Mme Claude

Creampie

Mme ClaudeJe suis tombé en panne de voiture en fin de journée à quelques kilomètres du village où j’avais réservé une chambre alors que j’étais en voyage d’affaires. J’ai fait du stop en pensant demander au garagiste du coin de venir dépanner le lendemain. Personne ne passait sur cette route isolée. J’ai marché un bon moment puis j’ai entendu un moteur. Une grosse voiture s’est arrêtée et la conductrice a baissé la vitre du passager. C’était une femme dans la cinquantaine belle, bien habillée, sûre d’elle : « alors jeune homme que vous arrive-t-il ? ». J’ai rapidement expliqué mon cas et elle m’a déposée au gite où j’allais. J’ai remercié et cette dame m’a tendu sa carte en me disant « si vous avez envie ». Puis elle est repartie rapidement. Après avoir intégré ma chambre et pris une douche j’ai retrouvé la carte sur laquelle était simplement inscrit « Madame Claude, hôte puis un N° de portable ». Je fus très intrigué et après le dîner je demandais à la serveuse si elle avait entendu parler de cette Mme Claude. « Oui dit-elle c’est la dame qui vous a déposé. Elle habite un demeure à quelques kilomètres depuis une dizaine d’années mais personne ne le connait vraiment dans le coin ». Le lendemain j’ai récupéré ma voiture et traité mes affaires puis repris la route. Rentré chez moi j’ai fait des recherches internet et j’ai trouvé que cette Mme Claude recevait des couples qui avaient besoin de discrétion pour passer une soirée et une nuit ensemble. Au téléphone elle précisa « Je reçois aussi des messieurs seuls qui ont besoin d’une compagnie choisie que je leur fournis ». Je la remerciais car j’avais compris son activité. Lors de mon prochain passage je réservais une chambre chez elle. Dès mon arrivée en fin d’après-midi elle fût charmante et me mis très à l’aise. « Vous êtes jeune et vous avez peut-être envie de compagnie pour ce soir. Si oui dites-moi ce qui vous ferait plaisir, et vous pouvez tout me dire. En général je satisfais mes clients ». Prudemment je lui demandais quelles étaient kaçak iddaa les prestations habituelles. Elle se pencha vers moi, je sentais son parfum et elle me dit « J’essaie de satisfaire tous les désirs possibles même les plus audacieux à la condition qu’il n’y ait pas de plainte ». Elle sortit une tablette numérique, en déverrouilla l’accès sécurisé et me dit feuilletez, choisissez, je vous dirai ensuite si c’est possible pour ce soir et à quel tarif ». Installez-vous dans ce fauteuil et prenez votre temps je vous amène un bon whisky. C’était un catalogue de partenaires jeunes des trois sexes, de toutes origines, qui décrivait les prestations proposées par chacun et qui pour la partie sexuelle était très précis. Il y en avait au moins trente. Je vis un jeune travesti en tenue de soubrette tenant un god à la main, une grande femme rousse tenant un fouet, une belle femme noire portant des menottes, un homme musclé de type arabe avec pleins de tatouage, un gentleman en costume buvant champagne, une naine en tenue d’enfant, un couple très complice en train de faire l’amour, une petite brune en tenue d’écolière, une grande blonde avec des bottes et une veste de cuir cloutée. C’était très complet et il y en avait pour tous les goûts. Je repris tout le catalogue depuis le début en cherchant quelle proposition allait me stimuler. Je retins une fiche avec une asiatique aux yeux très bridés, mince, beau mate, beaux seins, pilosité noire au pubis qui proposait en robe du soir indécente une soirée féline. Je la montrais à mon hôtesse qui sourit en disant « Très bon choix, c’est un sucre d’orge délicieux. Je sais de quoi je parle car je l’ai essayée. Elle est sensuelle et perverse. Elle aime ce qu’elle fait, le fait bien et jouit de façon très visible ce qui est toujours agréable pour son client. Mais elle est chère car c’est un produit rare et elle aime aussi l’argent. Je vous dis dans un instant si elle est disponible pour dîner avec vous. Elle revint très vite pour me confirmer qu’elle serait kaçak bahis là pour 19 heures et me demanda de régler sa prestation tout de suite. Je fis une entorse à mon plan d’épargne et allait prendre une douche et me changer.Le téléphone sonna et mon hôtesse me dit « votre invitée est là elle vous attend au bar ». Je la vis debout devant le bar. Elle était superbe, grande, dans une robe du soir très décolletée en V presque jusqu’au nombril. Ses tétons pointaient sous le tissu soyeux. Elle se tenait très droite avec des épaules basses et larges. Son ventre très plat mettait en valeur un pubis bombé et ses jambes galbées s’échappaient d’une robe assez courte. Je fus subjugué par la beauté de cette femme qui ne devait pas avoir trente ans. Elle me sourit autant avec la bouche qu’avec ses petits yeux noirs en amande puis elle me dit « très heureuse de vous rencontrer pour cette soirée, je prendrai une coupe de champagne ». Nous avons fait connaissance. Elle avait fait beaucoup de danse puis des études d’ingénieur en informatique et aimait la culture, le luxe et le sexe. Elle en parla avec un naturel rare chez une femme en me disant qu’elle aimait la jouissance apportée par le contact des corps. Nous sommes passés à table pour un repas qu’elle choisit. Elle était face à moi sur une petite table devant la cheminée. En cours de conversation elle fit glisser une bretelle de sa robe et fit apparaître un sein à l’aréole sombre et érigée. Elle me regarda dans les yeux et dit « ça vous plait ? Je vous montre les deux » et elle dégagea son autre sein. J’eu du mal à soutenir son regard mes yeux étant captivés par ces deux seins à l’air libre. Elle ajouta « je ne porte jamais de culotte ». Le serveur ne semblait pas choqué et continuait son travail. Mon invitée parla de ses études et de sa passion pour la danse qu’elle pratiquait assidûment. Elle précisa « je suis très souple et contorsionniste, je vous fais voir ». Je senti son pied nu remonter le long de ma jambe, caresser l’intérieur de ma illegal bahis cuisse et masser mon sexe alors qu’elle n’avait pas bougé sur sa chaise et qu’elle continuait de me parler de son dernier voyage en orient. Elle dit doucement « sort on sexe je vais te branler avec mes pieds ». Tout en continuant de manger elle remonta ses deux jambes sous la table et pris ma bite entre ses pieds pour la masser doucement. Je n’ai tenu longtemps et lui ai dit « si vous veniez poursuivre cette conversation de façon plus intime dans ma chambre ». Elle approuva en me précisant « je vous accorde mon temps jusqu’à minuit, il vous reste deux heures pour me faire jouir ».La suite fut étonnante car cette grande fille était d’une souplesse fantastique. Elle me fit l’amour dans toutes les positions possibles, me suça alors que j’étais debout, en se tenant sur ses mains et m’offrant sa chatte ouverte par des cuisses en grand écart et en précisant « met ta langue dedans j’aime ». Elle avait un goût délicieux un peu épicé et son sexe très humide montrait qu’elle aimait ce qu’elle me proposait. Je la pris en levrette sur le lit. Elle se cambrait tellement qu’elle arrivait à me regarder dans les yeux pendant que je la pénétrais. Elle me dit « tu sais tu peux aussi profaner mon cul j’aime bien aussi ». Je l’ai sodomisée et elle a accompagné mes coups de bites par des ahanements gutturaux très animaux. Cette femme était une bête de sexe exceptionnelle maîtrisant parfaitement son sujet car peu avant minuit elle jouit de façon spectaculaire, avec force vibrations de tout son être, entraînant mon propre orgasme non moins exceptionnel car cela faisait plus de deux heures que j’étais sous tension. Pendant que je récupérai un peu elle a enfilé sa robe sur son corps souillé. Elle est venue s’asseoir sur le lit, m’a fait une bise sur les lèvres en me disant « merci de vote invitation, c’était une soirée très agréable » puis elle est sortie et je ne l’ai jamais revue. J’ai mis un an pour boucher le trou fait dans mon compte bancaire mais je n’ai rien regretté. Cette femme était une diablesse. Quelques mois plus tard je lus dans le journal, avec peine, que Mme Claude était inquiétée par la justice pour ses activités illicites.