Stéphanie de femme fidèle à chienne _2

Gangbang

Stéphanie de femme fidèle à chienne _2Cette histoire est une fictionPauloLes deux hommes me reconduisent jusqu’à la plage. Personne n’est arrivé durant mon absence, pendant qu’ils prenaient possession de mon corps, et heureusement pour moi, car j’ai eu seulement le droit de remettre le bas de mon maillot de bain. Je récupère mon sac de plage. Je range mes affaires et sors ma robe, mais Idris m’ordonne de la ranger. J’essaie de le convaincre de me laisser m’habiller, mais il refuse de m’écouter. Il ne m’accorde pas plus le droit de remettre le haut de mon maillot et d’au moins cacher ma poitrine.À force d’insister, Ahmed récupère des mains d’Idris mon haut. Je crois qu’il va me le rendre, mais il le réduit en morceaux sous mes yeux.— Comme ça c’est réglé.Je les suis donc, ma grosse poitrine à l’air se balançant à chacun de mes pas. J’ai honte de moi, j’ai peur de ce que les gens pourraient penser et s’imaginer sur ma tenue en compagnie de deux jeunes hommes. Ils ne tarderaient pas à comprendre ce que j’ai fait.Par miracle, nous ne croisons personne. Une déception pour les deux hommes qui avaient envie d’exposer la salope qu’ils venaient de se taper.Arriver sur le parking, Ahmed ouvre la portière de sa voiture. Mon véhicule restera là pour le moment. Je ne cherche pas à discuter, juste à me cacher. Je vais pour me jeter sur la banquette arrière, mais Idris me barre le passage.— C’est pas une tenue pour circuler.Sa réflexion a le don de m’énerver. Je revois les vestiges de mon haut qui vont finir par s’éparpiller dans les dunes.— C’est de votre faute.— Sur un autre ton, salope. Et t’as pas l’air de comprendre. Une chienne comme toi ça circule en voiture complètement à poil.— Vous plaisantez ?— J’ai l’air. T’as déjà oubliée la sixième leçon, la plus importante de toute ? Une chienne doit une obéissance absolue à son maître. Tu ferais bien de t’en rappeler où tu risques d’avoir des problèmes avec Paulo.Sa façon de parler de cet homme me donne des frissons. Déjà qu’ils n’ont pas été tendres, je me demande vraiment ce que ce Paulo va bien pouvoir me faire ? Je décide d’essayer de les convaincre de nouveau de s’occuper personnellement de moi.— Pourquoi allez le voir ? Vous vous êtes montrés des amants exceptionnels. Je suis convaincu que vous saurez parfaitement vous occuper de moi et faire de moi votre petite chienne docile.— Bon on va mettre les choses au clair une bonne fois pour toutes. Soit tu fais ce qu’on te dit et tu montes dans la voiture, soit on te laisse ici et tu retournes à ta petite vie insipide. Tu choisis quoi ?Me revoilà à un tournant décisif. Tout à l’heure, j’étais emporté par les extraordinaires orgasmes qu’ils m’avaient procuré et ils auraient pu me demander n’importe quoi. Désormais, j’ai l’esprit clair.Retourner à une vie calme et sereine où je pourrais garder secret ce moment dans les dunes ou bien les suivre et m’enfoncer un peu plus loin dans la luxure, me laisser emporter par tous ces fantasmes qui ont envahi ma triste sexualité ? Le choix devrait être simple et évident, mais j’entends une petite voix intérieure qui me pousse à aller plus loin, à voir jusqu’où ce chemin qu’ils me proposent d’aller peu m’emporter?? Quels plaisirs vais-je pouvoir y découvrir ?— Je viens.— Parfait. Bon choix, salope. Tu le regretteras pas, crois-moi.Je regarde autour de moi, encore emplie de honte de ce qu’il me reste à faire.— À poil et vite.Ma culotte de bain se retrouve à mes chevilles. Même après tout ce que j’ai fait et ce que je m’apprête à faire, je sens le rouge me monter aux joues en apercevant les traces de sperme qui la recouvre. Je n’ai pas le temps de la ramasser, Idris me pousse à l’intérieur et claque la portière. Les deux comparses montent devant et Ahmed fait crisser les pneus de sa voiture, abandonnant sur le parking mon maillot souillé.Je ne sais plus où me mettre et comment me tenir. Alors qu’ils ont pris possession de mon corps il y a quelques minutes à peine et que j’ai adoré ça, je frémis à chaque fois que je croise leur regard dans le rétroviseur central pendant qu’ils me matent.— Je crois qu’on a bien fait de se décider à la confier à Paulo. Il y a pas plus doué que lui pour transformer un bourge BCBG en pute intégrale. Tu vas voir, il va réveiller la chienne qui sommeille en toi comme personne. Même une fois que tu seras reparti tu pourras plus redevenir la même, tu resteras la bonne vide couille qu’il aura faite de toi et tu passeras ton temps à chercher des mâles à dégorger.Une perspective qui m’affole tout autant qu’elle réveille un puissant sentiment de désir et d’excitation. Mes ardeurs sont vite douchées quand nous arrivons en ville. Trop de personnes peuvent me voir nue. Je cherche à me couvrir de mes bras comme je peux et je replie mes jambes sur mon torse. Cela déplaît à Idris qui m’ordonne d’arrêter. Je ne lui obéis pas assez vite.— Dépêche-toi ou Ahmed se gare en plein centre-ville et on t’abandonne là.— Si vous faites ça, je vous fais accuser de viol et ce n’est pas les preuves sur mon corps qui manqueront.— Et si tu fais ça, on leur montrera la vidéo où on voit clairement que tu es consentante.Je deviens blême. Comment peuvent-ils avoir une preuve de ce que je les ai laissés me faire ?— Quelle vidéo ?— Celle qui était prévue pour immortaliser Idris pendant qu’il tringlait sa petite pute que je devais faire et qui s’est finalement intéressée à toi ma salope, dit Ahmed.— Alors on fait comment ? demande Idris. Tu reviens sur ta parole et on te dépose et tu t’humilies publiquement et tu peux dire adieu à ta belle vie, ou tu te tiens comme il faut et tu assumes le fait que tu es une salope qui part à la rencontre de son nouveau maître ?N’ayant pas vraiment d’autre choix, j’adopte la position demandée.La traversée de la ville se fait sans encombre ou presque. Quelques rares personnes se sont retournées à notre passage, mais je n’ai pas eu la certitude qu’ils avaient réalisé que je ne portais absolument aucun vêtement, pas même une culotte. Beaucoup ont dû croire que j’étais simplement les seins à l’air. Pour ça, j’ai beaucoup été aidé par la chance qui a bien voulu que tous les feux de signalisation que nous avons croisés aient tous été verts.Nous finissons par sortir de la ville et je peux de nouveau me détendre. Pour la première fois, je peux me faire la réflexion que ce n’est pas désagréable d’être entièrement nue dans une voiture.À force de nous éloigner de la ville, je commence à me demander où se trouve ce fameux Paulo. Nous nous trouvons en pleine campagne quand Ahmed emprunte une route qui voit visiblement peu de passage. Nous arrivons finalement dans ce qui a dû être une base militaire et qui est aujourd’hui complètement désaffecté.— Ne me dites pas que votre ami vit ici ?— Si. C’est là qu’habite ton futur dresseur. Un bon paquet des salopes de la région sont passées par là.Idris me fait descendre de la voiture pendant qu’Ahmed récupère mon sac dans le coffre. Ils m’encadrent tous les bahis firmaları deux et me guident au milieu des bâtiments désaffectés. Nous arrivons devant ce qui a dû être un baraquement. Leur ami Paulo est là, il est assis sur une chaise en plastique. Ce n’est vraiment pas l’homme que je m’étais imaginé. Idris et Ahmed sont grands et musclés, Paulo me semble d’une taille normal. Tout son corps est recouvert de poils et il a du ventre. Pas énorme d’accord, mais assez imposant. Il a de longs cheveux noir gras qui lui tombent sur ses épaules. Même à cette heure de la journée, alors que le soleil n’est pas encore très fort, son corps entier est brillant de sueur.— Ahmed, Idris, qu’est-ce que vous foutez ici ? C’est qui cette vieille vache qui vous accompagne ?— Ta future essoreuse de couilles.Paulo me fixe en grimaçant.— Ouais, faut voir. Je préfère tringler des petits oiseaux tout juste tombés du nid normalement, des fruits tout juste mûrs, pas des flétris comme elle.— Elle est pas toute jeune, mais ces trous ont pas beaucoup de kilomètres au compteur. Son mari à pas l’air d’avoir compris qu’il avait épousé une grosse salope.Je me retiens de parler et de leur dire ma façon de pensée. Je sais que je ne suis plus une jeunette comme il dise, mais je ne suis pas non plus une grand-mère.Paulo se gratte la tête.— Si tu me dis ça, c’est que vous l’avez testée avant de me l’amener.— Oui, on lui a fait la totale, gorge profonde, sa chatte et son cul y ont eu droit et on l’a même fini en double en se vidant dans ses trous.— Pas de capote. Un bon point. Et vous la chassiez depuis combien de temps avant de réussir à la tirer ?— On l’a débusquée ce matin et on l’a tirée direct. On a refait ses niveaux de foutre juste avant de te l’amener.— Pas mal. Et il se trouve où le cocu de cette chienne ?— Il est pas là. Cette pute est à nous pour deux mois.— Je compte mettre moins de temps que ça pour la dresser.Idris et Ahmed rient. Moi je commence à regretter d’avoir cédé à mes pulsions.— C’est bon, je la garde. Barrez-vous.— On peut pas assister à son éducation ? demande Idris.— Non. Je veux être seule. J’ai pas l’habitude de ce genre de modèle, je veux la pratiquer tranquillement. Mais vous en faites pas, vous aurez largement l’occasion de me voir la saillir.Ahmed abandonne mon sac de plage par terre et me claque le cul avant de partir tout comme Idris. Je reste plantée là sans savoir quoi faire sous le regard de Paulo qui me fixe avec la même intensité.— Pute, viens ici.— J’ai un nom, vous savez. Je…— Ta gueule. J’en ai rien à foutre de comment tu t’appelles. Aujourd’hui tu t’appelles pute, demain ce sera vide couille et ainsi de suite. Toi, tu t’adresses à moi en m’appelant monsieur ou maître et tu me vouvoies. Si j’entends un autre mot sortir de ta bouche, tu seras puni.Alors que j’étais énervée par la façon dont il parlait de moi avec ses amis, son ton autoritaire me provoque un frisson délicieux qui remonte le long de mon dos.— Pute, tes deux rabatteurs ont-ils commencé ton éducation ?— Oui.— Tu veux déjà être puni ?— Non, Monsieur.Il va falloir que je fasse attention, je sens que je vais avoir du mal à lui donner du « monsieur » et du « maître ».— Ils t’ont appris quoi ?Il me faut quelque seconde pour me souvenir des leçons de mes deux amants et les réciter.— Bien, ils t’ont appris les bases, on perdra moins de temps. Mais avant de passer aux choses sérieuses, on va arranger ta tenue.Après les réflexions que m’a faites Idris, je ne vois pas ce qui le dérange dans ma tenue ou plutôt son absence.Paulo se lève et rentre dans le bâtiment derrière lui. Il en sort une minute plus tard complètement nu. Je découvre un sexe de taille visiblement tout à fait normal. Je suis déçue, déjà que physiquement ce n’est pas ça. Je regrette mes deux amants de la plage et leurs attributs, j’aurais vraiment préféré que ce soit eux qui s’occupent de moi. J’espère au moins qu’il compense avec ses testicules qui me semblent d’une taille anormalement importants.Comme mon attention n’est pas accaparée par son sexe, je remarque vite ce qu’il tient dans sa main. Un collier en cuir.— Voilà le seul vêtement que tu porteras jamais plus quand tu es seule avec moi, pute.Il passe le collier autour de mon cul et le ferme avec un petit cadenas. Je sens son gros vendre contre le mien, ce n’est pas très agréable tout comme la forte odeur de sueur qu’il dégage.Je suis surprise quand il tire sur le collier avec force pour me mettre à genoux devant lui.— T’as une minute pour me faire complètement bander et me sucer en gorge profonde. Si tu dépasses le délai, je t’encule à sec.Je manque d’enthousiasme à l’idée de le sucer. Au moins je me dis que je ne risque pas d’avoir de problème à le prendre en gorge profonde comme les deux autres et que je ne vais pas avoir l’impression que ma mâchoire va se disloquer. Je prends son sexe en bouche et fais glisser ma langue autour de son gland qui dégage un très fort parfum dont je préfère ne pas imaginer la provenance. Je salive abondamment pour en atténuer le goût puis je le prends vite complètement en bouche, motivée par la punition qu’il me réserve si j’échoue. Je le suce aussi bien que je peux, tentant de répéter les fellations que j’ai faites sur la plage. Son sexe grossit dans ma bouche et caresse légèrement l’entrée de ma gorge.La minute est vite passée et il me tire en arrière libérant son sexe qui a pris une taille honnête et pend légèrement.— J’ai réussi.— T’appelles cette demi-molle bander ? Tu me prends pour ton cocu couilles molles ?Une main toujours sur mon collier, il pose l’autre sur son sexe et commence à se branler. À chaque mouvement de poignet, je vois sa queue grandir et surtout grossir. Sa longueur n’a rien d’exceptionnel, mais il est bien plus large que je ne me l’étais imaginé. Quand il arrête de se masturber, sa queue remonte fièrement pour faire pression contre son ventre.— Là, je bande. C’est avec cet obus-là que je vais m’occuper de ton cul à sec.Il me tire vers l’intérieur. J’avance comme je le peux trébuchant à chaque pas. Je me retrouve la poitrine écrasée sur l’assise d’un canapé vieux et sale. La seconde d’après, je sens la queue de Paulo se présenter devant mon anus.— Comme je le dis à toutes les putes dont je me suis occupées, la meilleure des façons de dresser une chienne c’est de commencer son éducation en prenant son cul à sec.Je veux lui dire que même si ses deux amis sont passés par là il n’y a pas longtemps, je n’ai vraiment pas l’habitude, mais je n’en ai pas le temps. Une de ses mains s’enfonce dans mes cheveux et plaque mon visage dans le coussin. Sans attendre, il pose son gland contre mon anus et pousse. Mon œillet oppose bien moins de résistance que je l’aurais cru. Son gland force son passage et écartèle mes parois anales pour venir s’enfoncer en entier en moi, m’arrachant tout le long de son introduction un long cri qui ne cesse de gagner en intensité et que le coussin ne peut complètement étouffer.— Ils kaçak iddaa avaient pas menti. Ils sont peut-être déjà passés par là, mais tu me serres la queue comme une pucelle. Je vais me faire un de ces plaisirs à transformer ton trou du cul en vrai cratère avec mon obus.Il sort complètement son sexe, prend de l’élan avant de replonger en moi complètement m’arrachant un cri de douleur et des larmes. Mon anus est en feu et il ne lui laisse aucun répit. Il va vraiment le transformer en un cratère béant. Ça brûle, ça tire, j’ai mal, mais pas un seul instant je n’ai envie de lui demander d’arrêter. La luxure l’emporte sur la raison. J’ai décidé de m’abandonner entre les bras d’inconnus et je les laisse m’emporter dans cet abyme de plaisir obscène.Une fois le passage définitivement fait, Paulo se lance dans un pilonnage à pleine vitesse, sur un mouvement d’une très faible amplitude pour bien taper au fond de mon cul. Il accentue sa domination en moi en posant un pied sur ma tête. Je suis écrasée par son poids, il me domine complètement. J’ai l’impression que ça fait des heures qu’il est dans mon anus tellement je suis en surchauffe et n’arrête pas de gémir.Il accélère un peu plus la vitesse de ses coups de reins avant de se figer en grognant au fond de mon cul. Je sens chacune de ses éjaculations venir frapper avec force l’intérieur de mes intestins. Il m’inonde, ça ne s’arrête pas. Je suis emportée par un orgasme si puissant que tout mon corps tremble.Une fois mon cul noyé de sperme, je pense qu’il va se retirer, mais il reprend ses mouvements comment avant. Il n’a pas débandé et il continue de remodeler mon cul à la forme de sa bite. Cette nouvelle séance de sodomie dure encore plus longtemps que la précédente et est bien plus intense, dilatée comme je suis. Je n’ai pas arrêté de pousser des cris mêlés de plaisir et de douleur.La délivrance arrive enfin quand il beugle en se vidant toujours aussi abondamment.Toujours planté en moi, il se penche et sort de sous la banquette une mallette en plastique qu’il pose à côté de moi avant de l’ouvrir. Elle est remplie de plugs anal de toutes les tailles. Il prend celui qui me semble le plus imposant et il l’enfonce entre mes fesses sans le moindre problème juste après avoir extrait sa bite.Il se relève et je glisse entre ses jambes. Je reprends mon souffle tout en essayant de m’habituer à la présence de ce plug dans mon anus. La sensation est très bizarre. Je suis surprise par une claque de Paulo à l’arrière de ma tête.— Qu’est-ce que t’attends ? Je dois recommencer pour te rappeler les règles ?Je me rappelle des règles édictées par Idris et Ahmed et mon devoir de nettoyer son sexe. Je prends donc sa bite en bouche ou du moins j’essaie. L’odeur n’est pas des plus agréables, mais ce n’est pas le plus difficiles. La largeur de son mandrin maintenant qu’il est en pleine érection est un sérieux obstacle. L’avoir en bouche me fait mieux comprendre pourquoi j’ai eu le sentiment qu’il me distendait ainsi le cul pendant qu’il me sodomisait. Je reste tout aussi fasciné par sa capacité à garder une si belle érection après avoir déjà joui deux fois.Paulo savoure sa fellation, assis sur le canapé.— Il est temps de transformer ta bouche de bourge en bouche de pute.Il pose ses mains sur ma tête avant de se lancer dans un pilonnage en règle. Il s’enfonce si loin et avec tant de force que je me mets à tousser et à cracher des quantités toujours plus impressionnantes de salive. Ses grosses couilles se retrouvent recouvertes d’une épaisse couche de bave. Chacun de ses coups de reins provoque un bruit de clapotis aussi obscène qu’excitant.Le ramonage de ma bouche et de ma gorge dure une éternité. Quand il me libère enfin, je m’effondre sur le sol le souffle court, le visage écarlate, toussant et crachant le trop-plein de salive qui m’étouffait.Paulo ne compte pas me laisser un instant de répit. Avec son pied il me repousse et me renverse sur le dos. Il descend de la banquette et écarte en grand mes cuisses. Il fait quelques va-et-vient, son gland frottant contre mes lèvres vaginales avant de me transpercer de toute sa longueur d’un coup puissant qui me fait hurler. Il distend mon vagin. Une sensation d’autant plus forte grâce au plug qui remplit mon cul.— Tu la sens bien ma grosse bite, salope. Rien de mieux pour transformer une bourge mariée en pute videuse de couille.— Vous êtes trop gros, vous allez me déchirer.Paulo abat ses mains sur mes seins pour me punir pour mon écart de langage. Il les fouette les faisant se balancer dans tous les sens.— Vous êtes gros, monsieur.— Et tu vas aimer ça. Elle aime toute ça.Entre la largeur de son sexe et la taille du plug entre mes fesses, j’ai l’impression de me retrouver dans les dunes pendant ma première double. Malgré l’intensité de ses assauts, je prends un pied terrible, phénoménal. Paulo me besogne sans ménagement, son ventre dégoulinant de sueur m’écrase. Il se sert de ma grosse poitrine comme des rênes pour mieux me chevaucher. Il me fait aussi mal qu’il me fait du bien. Je suis constamment partagée entre plaisir et douleur.Je pars dans un long feulement au moment où je le sens se raidir pour se vider tout au fond de mon vagin en beuglant comme un goret.Où cet homme va-t-il chercher tout ce sperme ? Ces grosses couilles sont vraiment une usine à foutre.Je me sens vide quand son sexe libère mon vagin distendu. Paulo me rappelle vite à l’ordre par une claque. Je me redresse péniblement et lui nettoie son sexe souillé de sperme et de ma mouille avec gourmandise. J’ai découvert cette sensation ce matin avec Ahmed et Idris et j’en suis déjà accro. Je suis vraiment immorale.Satisfait de moi, Paulo me libère et va s’asseoir sur le canapé face à moi. Son corps est brillant de sueur. Je trouvais ça répugnant à mon arrivée et désormais cela m’excite.On reste ainsi à prendre notre souffle pendant plusieurs minutes, puis il claque sur ses grosses cuisses et se lève.— Bon. Le débourrage est fait, on va pouvoir passer aux choses sérieuses, mais pas ici, on va continuer ton dressage ailleurs. Elle est où ta niche.— Vous voulez aller chez moi ?— Rien de mieux pour éduquer une chienne que de le faire dans son lit surtout si en plus on fait un cocu en la tringlant.Je suis aussi inquiète à l’idée de l’emmener chez moi que mes voisins découvrent mon comportement immoral, mais je suis encore bien plus excitée par l’idée de tout ce qu’il compte me faire dans mon lit conjugal, dans ce lit où je n’ai jamais vraiment pris de plaisir. Je décide d’accepter de l’emmener chez moi.Je cherche à retirer mon collier, mais je ne parviens pas à trouver comment ouvrir le cadenas.— Maître, je n’arrive pas à ouvrir le cadenas de mon collier.— C’est normal, pute. Tu vas le garder jusqu’au jour de ton départ. Je te libérerais pas avant.J’ai le tournis à l’idée de ce que cela implique, en réalisant ce en quoi je suis en train de me transformer. Je suis complètement folle de me comporter comme kaçak bahis ça, de céder si vite. Mais je prends un tel plaisir. Tous ces hommes m’ont pris sans la moindre tendresse, avec force, presque de la v******e. Je devrais arrêter tout ça et je m’y plonge toujours loin.Paulo accepte que je porte la robe dans mon sac de plage pour aller chez moi. Je me sens bizarre en étant habillé ainsi avec ce collier autour de mon cou et surtout ce plug qui envahit mon cul. Ma tenue n’est pourtant pas encore complète. Alors que je l’attends dehors, Paulo me rejoint. Il a remis son short et porte un t-shirt marqué de nombreuses auréoles de transpiration. Il s’approche de moi une laisse à la main qu’il attache au collier.— Je veux pas avoir de problème en te sortant. Une chienne, ça se tient en laisse.Vu comment il se comporte avec moi, je m’attendais presque à voyager dans le coffre, mais il me fait monter à côté de lui. Me voilà qui traverse de nouveau la ville et je suis encore plus troublé que la dernière fois. Avec ce collier et la laisse, j’ai l’impression d’être encore plus indécente que lorsque j’étais complètement nu offerte à la vue de tous.Une fois la porte de mon appartement fermée, Paulo tire un coup sec sur ma laisse sans rien dire de plus. Devant mon inaction il tire une nouvelle fois en me fixant de ses yeux durs. Je comprends enfin et déboutonne ma robe qui tombe à mes pieds. Je dois être nue devant lui quand nous sommes seuls.Il tire sur la laisse pour me baiser. Cette fois je comprends tout de suite ce qu’il veut et m’agenouille devant lui. Je le déboutonne et ouvre sa braguette. Son short tombe à ses pieds libérant son sexe. Immédiatement je le prends en bouche et m’applique à le sucer pour le faire bander.— T’as un joli appart de bourge. Je vais m’y plaire.Je le suce longuement, l’esprit empli d’image de tout ce qu’il va pouvoir me faire.Comme lorsque nous étions chez lui, Paulo reprend rapidement le contrôle. Il me pousse sans ménagement contre le mur de l’entrée. Je me retrouve enfouie sous son gros ventre à subir ses assauts qui vont vibrer le mur. Je n’arrête pas de saliver, ça coule partout le long de mon cou et entre mes seins. Pas une seconde il ne sort de ma bouche pour me permettre de reprendre correctement mon souffle. Il se sert de moi pour se vider une fois de plus les couilles.— On va inaugurer les lieux comme il faut.Paulo se retire de ma bouche et se branle devant mon visage écarlate et couvert de sueur. Après quelques coups de poignet, il grogne et son sperme jaillit à gros jets qui viennent s’écraser sur mon visage. Certaines giclées me manquent et tachent le mur derrière moi. Les premiers d’une très longue série.Une fois son éjaculation terminée, je m’applique à bien lui nettoyer le sexe.— Ça vous a plu, maître.— Oui, t’es très agréable à fourrer par la bouche. Et t’es bien plus agréable à regarder comme ça. C’est pas tout ça, il est où le lit du cocu.— Je peux me nettoyer le visage avant, maître.— Bien sûr que non. Je vais te prendre le cul dans le lit conjugal comme ça, pendant que tu ressembles vraiment à la grosse chienne adultère que tu es.Dans la chambre, il me pousse brusquement dans le dos, me renversant sur le lit. Je le sens monter derrière moi. Il s’agenouille au-dessus de moi et écarte mes fesses avec ses mains. Il joue avec le plug qu’il s’amuse à tirer légèrement pour écarter ma rondelle rougie. Il finit par m’arracher le plug et présente son gland devant mon œillet.— S’il vous plaît, pas à sec.Je sens la pression de son gland augmenter et se frayer un chemin dans mon anus. Je pousse un long gémissement plaintif.— Je t’aurais craché dans le cul si tu t’étais adressée avec moi avec respect. Mais ne t’en fais pas, d’ici à demain, tu n’oublieras plus jamais de m’appeler maître ou monsieur. Et avec tout le sperme que ton cul a gardé, ce sera pas une bonne sodo à sec.Paulo prend possession de mon cul avec force. Il va aussi fort, vite et profond que possible. Il cherche à me faire hurler. J’essaie d’étouffer mes gémissements dans le matelas, je sers les draps entre mes dents, mais il veut que tout le monde puisse entendre comment il me possède. Il att**** mes cheveux et tire ma tête en arrière me faisant pousser un long cri aigu.— Cris, salope. Je veux que tout le monde dans l’immeuble t’entende. Je veux qu’ils comprennent tous que t’es pas une bourge comme eux, mais une vraie pute.J’essaie de me contenir, mais il ravage tellement mon cul que je ne peux que couiner sous ses assauts. Il m’écrase de toute sa masse et je prends mon pied comme jamais. Je finis par perdre complètement pied.— Oui ! Oui ! OUI ! Plus fort. Éclate mon gros cul. Je suis ta salope, ta chienne ! Inonde mon cul de pute avec ton foutre !Paulo se lance dans un pilonnage d’une sauvagerie folle, mon cul va éclater. Mais c’est bon. C’est si bon ! Il finit par craquer en hurlant.— Tiens, pends ça dans ton cul, grosse chienne !Il m’inonde les intestins de toujours un peu plus de foutre, m’emmenant dans une jouissance terrible qui me laisse presque inconsciente.Je n’ai le droit de quitter ma chambre qu’en début de soirée pour nous faire à manger. Durant le temps où il savoure ce que je lui avais préparé, je suis sous la table à le sucer. Cet homme est une véritable machine pour être capable d’encore bander, d’avoir encore envie de moi. Quand il a terminé, il sort son sexe de ma bouche, se lève et me sert mon assiette au-dessus de laquelle il s’astique pour y déposer une bonne couche de sperme.— Ton nouveau régime alimentaire. Tous tes repas seront désormais assaisonnés au foutre, que ce soit le mien ou celui d’un autre homme venu te tirer.Il pose l’assiette à ma place et retourne s’asseoir.— Bon appétit.Après tout ce que j’ai déjà fait et subi, je ne suis pas plus dérangé que ça à l’idée de me nourrir d’un plat assaisonné au foutre. Je ne remarque pas beaucoup de différence.Pendant que je fais la vaisselle, lui est dans le salon à regarder la télé. Dès que je reviens auprès de lui, il me demande de le sucer puis de le chevaucher. Je n’ai le contrôle qu’au tout début. Je me retrouve rapidement écrasé sur la table basse à me faire saillir à grand coup de reins. Il se finit en jouissant tout au fond de ma chatte en grognant.Après l’avoir sucé et nettoyé, il me force à reprendre ma position, couché devant lui ma chatte ruisselante de sperme jusqu’au moment où il souhaite aller se coucher. Le moment de me reposer n’est pourtant pas encore revenu, car il décide de me reprendre le cul. Une fois encore il ne me ménage pas.La délivrance arrive enfin. Après avoir rempli mes intestins d’un peu plus de foutre et avoir remis le plug en place, il roule sur le côté. Je l’entends s’endormir pendant que je suis toujours à nettoyer sa queue. Je n’ai pas la force de bouger pour aller me laver et je m’endors à mon tour.Ma nuit est remplie de nombreux réveils. À trois reprises je suis tirée de mon sommeil par une pénétration soudaine de ma chatte ou de mon cul. À chaque fois il me besogne comme un a****l en manque, gicle et se rendort pour récupérer avant sa prochaine bourre pendant que je le suce docilement. Il a déjà fait de moi sa chienne, je le sais, je le sens.