je tire la peau du prépuce…Là, l’odeur est très forte, autant le prendre en bouche tout de suite… et m’appliquer. Je le suce et je fais des” va et vient” jusqu’au fond de ma gorge. Il apprécie, “Ah elle sait sucer une queue la petite salope, pour sûr”. Il pousse des grognements de satisfaction. Rapidement, je sens güvenilir bahis son sexe se gonfler…Il dit, “Je vais tout lâcher… “. Marthe rit et lui dit, “Vas y, elle avale bien!” Ça y est, ça gicle dans ma bouche…Oulah!! C’est abondant! Heureusement que je sais avaler par saccades, mais malgré ça, ce n’est pas facile, je m’étrangle un peu et du sperme me ressort par le nez. Pour finir, je presse son sexe de la base vers le gland et je lèche les dernières gouttes. Je regarde Marthe elle me fait signe de la tête, “C’est bien”. Je lève les yeux vers le facteur et je dis, “C’était bien Monsieur le facteur?” Il me tapote la joue, “Très bien mon petit, j’aurais pas cru que tu avalerais tout”. Marthe rigole “Elle a pas envie de se faire fesser une deuxième fois…” A ce moment, une sonnerie retenti : 3 coups, ça veut dire “Mathilde chez Madame, schnell!!” Je me relève et demande à Marthe, “Je peux dire à Madame que vous ne voulez pas que je mette la ceinture, Madame Marthe?” “Oui.” Je dis au revoir au facteur. Je l’embrasse sur la joue. Il en profite pour tâter mes fesses encore toutes chaudes. Il aura de quoi raconter à ses copains à l’heure de l’apéro! “Allez grouille-toi”, dit Marthe. Je me dépêche de monter en pensant à ce que je vais raconter. Mais, quand j’arrive dans la chambre de Madame, elle est occupée à remplir un sac de voyage. “Je dois m’absenter d’urgence 2 ou 3 semaines.”, dit-elle. “Avec moi Madame?” “Non ce n’est malheureusement pas possible, toi tu vas partir avec Iris.”Oh, non, Madame, elle est…” Elle lève la main et m’envoie une bonne paire de gifles, “Pour t’apprendre à discuter”. Ouch!! Je me frotte les joues. Celles là, je les ai bien cherchées. Non seulement, j’ai les fesses toutes rouges mais les joues aussi maintenant. “Maintenant, va faire ton baluchon. Je reviens bientôt, sois sage avec Iris.”Elle s’en va!…J’arrive dans ma chambre, Iris est déjà là. Je lui dis, “Euh…bonjour, Mademoiselle Iris.” “A partir de maintenant, moi c’est Iris et toi c’est mia, Mathilde ça ne me plait pas!” Ah?? Voilà que je récupère mon nom. Iris sort de son sac un short en jean, un tee-shirt et des baskets. “Met ça!” dit-elle. Je me change. Je lui dis comme à Madame “Vous n’allez pas me punir comme le samedi… euh… Iris?”. Et elle me répond, “Tant que tu m’obéis, non. Allez on y va!” J’ose demander, “On va où?” “Tu verras…”Bien sûr!! On quitte la maison rapidement. La voiture de Madame est déjà partie… ça ressemble à un naufrage… les rats quittent le navire. On marche rapidement et on prend un bus qui nous amène dans le centre. Puis un autre jusqu’au nord de la ville. Iris a l’air tendue, elle ne parle pas. On va se poster près d’une bretelle vers l’autoroute A 6, pour faire du stop. Le stop, je connais et quand j’ai un short et rien en dessous de mon tee shirt, à part mes nichons, je suis super bonne! Un camion, puis un autre s’arrêtent assez rapidement, mais la tête des chauffeurs ne doit pas revenir à Iris. Elle leur demande, “Vous allez à Paris”. Ils font tous les deux une tête, genre “Aah! Les femmes!!”, “C’est la direction de Marseille, ici, Paris, c’est dans l’autre sens.” Enfin, un troisième chauffeur lui convient. Il faut dire qu’il n’est pas mal. C’est un Maghrébin d’environ 25 ans. Il nous fait un grand sourire et dit, “2 fleurs sur le bord de la route…”. Iris lui répond, “Comment avez-vous deviné? Je m’appelle Iris, un nom de fleur!” Elle y va fond, Iris! “Je ne me demande pas mieux.” dit-il. On grimpe dans le camion et on entre rapidement dans le tunnel de Fourvière. Iris discute avec lui, moi je somnole… La chaleur et les vibrations d’un camion ça me fait cet effet là. Je regarde Iris, en douce. J’ai des raisons de ne pas trop l’aimer, mais je crois qu’elle jouait le rôle que Madame lui avait assigné. Elle me plait assez, c’est une brune avec des yeux aussi sombre que ceux de notre chauffeur. Elle est assez grande, enfin par rapport à moi. Elle a de petits seins et un joli cul. Physiquement, on se ressemble, sauf la couleur des cheveux et des yeux, mais Iris elle a 2 grandes qualités : elle est très extravertie et elle n’a pas peur de grand chose. Je m’apercevrai encore davantage de tout ça par la suite. Dans ces deux domaines, je ne lui arrive pas à la cheville… Je ne fais pas attention à ce qu’ils disent, sauf quand j’entends, “Si tu nous invites à manger ce midi, la petite te suce!”. Là, je suis réveillée. “Sérieux?”, me demande le chauffeur en se tournant vers moi. Iris me donne un bon coup de coude. “Oui Monsieur…”. Il est surpris…agréablement. “Je m’appelle Jalil.”, dit-il, “et c’est d’accord, je vous invite et tu me suces. Je vais m’arrêter dans un parking un peu plus loin”. Il va se garer assez loin des autres camions. Iris reste sur le siège avant et Jalil et moi passons sur la couchette juste derrière. Ce n’est pas très grand mais suffisant pour une partie de jambe en l’air ou…une pipe. “Déshabille-toi”, me dit-il. C’est vite fait : short, tee shirt et baskets font un tout petit tas. On s’embrasse… sa bouche est agréable… Il me caresse les seins, me met un doigt dans la chatte et constate que je suis… prête à accueillir un visiteur, genre une bite! Il descend la tirette de son pantalon et sors un sexe qui se dresse vers moi. Belle bête! Et, il est circoncis, ce que je préfère avec un inconnu. Je descends un peu son pantalon et son slip et embrasse son ventre plat, ses cuisses… ses couille, puis je le prends en bouche. Iris nous türkçe bahis regarde et demande, “Elle suce bien?”. “Comme une vraie pute!”, dit-il. Je continue un moment, son sexe me plait…Il me caresse la joue. La main d’Iris vient interrompre nos…jeux. Elle dit à Jalil, “Tu viens d’Afrique du Nord?” J’arrête de le sucer… Il est surpris, moi aussi. Il répond, “Oui, je viens d’Algérie.” “Alors, imagine que tu es le sultan d’Alger et elle, une esclave que tu viens d’acheter dans un lot! Tu te dis, j’enculerais bien cette petite…” Le sexe du gars que je tiens en main s’était ramolli, mais soudain, il se redresse. Iris lui dit encore, “Elle vient de te cracher à la figure, cette chienne d’infidèle! Encule-là!” Il fait une drôle de tête, Jalil Iris me dit, “Allez, en position, esclave!!”. Pffff… Je me mets à genoux, le front sur mes mains croisées et je tends mes fesses. “Oh, elles sont toutes rouges!”, dit-il. “Elle a pas été sage!”, répond Iris. “Ah bon d’accord”. Je le sens contre moi et son sexe vient contre mon anus. Heureusement que je l’ai bien mouillé de salive. Surtout ne pas me contracte, quand il va me pénétrer! “Allez sultan,” dit Iris, “Encule ton esclave!!” Oooooouuuccchhhhhh!!! Son sexe m’empale… Je gémis, “Doucement, Maître…”. Il me baise à grands coups de reins, ses couilles viennent claquer sur mes fesses rouges et moites… Je reste prudente dans la façon de m’offrir, car son sexe est un gros modèle. Iris s’en aperçoit et me dis “Creuse les reins petite conne et participe!”. Ok, ok… Je réponds à ces coups de reins… Iris glisse sa main sous moi et me frotte la région du clito du dos de la main. Jalil me prend bien par les hanches!! On monte ensemble, son sexe gonfle dans mon cul, tandis qu’un orgasme se forme en moi… Au moment où je sens son sexe envoyer du sperme dans mes profondeurs, ou je l’imagine, je jouis sur la main d’Iris! On reste un peu en connexion… puis il se retire. Iris me regarde et me dit d’une voix dure, “Nettoie les saletés que tu as laissées sur la bite de ton maître, esclave!”. Sale garce!! J’aime pas “ça” du tout, mais bon, c’est le sultan après tout et moi une chienne d’infidèle. Je me penche sur son sexe et le lèche, il est enduit de sperme et il a à peine un goût un peu amer. Je le lèche jusqu’à ce qu’il soit tout propre. Jalil dit, “Vous avez des drôles d’amusements, les filles!” “Ça t’a plu?”, demande Iris. Le gars répond avec conviction, “Terriblement!!” On se rhabille et on reprend nos places sur le siège avant. Tout ce sperme en moi ça fait un peu comme un lavement. Je dis à Iris, “Je voudrais aller à la toilette à la pompe “. “Pour pisser?”, demande t-elle. Mais, qu’est ce que ça peut lui foutre? “Non c’est le sperme qui me donne vraiment envie de…de…”. “Chier?”, propose Iris. “Euh…oui.” “Ben non!” dit Iris, “Ton Maître te fait l’honneur de jouir dans ton cul et toi tu voudrais l’expulser le plus vite possible? Tu veux te faire fouetter?” Jalil s’y met lui aussi et il dit en riant; “T’as qu’à serrer les fesses!” Heureusement, une fois assise, ça va mieux. Bon je me trémousse un peu… ce qui me vaut un, “Tu vas arrêter de gigoter, oui?!!” On roule. “On est bientôt à la station où je vous invite.” dit Jalil. Chouette, j’ai faim… et puis il y aura des toilettes. Mais bon, j’ai pas envie de prendre une claque…. On arrive à la cafeteria de la station d’essence. Je regarde Iris avec des yeux suppliants. “Qu’est ce que tu as, à faire cette tête?”, demande t’elle agacée. Je mets une main sur mon ventre, “Je dois aller à la toilette, je vous en prie…”. Elle me fait un signe de tête… Ouf! J’y cours. Ensuite, je les rejoins au self service. On choisit un plat chaud, une boisson et Jalil nous offre même un dessert. Après avoir mangé, il nous donne son adresse à Trappes près de Paris. Iris lui dit qu’on passera sûrement le voir, dans le courant du mois prochain. “Vous êtes vraiment fauchée?”, demande Jalil, “Je peux vous prêter une peu d’argent.” Elle le remercie, “C’est gentil, volontiers.” Il demande, “Et sinon, comment tu vas faire?” Iris explique, “J’ai mia, je vais la louer, la faire travailler!” “Ça te plait de te faire exploiter?” me demande Jalil. Elle ne va pas me gifler en public!! Alors je fais non, avec la même tête que la petite marchande d’allumettes, le soir de Noël. Iris me dit, “Parle!” Je fais un, “Oui…”, minuscule. Jalil veut en savoir plus, “Tu lui fais vraiment faire ce que tu veux?””Oui, elle m’obéi. Elle est en fuite, n’a pas de papier d’identité, pas d’argent, pas le droit de poser de questions et en plus elle doit sourire sinon elle va se prendre une claque dans pas longtemps!”. Je fais vite un grand sourire. Jalil demande encore, “Elle n’a pas du tout d’argent?” “Non, je ne lui donne rien!” Jalil me demande, “Comment tu as fait, pour payer pour la toilette?” “J’ai demandé à un monsieur”. “Elle est mignonne, hein?” dit Iris en rigolant, “Sérieusement, je vais la faire travailler, genre, poser pour des photos ou travailler dans un peep show.” “Oh putain cette idée me fait rebander, les filles!”, dit Jalil. On a plus le temps de profiter de la nouvelle érection de Jalil. Il nous dépose à la sortie Chalons sur Saône et nous laisse sur le bord de l’autoroute. On s’embrasse, on se promet de se revoir. On voit son camion qui remonte sur l’autoroute.” On fait du stop, une voiture s’arrête.” On va à Saint Désert.” dit Iris. Saint Désert c’est un bled… De là on refait du stop et on arrive en pleine campagne güvenilir bahis siteleri devant un genre de château ou de manoir entouré de vignes… “On va faire les vendanges.”, dit Iris, “Ici on ne viendra pas nous chercher!” Je comprend que c’est surtout, elle et Madame qui sont recherchées!” me dit elle. Derrière le château, il y a des bâtiments plus modernes. On va se présenter au contremaître. Il prend nos noms, vérifie nos âges, c’est Iris qui a ma carte d’identité et qui la garde. Le contremaître appelle 2 jeune gars pour qu’ils nous fassent visiter. Ils sont sympas. Ce sont des étudiants comme pas mal de jeune qui sont ici. Les dortoirs ne sont pas luxueux mais ça nous convient. Peu de temps après, à 19 h, c’est le repas. Sympa aussi, il y a des jeunes qui viennent de tous les coins de France. Plus de garçons que de filles parce qu’ils nous disent que c’est un boulot dur, même très dur. Le vin est à volonté… L’ambiance décontractée. On fait connaissance. Le lendemain à 7 h, un réveil sonne, on gueule “Debout! C’est l’heure”. Toilette sommaire et commune. Petit déjeuner rapide et on attaque les vendanges. C’est simple : avec un sécateur on coupe la base de la tige et on jette la grappe de raisin dans une hotte. Simple oui, mais il fait très chaud, on est souvent penché et on doit faire ça pendant huit heures. C’est crevant! Bon, on s’arrête pour boire ou pour discuter un peu… mais, le contremaître surveille et nous rappelle à l’ordre. Iris discute avec lui, il a l’air très intéressé. Qu’est ce qu’elle peut bien lui raconter?? Le repas du midi et du soir permettent de décompresser, mais je ne pense qu’à une chose : dormir. Iris n’a pas l’air de trouver ça dur. Il faut dire qu’elle continue à discuter avec le contremaître. Elle disparaît même au bout d’un moment. Quand elle revient, elle me dit, “Je vais travailler dans les bureaux.” Toi, tu fais ton boulot convenablement et je te dirai quand on repart.” Bon, qu’elle aille dans les bureaux, j’aurai la paix! Il y a un garçon qui me plait. Il a un accent du Sud, il est beau et énergique… mais jeune, très jeune, c’est-à-dire le même âge que moi. Je préfère les hommes plus âgés. Ce qui nous a rapproche, c’est une guêpe… Bon, j’adore les animaux, même les insectes, mais les guêpes, c’est limite. A 6 ans je suis tombée dans un nid de guêpes, de quoi s’en souvenir toute sa vie. Je coupe mes grappes de raisin, quand soudain, je ressens une vive douleur au ventre! En me pliant, j’ai coincé une guêpe sur mon ventre et elle m’a piquée. “Saloperie!!”, je gueule, “Elle m’a piquée”. Le garçon du Sud accourt. Je lui montre l’endroit : en dessous du nombril. Il se met aussitôt à genoux et me suce!! Instantanément la douleur disparaît (authentique!). Il a fait ça tellement rapidement qu’il a aspiré tout le venin, qu’il recrache ensuite… “C’est comme ça qu’il faut faire”, me dit-il, “mais il ne faut pas avoir de blessure dans la bouche”. “Oh! Merci de m’avoir sucée!”, je lui dis et je l’embrasse… à côté de la bouche… à cause du venin! Sa bouche sur mon ventre moite ça m’a émue et lui aussi manifestement. Après ça, il me demande à plusieurs reprises si ça va. On échange des regards chargés de messages, genre, moi, “ça m’a plu ta bouche sur mon ventre”. Lui, ” mmmhhh… j’aime le goût de ta sueur!”. Ben oui, un garçon qui vous suce et vous sauve quasi la vie, ça crée des liens!! Le soir, malgré mes douleurs dans le dos, les bras et la main droite, celle qui tient le sécateur, je lui dis, “Si tu veux, tu peux me rejoindre…” Une fois qu’on a éteint, il est vient dans mon lit… Il a relevé mon tee-shirt et se colle à moi. Sa peau contre la mienne c’est très excitant “Fais ce que tu veux…”, je lui dis, “mais ne m’en veux pas, si je ne participe pas beaucoup, je suis épuisée”. “Dors ma belle.” il me répond à l’oreille. Je suis sur le côté et il se couche derrière moi. Il me fait l’amour tout doucement. Je suis à moitié endormie et je me laisse faire. Je joui un peu, comme dans un rêve humide. Je ne le sens pas senti repartir. On passe les deux journées et les deux nuits suivantes, ensemble. La nuit, on fait l’amour tout doucement et sans bruit pour nos voisins. Le dernier soir on le fait dans la position du missionnaire. Nos deux corps pressés, collés de la tête aux pieds, on s’embrasse. Je soulève les jambes et j mets mes talons sur ses fesses. De cette façon il me pénètre au plus profond. Mmmmm, c’est exquis!! On joui, silencieusement, bouche contre bouche, mélangeant nos salives et nos humeurs intimes. Hélas, notre histoire se termine car le lendemain, il doit repartir. Il m’invite chez lui, quand j’aurai fini les vendanges. Voilà, abandonnée par Iris et puis séduite et abandonnée par mon suceur de venin… J’ai le blues! Je travaille mollement dans les vignes. Les autres me font des remarques… M’en fous! Le contremaître, le “chef “, vient, lui même, me réprimander d’abord, m’engueuler ensuite… M’en fous… “Je me suis fais mal aux reins!”, je lui dis. Il revient avec Iris furieuse. Elle me dit, “Et, alors???”. Je geins, “Je me suis fait mal aux reins…” Iris et le chef vont discuter quatre filles qui travaillent un peu plus loin. Ce sont des filles du coin, filles de paysans, sans doute. Elles, les vendanges, elles font ça depuis qu’elles sont petites et elles regardaient de haut ces “parisiennes” qui savent à peine manier un sécateur. Je vois qu’Iris leur parle de moi… Je sais que ça va… chier!! J’aurais dû m’en douter et faire semblant! Le chef vient me chercher, fermement… par l’oreille. “Aïe! Aïe! Vous me faite mal chef!!” Il me remorque de cette façon jusqu’au groupe de filles, ravies de me voir arriver vers à elle comme une gamine insupportable! A suivre.