L’EAU DE LA FORET

Anal

L’EAU DE LA FORET•L’EAU DE LA FORET•Je me suis dissimulé près de l’étang sur cette rive ombragée et je vis arriver au loin un jeune couple qui se tenait main dans la main. La femme brune, pas très grande, semblait-il, était vêtue d’un short beige assez long, genre bermuda et d’un tee-shirt blanc assez moulant. Elle avait un sac en bandouillère.L’homme plus grand et plus maigre portait un jean classique et une chemisette claire. Il portait un panier dans la main droite. Ils sont arrivés par l’autre chemin, mais ils ne venaient pas dans ma direction…Ils ont bifurqué et, à quelques mètres près, ils sont descendus sur la plage forestière qui m’avait accueilli peu de temps avant. La distance qui me séparait d’eux ne me permettait pas de voir les détails, mais je pouvais assister à la scène sans être vu. D’ordinaire je n’aime pas épier les gestes des autres, mais là, je ne sais quelle curiosité, quelle envie irrésistible et indéfinissable me poussèrent à rester. Je pouvais, en plus, dans quelques temps manger mon piique -nique ici: il allait faire une chaude journée de fin d’été et cette rive ombragée me convenait très bien.Visiblement, ils étaient venus dans ce cadre enchanteur pour les mêmes raisons que moi: la jeune femme enleva son tee-shirt et ôta un soutien-gorge couleur chair, puis chaussures et chaussettes. Elle tomba le short et, sur sa lancée ,se débarrassa d’une culotte pour se retrouver dans le plus simple appareil. Sans être plantureuse, elle n’était pas maigre. Elle avait un ventre généreux sans excès, une vraie paire de fesses et des seins qui, de loin, paraissaient alléchants. Elle rentra dans l’eau. A ce moment là, son compagnon se déshabilla mais il garda un maillot de bain bleu et il resta sur la berge. Sa compagne jouait avec la surface des eaux stagnantes en leur donnant des ondes avec ses mains. Par endroits, la forêt et le ciel se reflétaient dans l’étang et on voyait quelques nuages inoffensifs- jute pour casino oyna faire joli- se déplacer lentement au fond de l’eau. Elle devait être à peu près de ma taille car là où mon sexe devenait sous – marin ,l’eau baigna une tâche noire, probablement celle d’un pubis très poilu. Elle avança encore un peu jusqu’à ce que l’eau vienne toucher la base des seins, les mamelons flottant un court instant comme de frêles embarcations. Puis elle se lança .L’homme, sur la plage, semblait hésiter en la regardant. Elle se tourna vers lui en lui faisant signe de venir. Finalement, il ôta ce maillot de bain qui devait lui paraître bien ridicule et se mit à courir. Il nagea vers elle et son corps était nu comme un poisson.Ils nagèrent chacun de leur côté. Parfois pour se reposer, elle s’allongeait sur l’eau laissant voir des seins troubles et cette petite touffe noire pubienne. A d’autres moments, elle faisait des plongeons sur place on ne voyait plus émerger que pendant un bref instant la croupe formée par ses deux fesses, à l’image des dauphins qui surgissent de la mer pour s’y engouffrer aussitôt. Puis, ils se rapprochèrent, en devenant plus bruyants dans des jeux aquatiques et d’inoffensifs amusements en cet environnement lacustre et sylvestre .A un endroit où ils avaient pied tous les deux, elle leva les bras et le prit par son cou tandis que les siens enserraient sa taille…ou les reins…ou plus bas encore, toute cette anatomie féminine se trouvant en dessous de la ligne de flottaison! Ils s’échangèrent un long baiser mouillé aux senteurs de l’eau dans la forêt. Puis je les vis, de dos, remonter vers la rive où ils avaient étalé des sorties de bain sur le sol; ils se couchèrent et s’enlacèrent.Je ne vous narrerai pas les détails invisibles de là où je me trouvais, mais mon imagination travaillait aussi bien que la vôtre et je sentis un gonflement : celui d’une verge qui avait de la place pour s’exprimer car je m’étais remis slot oyna nu là où personne pouvait me voir. Volontairement gêné par les arbres et les feuillages, je n’ai vu que des bribes d’un échange de ce couple très mobile. A un moment, il était à plat dos et elle était à califourchon sur lui; un peu plus tard ,il avait rejoint un de ces bouleaux qui descendent près de l’eau, il s’était adossé dessus et semblait tenir quelque chose avec ses mains à hauteur de ses cuisses tandis qu’à quelques centimètres, la jeune femme s’était agenouillée: un tronc d’arbre a censuré la scène que je pouvais voir sans la partie centrale: après quoi, il se dégagea, la jeune femme pris l’arbre dans ses mains et se courba et il l’a pris en levrette, du moins c’est cette impression qui est restée après avoir recomposé les différents éléments de ce puzzle érotique et vivant. Les animaux, hôtes de ces bois, ne semblaient pas perturbés: pourquoi la nature serait-elle perturbée par un acte aussi naturel?…Ils prirent un second bain plus court que le premier, après quoi l’homme sortit un pique-nique du panier et ils sont restés là tous les deux nus pour le manger. Et moi, que suis-je devenu? J’avais laissé la liberté d’expression à un pénis ravageur, sans pour autant l’aider dans sa métamorphose trop occupé à admirer, dans de mauvaises conditions, cette scène sublime et inédite qui se déroulait de l’autre côté de l’étang. Je devins un affamé qui se rua sur ses victuailles….Alors que j’entamais le septième chapitre de mon livre, ce qui, je l’avoue, est beaucoup moins palpitant que de monter au septième ciel, nos deux amoureux se sont rhabillés lentement. Je me suis reculé car ils ont regardé dans ma direction, en réalité ils ont regardé ce décor idyllique pour le graver dans leur coeur. Ils ont échangé un dernier baiser et sont repartis par le même chemin.L’après-midi n’était pas encore très avancé en cette magnifique journée à peine troublé canlı casino siteleri par une légère brise provoquant le bruissement des feuilles dans les branches. Aussi suis-je revenu sur le chemin entre les deux rives toujours dans le plus simple appareilsur ces lieux que trois personnes avaient appréciés à des moments différents.Je pris mon second bain de la journée, m’allongeant, moi aussi, parfois sur l’eau laissant ma verge émerger. De retour sur la berge, je me suis étendu à plat ventre en position de grand repos, c’est à dire , le bras gauche replié et le droit le long du corps et l’inverse pour les jambes. Ma mémoire égrena les souvenirs très frais et omniprésents de cette journée inachevée..Mon sexe se gonfla et je le sentais très fort sur le ventre; ma main gauche alla le saisir et le caresser. Je me suis mis sur le côté pour commencer une masturbation; avec l’autre main je suis allé me peloter les fesses en laissant un doigt s’aventurer autour de l’anus; je ne contrôlais plus le décor qui m’entourait. J’étais maintenant à plat dos et j’intensifiais ma masturbation jusqu’à ce que des gerbes de sperme vinrent jaillir sur mon ventre et même sur ma poitrine, une d’elle est venue mouiller le bord d’une lèvre. Je me suis nettoyé avec un essuie-tout que j’avais emporté certes pour un autre usage, puis je suis rentré dans l’onde purificatrice des eaux stagnantes de l’étang. L’ombre gagnait le rivage; un grèbe qui devait avoir son nid du côté des roseaux passa pas très loin; le soleil dardait ses rayons à travers les branches. Je suis sorti de l’eau, je me suis séché mais je n’ai remis que chaussettes et chaussures et c’est nu, avec le petit sac à dos que j’ai pris le chemin du retour comme pour prolonger les délices de cette journée. La famille colvert repris possession de la totalité de son territoire comme toute la faune de ces lieux. J’ai remonté l’étroit sentier jusqu’à ce que je découvre à environ trois cent mètres devant moi cette lumière rectiligne qui me signalait la présence de la grande allée. Là je me suis rhabillé avant de reprendre ce large chemin qui ramène à la voiture, à la route, aux villages et aux villes, à la prétendue civilisation.