Couple Vanille 3

Babes

Couple Vanille 3Bon c’est pas tout, mais tu m’as ouvert l’appétit j’ai faim ! Mon épouse s’empressa de le servir. Chaque fois qu’elle s’approchait de lui,pour changer un plat ou remplir son verre de vin,il laissait courirsa main sous sa jupe et ma maîtresse lâchait des soupirs, puis il la congediait d’une claque sur les fesses. J’étais fasciné de voir ma maîtresse si facilement domptée. -C’est délicieux, presque autant que ta chatte lâcha t’il. Mon épouse lui répon d’un timide merci. Elle qui avait horreur de la grossièreté semblait tout accepter. -Pas trop chaud aux fesses ma salope ? Avec moi se sera comme ça, si tu n’obéis pas sache que ton cul s’en souviendra,mais je suis sûre que tu aime ça ou que tu vas vite y prendre goût, comme de ma queue. Tu y es déjà accro, je me trompe ? Le visage de ma femme s’empourpra avant de répondre d’un bref oui. -Viens ici ! Lança t’il. Elle se leva et se positionna tout contre lui. Aussitôt la main droite de ce grossier personnage passa sous sa jupe, et rapidement je pus constater que celle ci restait immobile, c’était elle qui montait et descendait sur, je l’imaginais, un ou deux doigts qui la fouillait. -Alors ? On a honte de dire les choses ? Regardes toi, en deux heures tu t’es transformée en une grosse salope accroc à ma queue, pourquoi ne pas le dire ? -Ouuiiii ! Ouuiiii ! Je suis une salope ! Ouuiiii je la veux ! Elle montait et descendait de plus en plus frénétiquement sur cette main toujours immobile. Elle était possédée, dans tous les sens du terme. Il baissa sa main et l’interrogea : tu la veux ? quoi donc ? Elle semblait manquer d’air, Son bassin descendait plus bas, cherchant le contact de la main qui l’avait surexcitée. -Ta grosse queue ! Tes doigts ! Oh ! ça me rend folle ! -Tu vois, trois doigts dans ta chatte et te voilà matée. Si j’avais su quelle salope tu es, crois moi tu serais déjà une bonne vide couille ! Pas grave on va s’y mettre, hein ? Il se remit à la branler avec vigueur. -Ouuiiii ! Ouiiii ! Je serai ton vide couille ! Ta salope ! Ta pute ! Oh ! encore ! Encore ! Elle pétait les plombs, elle s’emmanchait sur ces doigts comme si ça vie en dépendait. Subitement il retira sa main après lui avoir claqué une fois de plus les fesses. -Hooo ! Ne me laisse pas en cet état, je vais devenir folle ! Il recula la chaise sur laquelle il siégeait, la prit par la taille et la bascula sur ses genoux. -Ta gueule sale pute ! Je fais ce qui me plaît ! Et une terrible fessée s’abatit sur le fessier de ma maîtresse. Attaché sur mon lit j’assistais à ce spectacle, l’anneau de ma cage de chasteté écrasait mes testicules douloureusement, pourtant afyon escort bayan je sentais mon sexe couler sans discontinuer. Les fesses de mon épouse prenait cher. -Tu ne me tutoies plus ! Compris ? Splaf, Splaf, ça tombait dru. -Oui ! Oui ! Pardon ! Pardon ! Pardon mon maître ! Répondit elle les larmes aux yeux. Ce mon maître paru lui plaire, il continua à la fesser de manière moins forte et passa sa seconde main entre ses jambes. -T’es vraiment une salope ! T’as le cul presque bleu et tu mouilles que s’en est indécent ! A voir le mouvement de son avant bras il l’a branlait énergiquement sans cesser de la fesser. Mon épouse hurlait son bonheur dans ce mélange de douleur et d’excitation. -Oooohhhh ! Je vais jouiiiirrrr ! Oooohhhh c’est fort ! Continuez ! Continuez mon maître ! Ohhhh ouuiii ! Ouiiii, ce doigt, ce doigt, dans mon cul ! Ouiiiiiii ! -C’est mon pouce salope ! Il te fait du bien, hein ? Ton cul aussi je vais m’en occuper ! Il est bien serré, plus pour très longtemps ! -“Ouiiii ça me rend folle ! Oh que c’est bon ! Ramonez moi ! Ooooouiii comme ça ! Ouiiii ! Il la faisait chanter comme il voulait, tantôt plus fort en accélérant, puis plus lentement en la fessant plus fort. Elle avait perdu toute mesure Il arrêta net, laissant mon épouse sur sa faim, elle avait l’air hébétée. Dieu qu’elle était belle et désirable. -Allez suces moi pouffiasse, que je t’encule après ! Lâcha t’il. Aussitôt et sans ne faire aucune remarque elle se mit à genou entre ses jambes et fit durcir ce pieux qui me paraissait chaque fois plus gros. Elle faisait des efforts pour plaire à son maître, elle réussissait à emboucher la moitié du sexe de son bourreau. -C’est bien vide couille ! D’ici un mois tu la prendra en entier ! Va chercher un lubrifiant ! Et je ne veux rien entendre ! Compris ? Ce soir je te casse le cul ! Tu vas aimer, pute comme tu es ! Elle disparue un moment puis revint avec le nécessaire. Entre temps il s’était installé sur le canapé. Mon épouse s’installa directement entre ces jambes et repris sa fellation tout en tendant le tube à son maître. -C’est bien, t’as compris ou était ta place, ohhh c’est bon, oui, lèches moi les couilles ! Oui fais moi bander bien dur ! Quelle salope ! De fait, je voyais mon épouse s’affairait entre ses jambes, sa tête montait, descendait, au rythme des soupirs de son amant. -Allez ça suffit, viens emmener ta petite chatte ! Dépêches toi avant que je ne change d’avis ! Il s’était assis au bord du canapé, son sexe bien tendu dépassait de ses jambes serrées. Elle resta debout, mis une jambe de chaque côté de ses genoux et descendit lentement, sa afyon escort main sur son sexe guidant l’intromition . -Ooooh ce qu’elle est bonne ! J’ai jamais connu ça, elle le me remplit entièrement ! Elle faisait durer le plaisir, centimètre après centimètre sa chatte gobait ce magnifique sceptre. Il donna un coup de rein et posséda entièrement ma maîtresse, celle ci avait la bouche en cul de poule, seul un râle sortait du plus profond d’elle. Il accéléra, mon épouse reprit sa chanson ! -Oh, !mon dieu ! C’est pas possible ! Oh que c’est bon ! Ouuiii ! Ouuiii !. Elle était de dos et ne vit pas son maître s’enduire les doigts de lubrifiant. L’un de ses doigts vint titiller puis pénétrer son trou interdit. -Oh c’est divin ! Quelle salope je fais ! Oh oui branle moi le cul ! -Tu imagines, lorsque ce sera une deuxième bite qui te massera la rondelles ? -Oh, c’est fou ! Non toi,rien que toi ! Mon cul sera à toi ! Il engagea un second puis un troisième doigt. -Oh putain ! Tu me defonce le cul ! Oh, ta bite, t’es doigts, c’est trop ! C’est trop ! Elle se mis à hurler et dans sa jouissance elle éclabousse de cyprine la queue et les jambes de son maître, qui lui. retira ses doigts après avoir sorti son sexe de sa chatte et le présenta devant son anus. -Allez ma petite pute, descend sur ma bite, quand tu l’aura prise dans le cul tu sera définitivement à moi ! -Attendez maître, je n’en peux plus, le dernier orgasme m’a épuisée ! Sa main remonte rapidement vers son sein gauche et en pinça le bout, que je savais sensible. -Arrêtez ! Ça fait trop mal ! -Je n’arrêterai que lorsque tu te sera empalée ! Mon épouse toute grimaçante qu’elle fut, prit le sexe dans sa main, le branla un peu, le présenta à son entrée interdite et descendit lentement , très lentement. -Oh c’est énorme ! Ça ne rentrera jamais ! À ce moment là, la seconde main de Simon vint accrocher le téton du sein libre. Et soudain il tira les deux seins vers le bas, amenant mon épouse à descendre tout en s’empalant. -À toi de choisir ta douleur, tes seins ou ton cul dit il sans la moindre émotion. Mon épouse descendit et malgré sa souffrance, bientôt son cul toucha ses couilles. Il ne bougea pas, la laissant s’habituer. -Oh je me sent fendue en deux ! Il commença à bouger lentement, la tenant par les hanches. Mon épouse semblait être une poupée désarticulée, sa bouche était grande ouverte mais aucun son n’en sortait. -Tu dois bien la sentir là ! Mais ce n’est rien, tu vas voir quand je vais te le défoncer, tu vas hurler ton bonheur ! -Doucement maître, doucement , je me sens complètement possédée. N’entendant pas sa supplique Simon accéléra escort afyon sous les cris de douleur de sa soumise.Je voyais cette énorme colonne de chair entrer et sortir de cet orifice que je n’avais jamais possédé. Bientôt les cris de ma douce changèrent de ton, derrière la douleur elle semblait découvrir du plaisir. Simon avait passé son bras au niveau des hanches et lui caressé son clito, son autre main était revenu pincer les tétons et ma femme montait et descendait de plus en plus rapidement sur son sexe -J’te l’avais pas dit pouffiasse que tu aimerais ? T’en prend plein le cul et t’aime ça ! Tu vas bien m’essorer la queue salope! -Oooooh ! Ooooh ! Il la reprit aux hanches, la bascula en position de levrette et commença à la défoncer avec vigueur, sans oublier de grandes claques sur ses fesses déjà meurtries.-A qui il est ce cul ? -Àaaa. Vooouuuusss mon mmaaaiiitre ! Je suis à vous ! Ohhhh oui, defoncéez moi ! Il accéléra encore, rentrait, ressortait à une vitesse folle. -C’est ça qu’il te fallait, une bonne queue dans ton cul ! -Ouuuiiiii ! Ouuuuiiii ! Merci mon maître ! Elle hurlait.Je l’avait connu expressive , mais dans la mesure, là elle avait perdue pied et était entièrement soumise par ce sexe. Parfois il ressortait, entièrement son sexe et observait le résultat de son pilonnage. -Ah ! Ah ! Ne bouge plus, j’adore voir ton trou defoncé, on y passe trois doigts sans problème. Et il reprenait possetion de son cul. Il la limait méthodiquement, il savait que chaque coup de queue la rendait plus dépendante. Debout derrière elle il pouvait l’entendre hurler, il lui tenait les deux bras dans son dos d’une main et la fessait de l’autre -Regardes comme t’aime te faire défoncer le cul salope ! Il arrêtait de la ramoner et aussitôt elle suppliait-Encore ! Encore ! Et le bruit de son ventre sur ses fesses reprenait de plus belle’. Il lui lâcha les bras. -Allez, branle toi le clito ! -Merci ! Ohhhh merci mon maître ! Effectivement elle se branlait le clito frénétiquement et de temps en temps se rentrait trois doigts dans la chatte, -Tu te ferais bien limer la chatte par une autre grosse queue, hein ma pute ? -Hooooo Ouuuuiiii ! -Ça viendra ma petite pute ! J’en connais qui payerai cher pour voir ta grosse gueule enfin soumise ! Il lui donna encore quelques grands coups de queue. Il la savait vaincu et il se déversa en elle. -Oh que c’est bon de te casser le cul ! T’as pas fini d’en prendre, tu vas être une bonne chienne. Ça va être un réel plaisir de te faire ramper pour avoir l’honneur de me vider les couilles ! -Oui mon maître, j’adore ça, faites de moi votre pute ! -C’est sûre que ton cocu ne posera pas de problème ? -Non mon maître, mon cocu est un homme soumis, il faut dire qu’avec sa petite queue.. -Ah ! Ah ! Je te donnerai des conseils ! Allez, il se fait tard, je me rentre, si tu veux me revoir t’as mon 06 !