Safari De Dépravation – Ch. 01

Amateur

« Safari de dépravation »

Œuvre originale : « Safari of depravity », de Scatwoman, traduite et publiée en français par sissy Hélène314 avec l’aimable autorisation de l’auteure.

Vous pouvez contacter Scatwoman pour lui faire part de vos commentaires (en anglais).

Vous pouvez aussi commenter mon travail ci-dessous (ne soyez pas trop sévères s’il vous plaît c’est ma première traduction et je suis loin d’être un professionnel ou un écrivain, je fais ça à mes heures perdues)

Partie 1 : « les jeunes mariés »

Hannah et Dylan étaient mariés depuis deux semaines quand ils arrivèrent au Congo pour y passer leur lune de miel : un safari. Hannah était une anthropologue et s’était spécialisée en cultures de l’Afrique subsaharienne. Dylan était un planificateur financier qui ne manifestait aucun intérêt pour la culture ou l’anthropologie, mais que sa femme chaude comme la braise menait par le bout du nez. Il avait donc accepté de partir en safari quand elle lui avait promis que cela l’exciterait tellement qu’ils baiseraient sans cesse. Ce seul argument avait suffit à Dylan pour qu’il accepte cette lune de miel insolite avec sa fiancée généralement peu portée sur le sexe.

Dylan s’était toutefois montré un peu hésitant sur le choix du Congo, car il avait entendu parler d’un état constant de guerre civile là-bas. Il lui semblait que sa femme choisissait l’un des endroits les plus dangereux du monde pour leur lune de miel : l’est du Congo. Mais Hannah lui avait assuré que la région qu’ils visiteraient était encore très primitive et que la guerre ne s’était pas étendue jusque là. Elle l’avait accusé d’être xénophobe (voire raciste!) en présumant que toute l’Afrique était une zone de guerre. Si elle avait choisi cette destination, disait-elle, c’était qu’elle avait lu au cours de ses études des rumeurs au sujet d’une tribu isolée dans la jungle de l’est du Congo, une tribu qui n’avait jamais croisé un homme blanc! Les membres de cette tribu étaient supposés être l’un des groupes ethniques les plus grands et les plus forts d’Afrique. En tant qu’anthropologue, elle n’avait pas pu résister à l’envie d’établir le premier contact.

Leur projet de lune de miel défini, ils s’étaient mariés. Deux semaines plus tard, le couple partait au Congo. Hannah voulait exciter Dylan et portait toujours des vêtements très provocants. Un jour, elle avait mis un short si serré et si minuscule que Dylan devinait sans peine le contour de sa vulve et pouvait admirer son cul moulé. Ce jour là, quand Hannah s’était assise, elle avait levé une jambe sur sa chaise pour que Dylan ait une vue claire sur sa chatte serrée dans son minishort, presque dévoilée sur les côtés, le long de ses cuisses.

Le jour de leur mariage, Hannah avait été sublime, magnifique. Elle était l’idéal parfait de la belle mariée toute de blanc vêtue. Elle était originaire du nord de l’Europe, et en avait les traits caractéristiques. Ses cheveux blonds presque platine dans un style relâché et féminin. Sa peau rose pâle et ses sensuelles lèvres rouges. Ses longs cils entourant ses yeux bleus ciel dont la teinte se fonçait autour des pupilles. Elle était absolument enchanteresse. Dylan, lui aussi, avait le teint clair. Ses cheveux blonds étaient d’une nuance légèrement plus foncée que son épouse, ils étaient coupés courts et formaient une raie sur le côté, une coupe garçonne qui le faisait paraître très jeune. Lui avait aussi les yeux bleus, mais d’un bleu plus profond que sa femme. Ensemble, ils formaient le parfait couple blanc.

Leurs parents respectifs avaient tous approuvé cette union. La mère d’Hannah, Heidi, était très conservatrice et religieuse, une femme chaste pour peu qu’il y en ait. Elle aurait été scandalisée par la sexualité provocante d’Hannah et sa perversité dans la chambre à coucher. Le père d’Hannah, Fritz, approuvait le choix de sa fille en raison de l’argent et de la couleur de peau blanche de Dylan. Fritz ne croyait pas au mélange des races et à la dilution de ce qu’il pensait être les gènes supérieurs de la race blanche avec les « gens de la boue », comme il les appelait. Dylan était gêné par un tel discours, lui qui avait été élevé de manière plus tolérante. Si le racisme du père d’Hannah mettait Dylan mal à l’aise, il enrageait vraiment Hannah. Elle se mettait en colère chaque fois que Fritz disait de telles choses et père et fille se criaient dessus pendant plusieurs minutes avant que l’un d’eux ne quitte la pièce en claquant la porte. Inutile de dire que Hannah ne tenait aucun compte de la vision du monde de son père. Sa mère, traditionaliste, ne contredisait jamais son mari et restait en dehors de ces disputes, même quand Hannah la suppliait de raisonner Fritz.

De son côté, le père de Dylan, Kurt, l’avait félicité pour avoir séduit une femme au corps aussi parfait. C’était un vieil homme sale à l’œil pervers et aux mains baladeuses. Un jour, il avait saisi le cul rebondi d’Hannah, qui l’avait grondé en gardant le sourire. Il avait dû prendre cette réaction pour une incitation Pendik travesti au flirt, car dès lors, il n’avait pas cessé de le refaire, encore et encore. Cela avait terni la relation entre Hannah et le père de Dylan, et depuis, elle refusait de l’approcher. Elle avait dit à Dylan que la seule pensée de ce vieil homme sale promenant ses mains sur elle la rendait malade et la dégoûtait tellement qu’elle perdait toute libido quand il était dans les parages. Inutile de dire que Dylan avait dès lors gardé Hannah aussi loin que possible de Kurt. Hannah n’avait pas eu de relations sexuelles avec Dylan avant leur mariage, prétextant son éducation traditionnaliste. Elle se comportait pourtant d’une toute autre manière avec Dylan, l’excitant sans pitié, se doigtant devant lui et lui demandant de se branler en la regardant ou en lui broutant le minou. Son truc préféré était que Dylan lui embrasse le cul pendant qu’elle se masturbait. Et elle avait un cul parfait!

La mère de Dylan, Emma, vivait dans le déni complet du comportement inapproprié de Kurt, écartant les reproches de Dylan à ce sujet et changeant brusquement de sujet si quelqu’un d’autre en parlait plus directement. Elle avait cependant manifesté un grand enthousiasme pour l’union de Dylan et Hannah et ne cessait de s’extasier sur les jolis bébés aux cheveux blonds et aux yeux bleus qu’ils auraient, les comparant d’avance à de petits anges.

Lors de leur nuit de noces, Dylan découvrit que pour pimenter les choses, Hannah s’était rasée la chatte le matin même. Cela avait tellement excité Dylan que Hannah l’avait gardée rasée depuis ce jour. Leur nuit de noces avait été singulière. Hannah avait continué à jouer au chat et à la souris avec Dylan en lui interdisant de la pénétrer. Au lieu de cela, elle le fit se mettre à genoux et lui sucer le cul pendant qu’il se masturbait lui-même. Il en fut surpris et un peu offensé, mais aussi un peu soulagé. Dylan savait que sa bite était extrêmement petite et s’était inquiété de savoir s’il serait capable de satisfaire sa femme ou non. Au moins de cette façon, elle se branlerait avec sa langue dans le cul et il serait sûr qu’elle ne ferait pas semblant quand elle jouirait. En fait, cette nuit là, elle avait même joui si fort qu’elle avait pété dans sa bouche lorsque les contractions orgasmiques étaient arrivées (elle avait suivi un régime riche en fibres pour maintenir son poids optimal, ce qui avait eu pour effet secondaire de la ballonner). Normalement, cela aurait repoussé Dylan, mais il était tellement pris dans l’action et tellement content de l’avoir fait jouir qu’il en avait lui-même joui dans sa main. De toute façon, Hannah avait maintenu sa tête dans ses fesses de toutes ses forces alors qu’elle jouissait, et elle était étonnamment forte puisqu’elle faisait de l’exercice tous les jours et du yoga le week-end pour conserver sa silhouette parfaite.

Ensuite, Hannah avait dit à Dylan qu’elle avait adoré ce qu’ils venaient de faire, et qu’elle lui permettrait de la baiser durant leur lune de miel, mais qu’elle choisirait elle-même l’heure et le lieu. Il lui répondit qu’il comprenait, et commença à la câliner, mais elle s’endormit vite en ronflant fort et en pétant. Même ses pets étaient mignons, pensa Dylan. Son petit cul blanc était si petit et serré que chaque pet, quel que soit son odeur, était juste un petit « toot » sage. Il se leva pour nettoyer sa main et rejoignit sa femme bientôt dans leur lit, s’assoupissant rapidement en essayant de lire ses documents sur la tribu cachée et la lune de miel aventureuse qu’ils avaient choisie.

Les anulingus se poursuivirent deux à trois fois par jour, parfois jusque dans les toilettes publiques. L’anus d’Hannah était si sensible qu’elle avait fréquemment des orgasmes multiples à chaque « feuille de rose ». Dylan était fier d’être si bon pour faire plaisir à sa belle femme blanche, quoique quelque peu dominatrice et perverse. Pourtant, il s’inquiétait du jour où elle lui dirait finalement de la baiser. Est-ce que son petit « teeny weenie » (comme sa mère l’appelait d’une manière qu’elle trouvait mignonne) pourrait la satisfaire? Il essaya de ne pas y penser.

Toute cette aventure avait encouragé Hannah à continuer à s’habiller comme une pute et à exciter Dylan. Elle avait noté que l’intensité des anulingus de son mari augmentait plus elle s’habillait en salope. Elle avait une silhouette qui rendait fou Dylan et suscitait l’intérêt des autres hommes, haute de 1 mètre 63, avec de longs cheveux blonds, un 95D, une taille fine et de belles hanches. La robe d’Hannah excitait Dylan, et les regards des autres hommes excitaient Hannah.

Arrivés au Congo, Hannah et Dylan avaient rejoint leur hôtel. Le vol avait été long, avec peu d’espace entre les sièges et sans fioritures. Les toilettes de l’avion étaient hors service et le trajet de l’aéroport à l’hôtel avait été long, chaud et poussiéreux. Quand ils eurent enfin atteint leur chambre, Hannah avait tout de suite eu besoin d’une douche. Dylan Pendik travestileri la laissa y aller en premier. Elle lui avait dit qu’il pouvait la rejoindre s’il le voulait, mais Dylan avait refusé en constatant que la salle de bain était petite et exiguë. Hannah soupira, abandonnant en réalisant qu’il avait complètement manqué son insinuation et prit sa douche seule.

Dylan se rendit sur le balcon pendant qu’elle se douchait et observa la rue animée en contrebas. Ce qui le frappa en premier ne fut pas la primitivité relative des conditions de vie ou l’environnement tropical, ni les langues étrangères parlées. Non, ce qui le frappa immédiatement, c’était que TOUT LE MONDE était noir. Et pas le genre de noir métissé assez clair auquel il était habitué en Amérique. C’étaient des AFRICAINS. La peau sombre et les traits lourds. Quelque chose à ce sujet le mettait très mal à l’aise, et cela, en soi, lui faisait honte. Peut-être était-il un peu raciste. Peut-être que ce voyage serait bon pour lui. Les gens sont des gens et il ne devrait pas les craindre simplement parce qu’ils avaient l’air différent.

Hannah sortit de la douche et soupira bruyamment d’un air satisfait : « Ahhhh, j’avais besoin de ça. » Dylan se retourna et admira son corps parfait alors qu’elle laissait tomber sa serviette et se dirigeait vers le lit, inconsciente de son regard. Elle avait un corps incurvé mais athlétique et une peau d’ivoire, lisse et impeccable. De beaux seins fermes et arrondis qui pendaient comme de grosses larmes en bonnet D de sa poitrine et qui ressortaient avec une audace qui démentait leur taille. Sa taille étroite s’évasait jusqu’à ses hanches larges mais fermes et son beau petit cul rond et serré coiffait une paire de longues jambes magnifiquement toniques. Elle était la femme parfaite, et Dylan n’avait aucune idée de comment il avait réussi à la conquérir!

Hannah sortit son iPad de son sac et s’effondra aussitôt sur le lit. Alors qu’elle était allongée sur le ventre, encore humide de sa douche et nue à l’exception de la serviette sur sa tête, Hannah alluma sa tablette et commença à lire à haute voix les données qu’elle avait rassemblées sur cette région du Congo. C’était, en effet, un endroit dangereux, même si eux-mêmes n’avaient rien vécu de plus dangereux que la vue de tout le personnel militaire armé de l’aéroport dans lequel ils étaient arrivés ou en patrouille dans les rues de la ville. Elle lut des articles sur les Bantous et les Zoulous et leur langue maternelle, le swahili, ainsi que sur les autres ethnies, les Mongo, les Kongo, les Luba avec leurs richesses minérales, les Mangbetu et leur art et musique et les Azande et leur fière histoire de guerriers et de terres conquises.

Dylan s’ennuyait à mourir en l’écoutant parler de tous ces différents groupes ethniques – qui pouvait vraiment faire la différence? Pourquoi s’en soucierait-il? – mais il était excité par la vue de sa femme nue sous le chaud soleil de l’après-midi africain, son cul scintillant dans la lumière chaude, ses fesses écartées juste assez pour qu’il aperçoive le trou rose plissé à l’intérieur. Il ne pouvait pas s’en empêcher. Toujours habillé, il se glissa entre ses jambes et commença à lui lécher le trou du cul comme il l’avait fait tant de fois auparavant. À l’instant où sa langue toucha le sphincter, sa petite bite devint dure dans son pantalon.

“Mmm, c’est bon,” ronronna Hannah. Puis elle continua sa lecture. Elle lut des statistiques sur la corruption, la guerre et le viol. Elle sembla surprise, mais pas terriblement alarmée, d’apprendre que l’est du Congo avait été désigné comme la capitale mondiale du viol par plusieurs organisations de défense des droits de l’Homme.

Dylan écoutait à peine, absorbé par son obsession pour les fesses de sa femme, sa langue maintenant enfouie profondément dans son trou du cul. Il tendit la main sous elle et frotta son clitoris avec deux doigts humides comme il savait qu’elle l’aimait quand il lui mangeait le cul. Elle gémit et balança son cul d’avant en arrière dans sa bouche alors qu’il la masturbait. La passion renouvelée qu’exprimait sa femme pour la « feuille de rose » qu’il était en train de pratiquer excita encore davantage Dylan. Il n’avait plus les mains libres pour s’occuper de lui-même, alors il frotta simplement son entrejambe contre la base du lit king-size tandis qu’il dévorait son cul avec encore plus d’appétit qu’auparavant.

Elle continua à lire plus de statistiques sur leur économie, leur culture, leur composition ethnique et physiologique et, une statistique qui marqua l’esprit de Dylan, sur le fait que le Congo soit classé premier sur la liste de la taille moyenne du pénis dans le monde! Hannah sembla impressionnée et un peu excitée quand elle lut le nombre de 20,8 centimètres (par rapport à la faible moyenne de 12,7 centimètres des États-Unis, ce qui était encore 5 centimètres au dessus du pauvre Dylan dans son meilleur jour). Elle s’arrêta de lire et commença à gémir alors que Dylan Travesti pendik redoublait d’efforts sur son trou du cul et son clitoris. Elle finit par jouir avec un tel enthousiasme qu’elle recula et péta avec force dans la bouche de son mari, qui lui-même venait d’éjaculer dans son pantalon à force de frotter son entrejambe contre le matelas. Il était fier de lui. Elle était allongée là, tremblant dans la rémanence de son orgasme, la langue de Dylan explorant toujours langoureusement les rides de son rectum, lentement et amoureusement, tandis qu’il avait levé ses bras pour que ses mains puissent masser et caresser son dos. Peut-être n’était-il pas le gars le mieux doté du monde en dessous de la ceinture, mais il savait ce que sa femme aimait et pouvait faire pour elle ce que personne d’autre ne pouvait faire.

Cette nuit-là, Dylan s’était de nouveau occupé de l’anus de Hannah avec sa langue, cette fois-ci sur le balcon de leur chambre d’hôtel. Hannah s’était simplement penchée par-dessus la rampe en regardant les gens en dessous pendant que Dylan glissait sa tête sous sa jupe blanche, courte et plissée. Il avait ensuite entrepris avec enthousiasme d’enfoncer sa langue dans son joli bouton de rose, juste entre les belles fesses lisses et arrondies de son petit cul blanc serré et parfait, tout en caressant fiévreusement sa bite de 7,5 centimètres, sa bave tachée de brun coulant sur son menton et les longues jambes athlétiques de sa femme. Il pouvait goûter la légère saveur brune mélangée à sa salive, et se souvenait que Hannah lui avait dit que leur déjeuner composé de plats locaux n’était pas passé, mais il s’en fichait. Il était surexcité et Hannah appréciait l’attention anale qu’il lui accordait. Elle ne cessa pas de gémir pendant les dix minutes que durèrent l’anulingus.

Le frisson des gens marchant sous elle et l’action de Dylan emmenèrent Hannah au bord de l’orgasme, et rapidement et elle dut se mordre la lèvre pour s’empêcher de crier en raison de l’intensité de sa jouissance. Dylan avait gardé sa langue enfouie profondément dans le rectum d’Hannah, et il sentit le sphincter se contracter autour d’elle alors que sa femme arrivait à l’orgasme. Elle se dirigea alors vers le lit en lui faisant garder sa langue dans ses fesses. Dylan clopinait derrière elle sur ses genoux pour la suivre. Hannah tomba sur le lit alors que la langue de Dylan reprenait vie. Son mari la baisa à nouveau de sa langue, l’amenant à deux orgasmes de plus avant qu’elle ne jouisse partout sur les draps et lâche un pet chaud, odorant et humide dans la bouche ouverte et vorace de Dylan. Ce dernier ne pouvait pas en être certain puisque l’odeur et le goût des pets de Hannah lui étaient toujours désagréables, mais il se demanda si peut-être une partie de sa diarrhée d’un peu plus tôt après le déjeuner n’avait pas également terminé dans sa bouche. Pourtant il s’en fichait, perdu dans la luxure anale comme il l’était. Quoi qu’il en soit, que sa salive ait été souillée ou non, il l’avala. Dylan n’était même pas sûr que sa femme soit même consciente de ses pets, car sa bouche les étouffait et il en aspirait tout le gaz pour qu’elle ne les sentît pas non plus. En tout cas, elle s’était effondrée, épuisée alors qu’il lui léchait maintenant son trou et ses fesses. Dylan s’endormit ainsi, la tête posée sur les fesses de sa femme, et y dormit toute la nuit, réveillé seulement quelques fois par ses pets bruyants et puants directement sur son visage.

Dylan se leva le premier et descendit chercher des fruits pour le petit déjeuner. Il était assis sur une chaise en train de lire sa tablette, ruminant les statistiques selon lesquelles le Congo était la capitale mondiale des viols… et ces gigantesques queues… Il se dit qu’il devait chasser ses pensées de son esprit, car il devenait anxieux et ne se sentait pas en sécurité. Mais il ne pouvait pas arrêter d’y penser. Alors même qu’il lisait et relisait les statistiques sur la taille moyenne du pénis congolais et était sur le point de peler sa banane, il prit conscience du fait que le fruit mesurait environ 20 cm et éclipsait de loin sa propre petite queue. Dylan le mit dans sa bouche en se demandant ce que ça devait être pour une femme d’avoir des relations sexuelles avec un homme aussi bien doté. Il prit soudain conscience qu’il ne pourrait pas manger sa banane sans se sentir gêné et la mit de côté. Hannah se réveilla un peu plus tard dans la matinée. Son mari l’observa attentivement pendant qu’elle mangeait une autre banane de taille similaire en lisant sur son iPad. Hannah remarqua vite qu’il la regardait d’une drôle de manière. Elle lui lança un regard interrogateur, puis gloussa.

Comme leur guide n’arriverait pas avant quelques jours, Hannah et Dylan décidèrent de faire un peu de tourisme tout seuls. Ce matin-là, Hannah enfila une robe d’été en coton blanc qui lui couvrait à peine les fesses. Elle ne portait ni soutien-gorge ni culotte et quand elle se penchait légèrement, elle exposait son cul serré et sa chatte sans poils. Elle compléta la tenue avec une paire de talons hauts rouges maintenus par de fines bretelles au niveau de la cheville. En quittant l’hôtel, Dylan lui fit remarquer qu’elle ressemblait à une pute et que cela l’excitait. Durant tout le trajet, ses mains ne resteraient jamais bien loin de sa femme.