Soirée de Soumission chez Béatrice

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Soirée de Soumission chez BéatriceJ’étais adolescente quand ma mère changea de compagnon, après un divorce, elle se mit en ménage avec Jacques mon beau-père.Un homme strict, il n’admettait pas d’être contredit, je fus surprise de surprendre son comportement, la première fois que je le voyais fesser ma mère, devant moi il l’exhortaA se pencher sur le bureau, elle rougit obéie à son injonction.Il releva sa jupe, la déculotta ses fesses nues découvertes, il la fessa devant moi.Les mains de Jacques claquaient fortement, les fesses de ma mère rougirent sous les coups elle le suppliait pas devant Virginie.Jacques me regarda, tu vois si tu continues à être une insolente, tu recevras la même punition.Je regardais pétrifier, mais une volupté indicible montait en moi, la punition fut éprouvante Pour ma mère humiliée, elle se retira sans un mot.Je ne pris pas garde des avertissements que mon beau- père me fit, à plusieurs reprises.Un jour il me courba sur ses genoux, tu as été avertie, maintenant cela suffit, il releva ma jupe il fit glisser ma culotte, ses mains me fessaient, je criais de douleur la punition terminée, je dus me mettre au coin.Je ne cédais pas, les fessées se rapprochèrent, je deviens, une petite peste je ne voulais pas me soumettre.La fessée fit place à la flagellation avec un martinet.Les années passaient, j’avais 18 ans et les punitions étaient pour moi devenues une pratique habituelle.J’avais mûri mon corps d’adolescente laissaient apparaître des formes plus féminines.Mes seins se développaient, mes hanches s’élargissaient, mon sexe était poilu.J’admettais maintenant cette punition, il me dit tu es toujours si arroganteJe reçus plusieurs séries de cravaches.Il me fit face, son sexe en érection était gros le gland bien dégagé, il prit ma tête entre ses mains, sa bite pénétra ma bouche, il glissait entre mes lèvres son sexe humide de ma salive, je suçais le mieux possible, il poussa fortement, il me pénétra en gorge profonde je dégorgeais, crachais, ma salive coulait soudain il gicla son sperme infect dans ma bouche, j’avalais tout.Depuis ce jour Jacques est devenu mon amant, une fusion magique, je suis devenue une salope, tu seras punie nue, tu recevras la flagellation avec le martinet de cette façon.Une heure après je le provoquais, je compris sans qu’il m’adresse la parole, je me dévêtis,Nue- je me penchais mon ventre posait sur la table, la flagellation fut sévère, mon dos mes cuisses mes fesses furent cinglées les coups me faisaient gémir je jouissais mon sexe humide suintait, je savais que cette situation l’excitait.Je reçus la flagellation à un âge indécent.J’avais plus de 18 ans, je continuais à me laisser cravacher, depuis quelque temps il utilisait une cravache, prétextant que vu mon âge le martinet n’était plus adapté à ma corpulence.J’avais 19 ans, il savait pertinemment que je jouissais de recevoir cette punition.Un soir que j’avais bu plus que de raison, je le laissais me cravacher, les coups cinglants faisaient vibrer mes fesses, je courbais l’échine pour recevoir les coups, la jouissance montait, je lui demandais de me défoncer ma chatte. Soumise j’aime être ce qu’il désire, le sexe est pour moi casino siteleri une nécessitée, je me masturbe fréquemment ma libido est toujours en progression, je suis pourtant une femme respectée, personne dans mon voisinage ne pourrait songer que je suis une devenue une salope, une femme libertine, seules les personnes qui sont libertines peuvent interpréter la totalité de mes récits vécus.J’ai une aptitude à la soumission, la première fois que j’ai vu Jacques fessées ma mère, j’ai a posteriori compris que ma Mère jouissait pendant cette fessée.Ses gémissements, ses jambes ouvertes, elle cambrait ses fesses, Jacques la fessa longtemps.Elle se retira dans la chambre, Jacques la suivit rapidement, les crie de jouissances continuaient, (j’ai honte de révéler cette situation, mais je dois préciser la situation qui me conduisit à devenir une femme soumise à sa libido,)Très jeune il arrivait que jacques me donne la fessée devant elle.Je me masturbais toujours après la flagellation, Jacques ne pouvait pas le savoir.Je fais le récit de ma vie libertine, par exhibition, cela me procure une jouissance de savoir que je révèle à un large public de lecteurs les séances de soumissions.Je n’ai pas encore osé publier certaines punitions, j’utilise des mots crus, je m’en excuse, je suis pourtant une femme très réservée.J’espère ne pas choquer, je pense que certaines femmes de mon voisinage me reconnaîtront,Depuis quelque temps je rentre presque nue le matin.La séance que j’ai vécue, c’est passé chez une amie qui me convia à une séance de libertinage, sans me révéler que je serais soumis à tous ses fantasmes.Béatrice me fit croire que plusieurs couples seraient présents.Dès mon arrivée, Béatrice me demanda de descendre dans la cave aménagée, elle me dit que les invités seraient bientôt là, j’étais arrivée trop tôt.Elle prit une paire de ciseaux et elle me demanda de lever mes bras.Béatrice découpa mes vêtements avec la paire de ciseaux, elle soupesa mes seins, entrava mes bras avec des menottes, j’étais debout nue, les bras entravés elle se munit d’une cravache.Je braillais à chaque coup, je devais lui exprimer ma gratitude à chaque coup (je la remerciais pour chaque coup de cravache).Mon dos reçut une première série, de 25 coups, elle avait un temps d’arrêt entre les coups, elle me regardait et là je devais la remercier, elle passait derrière moi et je recevais un nouveau coup de cravache, (écarte tes jambes, penches- toi plus cambres tes reins) une seconde série Elle cravachait mes fesses, sa main glissait sur ma vulve entre chaque coup, la série achevée.Elle posa des pinces sur mes tétons, tirant sur les chaines, mes mamelles étaient tirées énergiquement, elle fixa un poids sur chaque chaine, mes seins furent liés avec une corde, une autre corde accrochait mes cheveux, elle tirait ma tête en arrière, un gros crochet était attaché à cette corde, je devais cambrer mes reins, et me penchée en avant, elle glissa le crochet boule dans mon cul.Mes jambes furent entravées avec une barre de fer, elle me branla avec un vibromasseur, mes petites lèvres, mon clitoris était branlé avec vélocité.Je jouissais, mon corps tremblait sous canlı casino les orgasmes, les poids effectuaient des étirements en se balançant, la boule qui dilatait mon cul, me faisait jouir.Béatrice m’infligeait une jouissance indicible, tout mon corps frémissait sous les orgasmes multiples, ma libido m’enlevait toute pudeur, Béatrice exultait, inlassablement elle continuait à me pénétrer ma chatte qui coulait de mouille, utilisant plusieurs godes, mon corps transpirait, Béatrice était agitée (tu aimes, tu en veux encore) des mots crus orduriers que je ne peux réitérer.Elle se retira, je pouvais redescendre de mon nuage, ma respiration se stabilisa, quand elle revient. Un black l’accompagnait, un homme jeune totalement nu, très grand, un sexe fort long.Le black avait un sexe hors dimension, ses grosses couilles pendaient sous son phallus.J’estime que c’était le plus gros sexe que je voyais depuis longtemps.Béatrice me détacha et libéra mon corps.Elle m’ordonna de fouetter ce black, je fus obéissante, je flagellais les fesses du black, ses fesses tremblaient sous les coups.Béatrice me stoppa.Elle enfila ce gros phallus dans une pompe à vide, je vis le sexe grossir la bite touchait la paroi de la pompe, elle plaça un anneau à la base de son sexe, pour garder cette grosse bite bien raide, même après éjaculation.Tu vas servir de vides couilles, mets- toi à genoux, (Béatrice me positionna).J’étais penchée, les genoux au sol, sur le tapis mon cul relevé, mes coudes posés sur le tapis.Dans cette position de soumission, j’attendais qu’il me pénètre.Ses mains écartèrent ma vulve, humide, il lubrifia mon vagin ses doigts fouillaient mon vagin, il commença par me branler, il branlait mon clitoris avec un gode, le gode glissait entre mes petites lèvres, vibrait sur mon clitoris, il le faisait pénétrer dans mon sexe, j’étais absolument asservie, je gémissais mes seins se dodelinaient à chaque fois que je poussais mon bassin afin de faciliter la pénétration de ce gode, il l’enfonçait dans ma chatte, mon sexe largement ouvert coulait de cyprine , mon ventre tremblait sous les contractions de mon vagin.Je cambrais les reins un orgasme foudroyant me traversa le corps.Il retira le gode.Il fourra sa bite dans ma chatte torride, je m’offrais, lentement il glissait dans mon intimité, (Béatrice ordonna défonce cette salope je veux la voir jouir). Cette grosse bite me labourait la chatte, ses couilles venaient claquer contre ma vulve, son sexe était presque entièrement dans mon sexe, quelques centimètres seulement était hors de mon vagin, son gland cognait le fond de mon vagin dilaté à l’extrême.Béatrice me prit la tête et me regardait jouir, (salope tu vas avaler son foutre).Le black se retira de mon sexe, Béatrice était derrière moi, j’étais à genoux, le sexe monstrueux face à ma bouche, je ne pouvais le pomper, (suce cette bite), je léchais le sexe sur sa longueur, ma langue glissait sur le gland, je pressais ses couilles, très rapidement il gicla, le sperme épais très abondant inonda ma bouche, un relent me prit, (pas de ça tu avales toute la liqueur salope ou je te fais enculer par mon chien.)Je devais obéir, j’avalais cette kaçak casino liqueur abjecte.Je savais que Béatrice n’avait pas de limites, aucune désobéissance sans châtiment.Béatrice me fit prendre encore et encore, par cette bite.Je croyais ne pas jouir, cependant à chaque coït, je m’abandonnais à la jouissance, il me masturbait, branlait mon clitoris.Béatrice chevaucha la grosse queue du black, il la défonçait sa bite entrait profondément dans son sexe.A ras des couilles, elles claquaient contre son cul.Béatrice gémissait elle s’empalait sur cette poutre géante, son corps transpirait, je me branlais en la voyant jouir, elle gémissait de plus en plus, le black la saisit par les hanches menant un rythme rapide, Béatrice hurlait de plaisir, le black immobilisa son sexe dans la chatte de Béa, elle était en extase son corps cambré je la voyais jouir l’orgasme envahit son corps quand le black déchargea , il sortit sa bite de la chatte de Béa, le sperme coulait largement de son sexe ouvert, je me branlais rapidement et la rejoins dans la jouissance, mon sexe coulait de cyprine.J’étais ardente, Béatrice se reprit rapidement, elle s’approcha de moi, je nettoyais son sexe, ma langue avalait la mouille et le nectar du black.Je ne pouvais plus me contrôler, (de moi-même je fis la demande que je ne peux ici révéler)Je ne pouvais plus rester sans orgasme, mon ventre avait un besoin impératif d’obtenir une extrême jouissance.Béatrice renvoya le black sans ménagement.Nous étions Béa et moi en symbiose, elle me regarda longuement, exigea que j’écrive ma requête.Je dus rester un petit moment à genoux, les mains sur la tête, (tu attends je vais prendre une décision).Béatrice revient, elle accepta ma demande, elle me dit tu ne peux pas revenir sur ta requête,Maintenant je vais appliquer ta punition comme je le veux tu vas te positionner sur cette banquette, je fus enchainée mon ventre posait sur une assise étroite, mes seins pendaient de chaque côté de l’assise, mes genoux posaient au sol, elle me posa un bâillon boule.Mes jambes écartées étaient entravées par une barre de métal, elle introduit sa main dans mon sexe, je n’avais pas formulé d’être défoncé par sa main, puis elle lubrifia mon vagin.Mon corps était à sa merci, (je reçus la punition que j’avais sollicitée, en plus répugnant, Béatrice me fit défoncer à sa convenance).J’ai été humilié à ma demande.Je suis rentrée chez moi au petit matin, le jour commençait à poindre.Béa me fit repartir nue, je devais traverser une partie de la ville, je choisis la route la moins fréquentée.Je garais ma voiture dans le parking de mon immeuble.Je risquais d’être vue par mes voisins, dans le parking un couple de l’immeuble me regarda. Sans les regarder, j’ai pris les escaliers afin d’éviter une rencontre dans l’ascenseur.Ouf, j’étais chez moi, sans complexe d’avoir été regardée par ce couple, je jubilais de pouvoir oser cette promenade, (je n’avais de toute façon pas le choix).Je voyais mon corps nu dans le miroir de l’entrée, mon sexe était encore humide de cette punition, là je savais que je ne serai plus jamais la même, mon corps avait été soumis à une obéissance que je ne pensais pas avoir, la libido bouleversait mon comportement.J’avais conscience que ma requête licencieuse me faisait basculer dans cette petite catégorie de personnes que sont les bacchanales.Je ne sais si je pourrais continuer à faire ce genre de confidence.