1er rendez-vous

Anal

1er rendez-vousQuand Delphine rencontre Philippe.Après bien des échanges sur Facebook, j’ai fini par céder aux demandes de Monsieur Philippe. Le jour fixé, je me suis rendue chez lui, dans la tenue qu’il avait déterminée.Sous un long manteau, je dissimulais donc un soutien-gorge « seins nus », un porte-jarretelles gainant, des bas coutures, une mini-jupe et un chemisier. Le tout, de couleur noire. Mes pieds étaient chaussés par de petites ballerines, et j’avais dans un sac, une paire de bottes à talons. A l’heure convenue, je me présentais à la porte d’un immeuble cossu et composais le code d’accès. Je poussais le battant et entrais dans un hall. Au fond, se trouvaient les portes de l’ascenseur. En attendant l’arrivée de la cabine, je quittais mes ballerines et enfilais mes bottes. Les portes s’ouvrirent et je m’y introduisis. Durant la montée, j’ôtais mon manteau. Je dois bien avouer qu’à ce moment là, mon cœur se mit à battre la chamade. C’était la première fois que je me rendais chez lui et la peur de croiser un voisin n’avait rien pour me donner confiance. La porte s’ouvrit et je sortais sur le palier. Une voix se fit entendre pour m’indiquer vers quel appartement, je devais me diriger. Sur le carrelage du couloir, mes talons claquaient et j’avais l’impression que le bruit résonnait dans tout l’immeuble. Je découvris très vite une porte entrouverte, rentrai dans l’appartement et la refermait derrière moi.La voix de Monsieur se fit à nouveau entendre pour me donner deux ordres. Le premier était d’accrocher mon manteau dans le placard, le second pour m’intimer de me mettre à quatre pattes. Je m’exécutais sans oser dire quoique ce soit. A nouveau, la voix de Monsieur m’ordonna de venir le rejoindre dans la pièce où il se trouvait en gardant les yeux rivés vers le sol. J’arrivai bien vite dans une vaste pièce. « Stop ! » me dit-il alors. Je me figeai. Il tourna autour de moi comme pour me juger et finit par dire : « C’est parfait, tu es même mieux que je ne l’avais imaginé ». Sur son ordre, je relevais la tête et découvris güvenilir canlı bahis siteleri que Monsieur était entièrement nu. Il s’installa dans un canapé et me fit signe d’approcher. Je me retrouvais à genoux devant lui, entre ses jambes ouvertes. Sons sexe était encore au repos mais bien proportionné. D’un claquement de doigts, il me fit comprendre que je devais me mettre au travail. Mes mains prirent sa queue et les portèrent à ma bouche que j’ouvris pour y faire pénétrer cette colonne de chair. Je commençai par cracher avant que de l’avaler lentement dans ma bouche. J’entrepris alors de lents allers-retours sur cette bite. Monsieur ne disait rien mais semblait satisfait de la pipe que j’étais en train de lui tailler. De temps à autre, j’abandonnai ce dard pour m’occuper des couilles que je gobais l’une après l’autre, avant que de recommencer ma succion. Je profitai de ce moment pour passer ma langue sur son gland et le titillai. Je le suçais depuis déjà quelques minutes quand je sentis quelque chose de froid se refermer autour de mon cou. Je compris très vite qu’il s’agissait d’un collier en métal, qu’il referma avec un cadenas. A partir de cet instant, je devins sa chose. Alors que je prenais plaisir à le pomper, Monsieur se redressa et vint poser ses mains sur mes fesses. Il me demanda de faire demi-tour sur moi-même. Il attrapa ma culotte et la fit descendre jusqu’à mes genoux. Sans me relever, je finis par la faire glisser jusqu’à mes chevilles et à la retirer. Ma petite chatte lui apparut libre de toute entrave. Il commença alors à séparer mes globes fessiers et à titiller l’entrée de ma chatte. Il humidifia un premier doigt et l’introduisis délicatement à l’intérieur de moi. Je me tortillais pour exprimer mon plaisir d’être ainsi fouillée. Un second, puis un troisième, vinrent rejoindre le précurseur à l’intérieur de mes reins. Mon petit clitoris de salope donnait quelques signes de satisfaction en se redressant timidement et en laissant échapper quelques gouttes de mon jus. Monsieur güvenilir illegal bahis siteleri s’en rendit compte très vite et se prit au jeu. Il me demanda alors si j’avais déjà été fistée. Je lui répondis que non mais que j’aimerai bien qu’il soit celui qui m’initia à ce plaisir. Il ne répondit pas. Il se pencha vers la table basse et de sa main libre, il prit quelque chose. Ses doigts se retirèrent pour laisser place à quelque chose de froid. Il m’autorisa à regarder vers lui et je découvris stupéfaite qu’il avait planté le goulot d’une bouteille dans mon cul. Il prit un malin plaisir à le faire aller et venir, l’enfonçant toujours plus loin. Sous cette action, les muscles de ma chatte s’ouvrirent un peu plus et la bouteille continua son chemin. Grâce à du gel, la partie évasée finit par disparaître dans mon trou du cul. Il ne poussa pas le jeu plus loin mais la laissa ficher en moi quelques minutes. Quand il la retira, après avoir enfilé un gant et l’avoir enduit de gel, ma chatte était suffisamment ouverte pour laisser place à sa main. Il la fit entrer lentement, doigt après doigt. Très vite, je sentis la présence des cinq doigts, qui me fouillaient. Son poignet entra à son tour et il se mit à me travailler la chatte comme jamais encore je ne l’avais ressenti. Ce nouveau jeu dura un certain temps. De temps à autre, je me laissais aller à prendre du plaisir à être ainsi occupée. Quand Monsieur retira sa main, il la présenta à ma bouche et je dus lécher le gant qui venait de me posséder. Quelques instants plus tard, il s’agenouilla derrière moi, et me planta son dard entre mes fesses. Il entama des va et viens lentement au début, puis il accéléra le mouvement, allant de plus en plus loin dans mes entrailles. Je subissais cette « sodomie » en y participant malgré moi car je tortillais du cul et tendais mon cul pour le prendre toujours plus fort. Monsieur semblait prendre son pied car il m’insultait, me traitant de tous les noms possibles tels que salope, pute, chienne. Il finit par ne güvenilir bahis şirketleri plus se retenir et cracha sa semence à l’intérieur de moi. Je pensais qu’il en avait fini avec moi, mais non, loin de là. Il débarrassa la table basse et m’intima de m’y allonger, sur le dos. Sans me faire prier, je m’exécutais. D’un tiroir, il tira une paire de menottes qu’il passa à mes poignets et des bracelets, eux aussi en métal qu’il fixa à mes chevilles, les reliant à des anneaux fixés à différents endroits du dessous de la table, mais cela je le constaterai plus tard, par des mousquetons. Ainsi disposée, mes deux trous devenaient accessibles dont disponibles. Il vint alors se placer au-dessus de ma bouche et tandis que j’entreprenais une nouvelle pipe, il commença par s’amuser avec mes tétons en tirant dessus, en les pinçant entre ses doigts et en les faisant tourner. Ce petit jeu me fit réagir ce qui lui déplu. Il administra quelques claques et mon désir s’évanouit. « C’est ainsi que je te veux, salope » me dit-il, avant que d’ajouter « jamais d’érection en ma présence. Tu es là pour subir mes plaisirs, pas pour en prendre ». Je m’entendis répondre, un « oui Monsieur » qu’il me demanda de répéter plusieurs fois, chaque fois un peu plus fort. Ses doigts abandonnèrent mes tétons pour se présenter à l’entrée de ma chatte. Une seconde exploration s’en suivit. Tandis qu’il me fouillait, mes mains partirent à la découverte de son corps. Il changea de position et ayant repris vigueur, il vint à nouveau me pilonner. Je criai mon plaisir à être ainsi prise telle une femelle à la disposition de son mâle. Cette démonstration de bonheur lui fit plaisir. Se sentant près de la jouissance, il se retira da ma chatte et vint se vider au fond de ma gorge. Je commençais par m’étouffer sous cette décharge que je n’aurais pas crû aussi intense mais je finis par déglutir tout ce sperme. Cette liqueur chaude et salée me remplit de bonheur.Monsieur me libéra et m’invita à venir m’asseoir à côté de lui. Il entreprit de déboucher une bouteille de champagne et en servit deux coupes. Tout en dégustant ce breuvage, nous prîmes le temps de discuter de tout et de rien. Je lui racontai comment de fils unique, j’avais découvert mon goût pour la féminité, et avais décidé de vivre en femme.En début de soirée, nous nous séparâmes, en nous promettant de nous revoir.