Sylviane – Balbutiements SM (2)

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Sylviane – Balbutiements SM (2)Sylviane – Balbutiements SM (2)Marie, gémis, se tords sous les coups de la cravache. Charles ne donne pas de coups bien violents. Mais lentement les seins de Marie sont un entrelacs de traces rouges. Ses seins semblent gonfler à vue d’œil. En fait c’est surtout l’étranglement par les bracelets de caoutchouc qui cause le gonflement. Charles passe la cravache entre les cuisses de Marie, elle ploie légèrement les genoux faisant s’ouvrir ses lèvres. Son sexe est trempé et la cravache est vite luisante de mouille. Le clito annelé est gonflé, pas aussi gros que le mien mais de belle taille. Je me demande quelle sensation donnent ces anneaux. Visuellement je trouve cela excitant et me verrais bien avec la même chose. Mais la façon de les poser terrifie quand même.Charles approche de moi, il me saisit par les cheveux.. me tire la tête contre le sexe de Marie. Mon visage est entre les cuisses de notre belle hôtesse soumise. Elle tremble comme une feuille. Moi aussi je suis agitée de longs frissons. Le sexe de Marie à quelques centimètres de mon visage. Les senteurs acres de son sexe picotent mon nez, totalement glabre son sexe est vraiment joli, surtout rehaussé par les anneaux. Je suis hypnotisée par cet anneau qui perce son clitoris. Son bouton est gonflé tout rond et le transperçant cet anneau brillant. Le capuchon de son clitoris est aussi percé d’un anneau. Les grandes et petites lèvres sont annelées. Le sexe est trempé, la mouille emperle les petites lèvres de gouttelettes. Marie à le sexe palpitant quand Charles pose sa main sur elle son con s’ouvre et se ferme. – Lèche là.. m’ordonne CharlesPuis s’adressant à Michèle.- Viens t’occuper d’elle mais ne la fais pas jouir.. sinon tu sera punie.- Vous deux préparez vous pour mon esclave, j’ai envie que vous la preniez ensemble.Charles me pousse le visage dans la chatte de Marie. Je me mets à lécher, laper son jus qui inonde le sexe. Elle à un goût presque sucré ce n’est pas la première chatte que je languote mais c’est la première qui soit si sucrée. C’est enivrant, agréable. La sensation froide et métallique des anneaux est magique çà me donne des sensations que je n’avais jamais ressenties. Je lèche le bouton, mes dents se referment sur l’anneau. Je tire légèrement avec précaution. – Hummm oui susurre Marie.Michèle, placée contre moi, emboîtée dans mon dos.. Elle glisse sa main entre mes cuisses ses doigt jouent avec mon sexe qui pour le compte est dégoulinant. Elle enfonce ses doigts. Contre mon dos je sens ses seins, pinces métalliques la chaînette froide contre mon échinePuis un bruit sec, le ventre de Marie est propulsé contre ma bouche elle geint. Charles viens de lui donner un coup de martinet sur les fesses. Elle frotte son sexe contre ma bouche. Les coups tombent je les entends, je les sens au travers des frémissements de Marie, de ses tremblements. Sa mouille coule sur ma langue. Je suis bouillante, les doigts de Michèle me fouille, je ruisselle mais jamais elle ne me mène à l’orgasme. Je suis tendue, j’ai une folle envie de jouir. Un cri cette fois je sens les doigts de Michèle qui se crispent sur mon sexe. C’est elle qui vient de prendre un coup. Puis un autre la fait de nouveau crier. Michèle crispe ses doigts sur ma chatte, me serrant les lèvres , j’ai mal mais je trouve çà tellement excitant.Je mouille de plus en plus. Charles laisse glisser les lanières du fouet sur mes formes. Un instant je pense qu’il va me frapper, je suis tendue prête à endurer le coup. Les lanières me font frissonner, je suis agitée d’un petit tremblement nerveux. Mais c’est Marie qui prend un coup au travers des seins et il est fort ce coup. Elle c’est appuyée sur mes épaules, le corps cassé en deux elle hoquete essaye de reprendre son souffle. Ses seins son violets, les coups laissent des traces boursouflées. Je lui prends les mains, sa bouche grande ouverte a quelques centimètres de la mienne, je ne résiste pas à l’envie de glisser ma langue dans l’anneau, la salive lui inonde la bouche et coule dans la mienne. Sa langue réponds à la mienne, ses yeux me disent mieux que tous les mots.. le plaisir qu’elle ressent. Charles avec un sourire nous contemple. – De vraies petites chiennes…. Sylviane tu me parais bien à ton aise… Ouvre la bouche.Disant cela il dégage son sexe. Une grosse queue longue, épaisse décalottée. Un gland gonflé et large. Il me prend par les cheveux, me force à prendre sa queue. Bon sans qu’il est gros, il force me baise la bouche avec force. Je me sens tout à coup le jouet de cet homme c’est comme une décharge électrique dans mon corps. La queue me fouille la bouche, je me laisse manipuler. Il enfonce son gland dans ma gorge, ma salive afflue, je me laisser aller la bave inonde mon menton ruisselle sur mes seins. Marie regarde la queue de son homme qui me défonce la bouche. A cet instant je sens je sais que le plaisir de la soumission me submergera. A cet instant je sais que je n’attends qu’une chose la morsure du fouet sur ma peau. Je suis même tentée de la réclamer. Mais là je suis au bord du précipice.. je suis sur le point de jouir. Charles s’en aperçois.. et brusquement tout s’arrête..il se retire, me regarde dans les yeux la montée du plaisir en moi stoppe brusquement.. Frustration.. douleur presque de ne pas atteindre l’orgasme qui était là tout près.. Je sens mon sexe se liquéfier.. je mouille comme une folle. Il ne me quitte pas des yeux.. Son sexe gonflé, luisant, dégoulinant de salive est à 2 cm de ma bouche. Je sais qu’il attend que je fasse un mouvement pour me refuser son sexe. Je commence a comprendre le jeu. Il passe sa main sur ma joue et me met une petit gifle du bout des doigts. J’aspire l’air a grande goulées cet attouchement me fait l’effet d’une vraie baffe. Une boule au creux du ventre j’aimerais qu’il me gifle pour de bon.. une seule gifle je suis sure de jouir.- Agenouille toi chienne lance Charles à Marie.Elle s’exécute. Maintenant nous sommes trois agenouillées. Côté à côte nous sommes dans la même posture. Les hommes ont sorti leur sexe. Philippe et Chris sont dans une forme éblouissante. Le sexe gonflé tendu à craquer. Tous deux ont le gland mouillé. Une perle gonfle au sommet. Ils sont superbes nos hommes. – Tenez là bien ordonne Charles.Michèle et moi prenons chacune un bras de Marie. Charles approche avec une courte cravache. Caresse un instant les seins gonflés et donne 5 coups sur chaque globe. Les coups sont ponctués de cris et de soubresauts de Marie.- Baisez lui la bouche a fond maintenant.Philippe se positionne, il enfonce sa queue profondément dans la bouche de Marie, je vois la gorge qui se gonfle Philippe la prend à fond. La salive s’écoule güvenilir bahis , le floc floc de la pénétration est impressionnant. La salive détrempe la queue de Philippe. Sa queue ressort avec des guirlandes de bave épaisse. Les yeux de Marie roulent et pleurent. De grosses larmes ruissellent au coin de ses yeux. Tenant fermement le bras de Marie je sens la tension de ses muscles et je sens aussi ses doigts qui cherchent à se glisser dans ma fente. Marie.. suppliciée, utilisée comme une poupée joue avec ma chatte. Ses doigts trouve mon clito, le titille. Je suis secouée de petits spasmes.. Maintenant c’est au tour de mon homme de prendre la bouche de Marie. Il plante sa queue profondément. Il donne de grand coups de reins. Marie me chahute la cramouille. Charles a des yeux partout, il s’en rend compte. Et il lui donne un coup de cravache sur les fesses. Au passage il me caresse le dos avec le cuir il descend le long de mon échine me procurant un frisson intense, le bout de cuir se perd entre mes fesses..s’insinue entre les lèvres de ma chatte. Je me cambre j’adore la sensation. Je sens le cuir jouer entre les lèvres de mon sexe. J’aimerais qu’il s’agite plus qu’il me donne du plaisir mais il m’agace m’excite encore plus que je ne le suis. Je me rends compte que petit a petit j’atteins une état d’excitation que je n’ai sans doute jamais connu. Çà fait longtemps maintenant que j’ai envie de jouir, que mon sexe est gonflé de désir, mon clito n’a jamais été aussi dur de toute ma vie je crois. Je suis moite de désir mon sexe ruisselle ma peau est emperlée de sueur. Charles présente devant ma bouche le cuir de sa cravache. Il est souillée de mouille, mon jus à moi ma crème même car les traces gluantes et blanches comme du foutre de mec c’est la signature de mon sexe, j’en connais le goût et la texture pour l’avoir maintes fois léché sur mes doigts ou le sexe de mes amants. Le lèche sur le cuir le goût de ma chatte. Charles approche maintenant son sexe de ma bouche, docilement je l’ouvre grande et il me le plante au fond de la gorge. Son gland gonflé bouche totalement ma trachée. Je suffoque, j’ai des haut le cœur, mon corps se rebelle contre cette asphyxie, mais moi je reste sans réaction je ne tente pas de me soustraire. Mon être physique lui est en péril, mon esprit le sait mais je reste sans volonté. Enfin il me relâche une grande goulée d’air. Mes larmes coulent, mon nez coule je dois être jolie… D’ailleurs un miroir renvoie mon image. Cette vision est hautement aphrodisiaque pour moi. Prise par le jeu c’est seulement maintenant que je jette un œil dans les miroirs. Je me contemple, je nous vois, Marie qui subit les assauts de Philippe étouffée comme moi par la queue gonflée de l’homme, la bave qui ruisselle sur son menton sur ses seins grotesquement gonflés meurtris violacés luisants avec les anneaux d’acier qui en orne les pointes disparues dans l’ogive du sein. Michèle qui elle aussi mange la queue de mon mari tout comme Marie elle ruisselle de bave. Je vois les doigts de Michèle qui s’agitent sur sa fente. La salope est en train de se branler. J’en ai une envie violente, je désire plus que tout avoir un orgasme à cet instant mais c’est interdit. A ce moment je vois Charles se déplacer vers Michèle il viens de voir qu’elle se masturbe. Il écarte Christian. Se place devant Michèle. – Arrêtes de te toucher sale vicieuse !! hurle t-il.Michèle a sursauté, cessé de se caresser. Je la vois transfigurée.. Ces lèvres tremblent, en fait tout son corps tremble. Un instant elle semble ne plus pouvoir se tenir à genoux, elle oscille. Je sens une main qui presse la mienne, c’est Marie qui m’invite je pense à bien observer la scène. Elle me jette un coup d’œil rapide et un petit sourire qui est étrange sur se visage au maquillage délayé dans la sueur et la salive. C’est flagrant Michèle tremble comme une feuille, son corps entier est agité d’un léger tremblement. Le petit peu de cellulite qu’elle à semble vibrer. Charles s’éloigne un instant vers un râtelier puis il revient avec une sorte de cane fine et blanche. La main de Marie me serre les doigts à m’en faire mal. Charles à dans une main cette cane dans l’autre sa cravache. Qu’il promène sur le corps de Michèle de plus en plus tremblante. Il lui caresse le creux des reins avec la cravache avant de lui asséner deux coups sur les fesses. Michèle pousse un petit cri, je ne saurais dire si il est de douleur ou de plaisir. L’attitude de mon amie est totalement équivoque pour moi. Je ne sais pas déterminer si elle redoute ce qui va se passer ou si elle est impatiente.. qu’elle l’attend avec ferveur. Les garçons sont dans une superbe érection, tous deux ont la main sur la queue et se masturbent avec lenteur. Les queues luisantes de nos salives me font envie. Charles aussi bande avec beaucoup de consistance. Même si je remarque seulement a ce moment qu’il à une anneau métallique qui lui enserre de sexe et les bourses, son érection est constante depuis longtemps maintenant. Je ne sais pas combien de minutes se sont écoulées depuis le début des ces jeux. Je perds la notion du temps mais j’ai une conscience surprenante et aiguë de mon corps. Mes sensations semble décuplées.. la goutte de sueur qui glisse le long de mon flanc je la sent avec une telle acuité.. L’odeur de Marie, sa sueur, son parfum la fragrance de son sexe je la ressent avec force.- Tu aimes te toucher espèce de petite salope.. crie Charles à l’attention de Michèle.Elle hoche la tête les yeux pleins de terreur. Elle admet sa faute.. Je comprendrais plus tard que ce dialogue qui s’instaure entre l’esclave et le maître c’est les prémices à une punition forte.- Si tu aimes çà tu va pouvoir le faire… Tu va même être obligée de jouir, il faut que tu jouisse sinon la punition fera encore plus mal.A nouveau elle opine pour montrer sa compréhension et baisse les yeux. Charles lui décoche une gifle sonore et forte l’empreinte des doigts rougit sa joue.- Regarde moi et réponds quand je te parle.. Tu aimes te caresser ?- Oui maître…- Tu en avais le droit ?- Non maître- Donc ? Réponds ?- Je mérite d’être punie.. Maître.- Comme je suis gentil, on va te caresser… on va te faire jouir.. je veux.. un vrai orgasme.. tu te lâche complètement. Mais… tu sais bien qu’il y a un mais… Regarde çà.. dit il en lui passant la cane sous le menton. Tu sais ce que c’est ?- La cane maître- Je vais frapper tes seins avec lentement tant que tu n’aura pas eu un orgasme. Toi tu n’aura pas le droit de l’aider ni de te toucher. C’est ton amie qui va te lécher pour te faire jouir. Elle n’a pas le droit de se servir d’autre chose que de sa langue.Je frissonne en entendant cette « condamnation » türkçe bahis de surcroît je sais pertinemment que Michèle n’est pas une clitoridienne et que souvent il lui faut une pénétration pour atteindre le plaisir. Je vais faire tout ce que je peux pour l’aider. Je suis à la fois terrorisée de devoir supporter ce fardeau mais je suis aussi étrangement excitée par la situation. Je me découvre une perversité, une réceptivité et une fascination je dirais presque morbide pour ces jeux. J’en veux pour preuve mon excitation croissante depuis le début et celle que la punition de Marie à causé. Je me rends compte que comme l’avait prédit Michèle et comme elle je succomberais à ces plaisirs marginaux, hors norme ou fou comme vous le voulez. Charles installe Michèle sur une sorte de siège bas au dossier incliné, ses jambes sont enroulées autour d’une sorte de tube et rejetée en arrière. En fait elle semble installée sur une moto au dossier super incliné. Ses genoux sont tenus écartés par des sangles. Sa tête se retrouvant posé sur un repose tête horizontal. Ses bras et ses chevilles reliées par des menottes. Totalement offerte Michèle est haletante. Son ventre se creuse au rythme de sa respiration saccadée, sa peau est moite, ses aisselles trempées et la sueur brille en perles scintillantes sur sa peau blanche. Elle a par ci par la quelques traces rosissantes dues à quelques coups. – Marie.. viens là.. viens au dessus de sa bouche. Ordonne Charles.Marie docile se lève et sans doute habituée à ce jeu elle se place au dessus du visage de Michèle, son sexe offert au dessus de sa bouche. – Sylviane, au pieds.. viens là petite négresse viens manger le con de ta copine. A toi de la faire jouir sinon elle va déguster ma belle. Je sais que tu n’est là que pour tester.. mais aimerais tu essayer la baguette ? Savoir ce que va subir ton amie si tu ne la fais pas bien jouir ?- Je ne sais pas …. Maître.. je peux essayer ? Dis-je- Oui ne sois pas timide, veux tu savoir ce que fait un coup avec cette baguette. Je ne t’en voudrais pas si tu dis non. Mais je pense que tu est curieuse….Je dévisage un peu tout le monde je scrute Chris qui me fait signe que non… Philippe semble acquiescer.. Puis je regarde Marie qui avec un sourire très doux me fait signe d’accepter.- Oui maître je veux essayer.- Bien, mais tu sais je vais frapper ses seins c’est très différent. Toi je te propose les fesses, les cuisses ou les seins aussi. C’est toi qui doit décider énonce Charles.J’ai un moment de flottement, je ne sais plus que faire, je me demande si je suis en train de faire une folie. Certes mon ventre est torturé par l’envie de plaisir, ma tête me dit presque que je suis folle mon instinct réponds sans doute et comme dans un rêve je m’entends dire- Sur les seins Maître.- Oh courageuse petite pute noire.. tu est très osée ma chérie. On fera quelque chose de toi dit Charles souriant.Je suis abasourdie de ma réponse, je suis maintenant tenaillée par une peur indicible. Tiraillée entre l’envie de me lever de courir et de tout arrêter.. pourtant je sais comment tout arrêter, comme toujours nous avons convenu d’un « safeword » le pass magique qui arrête tout. Il suffit que je dise « Lily » et instantanément tout s’arrête on ne joue plus. J’ai toujours gardé ce même safeword dans mes jeux et ne l’ai utilisé que très peu de fois. Si un jour l’un de mes amis ici se retrouve avec moi dans une situation critique s’il m’entend crier le nom de ma fille chérie c’est que je ne veux plus jouer.Je dois assumer, mon choix j’ai toujours la porte de sortie que je viens de décrire. Mais je suis assez fière pour être idiote. Et je n’ai pas l’intention de me dérober. Par contre les instants qui précédent le test je les ai dans ma mémoire visuelle gravé à vie. C’est mon premier acte véritablement sado maso , le premier véritable sévices que j’ai enduré. Agenouillée sur le sol Michèle sur son fauteuil est à ma droite, Philippe et Christian de chaque côté de Marie qui surplombe le visage de Michèle. Les hommes ont leur sexes dressés et d’une main il entretiennent leur érection. Charles est face à moi, mon visage est à la hauteur de son sexe. Lui aussi bande toujours comme un fou. J’ai une féroce envie de sentir se sexe me défoncer la bouche le con ou le cul. Mais pour l’heure il va me montre toute l’ampleur de la douleur que ressentira Michèle pendant que je tenterais de la faire jouir. Charles se déplace sur ma droite, je n’ose le suivre du regard je reste les yeux fixé sur le miroir en face de moi. Je me trouve belle et désirable sexy.. avec mes mains sur la nuque mes seins fermes sont arrogants (bien plus à cette époque que maintenant) mes genoux écartés laisse s’ouvrir ma conque qui je le sens ruisselle de plus en plus. Je vois même que l’intérieur de mes cuisses brille ainsi qu ma motte. Le nez rose de mon clito est visible. Je ne suis pas la seule à l’avoir remarquer car je vois avec une peur atroce le bout de la baguette de Charles approcher de mon bouton tout saillant. – Mazette qu’il est dodu ma jolie Sylviane.. dis donc.. on va bien s’amuser avec toi si tu passe l’épreuve Dit Charles en souriant et en frôlant mon bouton du bout de la baguette. Puis il s’approche de moi, son gland est contre mes lèvres je sais quelle attitude avoir. Ma bouche s’ouvre il me plante sans vergogne son vit au fond de ma gorge, il me baise 3 ou 4 fois la bouche sans ménagement jusqu’à ce que j’ai un haut le cœur. – Oh mais tu aimes çà la petite négresse, tu aimes manger la queue blanche… dis le- Oui Maître…J’aime manger les queues blanches.Cet avilissement me donne le tournis, je suis excitée par les mots qu’il me dit, par les réponses que je fais. Dans un autre contexte Charles aurait pris une baffe. Mais là je suis pâmée.. et j’espère qu’il sera encore plus humiliant. Je tremble maintenant comme une feuille dans un grand vent. J’ai franchement du mal à me retenir. Mes sens sont affolés, j’ai l’impression que mon sexe gonfle, que mes tétons vont exploser que mon clito va devenir une queue aussi grosse et dure que celle de Charles. Je vois cette petite lézarde dans le sol noir brillant. Je pourrais vous la dessiner tant cet instant est frais et gravé dans ma mémoire. – Allez Sylviane, serre bien les mains sur ta nuque, bombe le torse .. offre moi tes jolis seins. Tu à choisi toi même tu est certaine que tu ne veux pas arrêter ? Tu sais comment faire.Concentrée je ne réponds pas mais hoche simplement la tête. Attentif et expérimenté, Charles sors de je ne sais ou un petit rondin de plastique. – Ouvre la bouche, arrête de te mordre la langue, tiens prend çàEt il cale le petit rondin contre mes dents, me fait refermer doucement la bouche. güvenilir bahis siteleri Dans quelques seconde je comprendrais qu’il ma évité sans doute de me couper la langue. Car par réflexe mes dents avaient enserré le bout de ma langue.Plus les secondes passent plus je me sens fébrile, c’est fou je suis sur le point de me prendre un gnon et j’en suis à trouver le temps long, je me demande quelle sera la sensation. Mon sang bouillonne dans mes veines. Ma respiration est de plus en plus rapide. Charles maintenant promène la cane sur la courbe de mes seins, dessous, puis il remonte doucement. La baguette est contre mes tétons qui fourmillent heureux de cette caresse totalement apeurés par le coup que promet la baguette et si le coup arrivait sur mes bouts, ils sont sensibles à cet instants durs comme du bois dressés comme ils ne l’on jamais été. La baguette est maintenant au dessus de mes seins. Charles me caresse les seins avec, il lève la baguette puis la repose. La relève plus haut. Tous mes muscles sont bandés, j’attends le coup.. Il reviens caresser mes tétons je tremble maintenant franchement. Je me vois dans le miroir totalement agitée comme si je grelottais. Mon front est luisant de sueur qui coule le long de mes temps, je la sens ruissellent sous mes aisselles le long de mes flancs. Que diable fais-je dans cette situation. Suis-je folle ? Non j’ai envie de tout çà.. je l’accepte.. je prend plaisir a ces jeux ces rituels.. mais vais-je supporter le corollaire de la douleur. C’est ce que je découvrirais dans quelques secondes. Je me sens prête a m’effondrer, prête a défaillir.. et je reconnais la sensation qui s’empare de moi.. je suis presque dans le même état qu’au moment ou je vais jouir, même tension nerveuse même sensations dans mon corps.. est ce possible. Je sens la cane qui caresse mes tétons. Puis c’est un peu flou. Je ne sens rien…. je vois dans le miroir la cane se lever et un éclair de bois blanc heurte mes deux seins pile sur le dessus.. C’est une fulgurance, comme si d’un sauna on me jetait dans une piscine de glaçons.. La douleur est explosive.. sur l’instant je suis persuadé que mes seins viennent d’exploser.. j’ai l’impression qu’il sont ouvert en deux que je me vide de ma substance par des plaies béantes. J’aperçois dans le miroir une femme qui me ressemble étrangement qui croise les bras sur ses seins .. le visage déformé dans un hurlement de douleur.. Je met quelques fractions de seconde avant de me reconnaître. J’ai mal un mal incroyable je ne pensais pas qu’on pouvait ressentir une telle douleur.. Mais alchimie étrange je suis envahie d’une chaude vague qui me terrasse encore plus fort que la douleur.. Je suis au seuil de l’orgasme.. je jouis.. en fait je suis dans ce moment unique ou l’orgasme n’est pas là il gronde il arrive il suffit d’un battement d’aile de papillon pour que vous hurliez votre plaisir.. Mon papillon ce sera les doigts de Charles qui avec un réflexe inouï.. me récupère alors que je m’effondrais au sol, il est agenouillé m’a pris dans le creux de son bras.. Je m’agrippe a son cou.. il a placé sa main contre mon sexe et en deux frottement de la paume sur mon clito libère la force de mon orgasme.. Quand je dis je me libère c’est totalement.. j’inonde le sol en me vidant totalement. Arc-boutée, pliée en deux dans ses bras, le ventre tétanisé.. je sens mes orifices qui palpitent.. Dans ce néant de douleur et de plaisir je cries, je cherche une bouche je trouve celle de Charles il boit mes cris.. il m’embrasse avec passion alors que je suis secouée de spasmes. A cet instant je suis seule avec lui, plus rien n’existe autour de nous. D’ailleurs autant avant le coup j’ai la vision exacte des choses autant au moment ou j’ai pris le coup et durant ma jouissance je n’ai qu’un fatras d’images floues, tronquées. C’est d’une v******e inouïe, jamais je n’aurais imaginé que l’on pouvait avoir un tel niveau de sensation de perception. Le plaisir reflue, Charles me laisse reposer doucement sur son épaule, il me cajole avec une douceur qui contraste avec ce qu’il vient de me faire. Il murmure des mots à mon oreille… c’est bien ma chérie, doucement respire.. ça va c’est fini.. Je me rends compte que j’étais sans doute dans un état proche de la syncope. Submergé par les sensations mon cerveau a coupé le courant. Je reviens dans le monde normal. Je sens une brûlure lancinante sur le dessus de mes seins.. La main de Charles les caresse doucement me tirant un long gémissement.. bizarrement cette douleur j’ai envie de la ressentir de nouveau et c’est moi qui passe la main sur mes seins meurtris me tirant un autre gémissement plaintif. Charles me prend le menton.- Regarde moi petite… regarde moiJe le regarde dans les yeux il à l’air d’un père fier de sa fille qui vient de réussir le bac. Je me demande bien pourquoi- Hé bien, j’ai pas souvent vu de petites dans ton genre.. Tu as jouis ma belle ?Je ne peux le nier je hoche la tête et m’agrippe à son cou. Je suis quelque peu flageolante mais je me remet de mes sensations. Les garçons, Marie et Michèle me regardent avec un sourire amical.. fier aussi.. Je ne comprend pas vraiment pourquoi… mais je ne suis pas encore totalement revenue dans le monde réel… Y suis je revenue un jour ? Je n’en sais rien. Je baisse les yeux vers mes seins et je vois deux boursouflures qui délimite le sillon tracé par la baguette. Les marques gonflent et se colorent rapidement. Mais sur ma peau noire l’effet est moins impressionnant que sur une peau blanche ou le rouge carmin apparaît vite. Moi j’ai des traces plus violacées.. Mais croyez moi la douleur est la même. A cet instant j’ai su que ce coup serait suivi d’autres car je ne le cache pas même si cette prise de contact brutale m’a terrassée.. J’ai adoré.. adoré l’attente, adoré l’instant adoré l’après.. Je venais de découvrir que j’aimais la soumission çà j’en avais conscience plus ou moins mais que j’étais… disons maso.. Charles était impressionné car j’ai failli avoir un orgasme simplement a cause du coup. Il a du finir le travail.. mais c’est a cause de mon état de novice..- Bon… maintenant que tu sais ce que c’est.. on va s’occuper de Michèle… non ?Jeu un grand sourire quand Charles annonça que la fête continuait… je sais maintenant ce que Michèle allait endurer.. mais je savais aussi ce qu’elle allait y gagner.. un plaisir fou… Savez vous ?? A cet instant je l’ai enviée, si on m’avait proposé sa place j’aurais dit oui… A suivre…….. Un de mes amis m’a dit que je tranchais les récits.. pour faire monter la pression… au moins pour cette fois il a raison.. Mon histoire là m’a coûté… l’effort de me souvenir.. ( et encore ces images sont hyper nettes) mais surtout je veux que vous le sachiez.. je l’ai écrite en 4 fois.. 4 parties a la fin de chaque je me suis donné du plaisir, oui j’ai jouis 4 fois en écrivant .. vous voyez bien qu’écrire est un plaisir.. Sylviane.